Cassilmena
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 Galwyn Vahagan [ sorcier ]

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Galwyn Vahagan
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Galwyn Vahagan


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MessageSujet: Galwyn Vahagan [ sorcier ]   Galwyn Vahagan [ sorcier ] Icon_minitimeMer 5 Nov - 15:59

- Nom : Vahagan

- Prénom : Galwyn

- Sexe : masculin

- Âge : 22 ans

- Race : sorcier

- Pouvoirs :
- Contrôle de la magie noire
- Brouillard (permet de se transformer en un épais brouillard totalement insensible à toutes les attaques physiques et résistantes à la magie. On ne peut ni se déplacer ni se soigner sous cette forme, elle ne soigne aucunement vos blessures)
- Traitrise (une fois pas combat le sorcier peut envoyer une attaque avec toute sa force comme si c'était le début du combat. Après cette attaque le sorcier ne peux plus attaquer ni même se battre pour un certain temps)
-Télékinésie
-Peut introduire des visions cauchemardesques dans l’esprit de son ennemi, le déstabilisant.

- Armes : une paire de cimeterres pour le corps à corps et un sceptre pour exercer sa magie noire. Il le fait apparaître en temps voulu, d’un claquement de doigt sec et gracieux. ( il s'en sert aussi pour taper Az' uu' mais chut ! Faut pas le dire ! )

- Physique :
Comment pourrait-on qualifier ce sorcier en herbe ? De bel éphèbe ? Sûrement, et il va sans dire que son physique de jouvenceau ne passe pas inaperçu, bien qu’il puisse paraître anodin aux premiers abords. Car Galwyn se caractérise essentiellement par son regard, pourfendant les ténèbres qui persistent sous sa capuche et doté d’un bleu azuréen, plus ou moins foncé, qui ne cesse pas d’étourdir les inconnus. Un simple coup d’œil furtif, et vous êtes pris dans les filets de cet océan impénétrable, tant par sa froideur que par sa dureté. En vous laissant captiver ainsi par cet étrange phénomène corporel, vous en oubliez ses sourcils perpétuellement froncés qui durcissent davantage les expressions que dégagent ses mirettes. Cependant, si ils peuvent sembler imposants, ils sont en réalité d’une finesse commune aux traits que possède son visage tout entier, muni d’un nez fin, quelque peu relevé vers le berceau des anges et qui reste à l’affût de toute fragrance lui évoquant son passé. De même, ses larges pétales de rose, sont légèrement pulpeux, et plus particulièrement sa lèvre inférieure, exquise et charnue.
Lorsqu’il est nerveux, Galwyn la pince sensuellement à l’aide d’une dentition parfaitement blanche, dont on ne doute pas de l’entretien régulier. Lorsque la colère l’envahit, sa bouche forme un cul-de-poule attendrissant, rappelant la bouille d’un enfant dont les caprices n’auraient pas été entendus et qui pour exprimer son mécontentement, n’a pas trouvé d’autres moyens que de contracter ses lèvres. Ainsi, les moues de Gal n’en sont que plus touchantes et donnent à ce personnage, une multitude de facettes. Tantôt boudeur, tantôt glacial, son long menton affine son visage dont les joues creuses le mûrissent de manière stupéfiante.

Pour ne pas s’arrêter en si bon chemin, notons que ce faciès mi-angélique mi-démoniaque, n’en est pas moins sauvageon car pour cause, sa chevelure semble n’en faire qu’à sa tête. En effet, ses mèches possèdent une couleur particulière, puisque grisâtres sur son front, elles deviennent châtain foncées sur sa nuque, dont la courbe est lascivement dessinée par celles-ci. Coiffées en bataille, elles confèrent au damoiseau une bougonnerie qui accroît continuellement son pouvoir de séduction, involontairement ancré dans les parcelles de son corps. Ces dernières assaillent sans pitié son cou et chatouillent le milieu de son dos où on peut aisément apercevoir une musculature bien dessinée. Il suffit de voir le jeune homme torse nu pour constater ses mouvements, ponctués par une puissance émanant de cette sculpture qui rend son corps relativement athlétique. Il a donc l’étoffe d’un apollon, ou alors d’un héros qui ne manque pas de ressources pour imposer sa force et sa beauté. La seule chose qu’on pourrait lui reprocher, serait de dissimuler son torse joliment sculpté ainsi que son dos alléchant par un haut néanmoins moulant, dont le col suffisamment bas permet d’apprécier les prémices d’un charme masculin et véritable. Il se vêtit habituellement d’un accoutrement de voyageur, typique, constitué de ce même haut chocolaté que je viens de vous décrire et d’un manteau dont les pans volètent élégamment derrière lui. Celui-ci est muni d’une capuche qui permet à Galwyn de se protéger d’éventuels intempéries ou de regards indiscrets. Précisons qu’il ne prend jamais le temps de boutonner les premiers boutons de son vêtement, nous laissant donc le privilège d’admirer ce paradis dont il fait l’objet.
La majeure partie des tissus qu’il porte s’épanouit sur de frêles épaules, contrastant avec l’aspect robuste que dégage sa musculature. Sa carrure n’est donc pas un avantage mais reste trompeuse. Quant à ses hanches, elles ne sont que peu dessinées puisqu’elles sont continuellement camouflées sous un pantalon quoiqu’évasé, renforçant cette pudeur soudaine, contraire à ce que l’on a pu constaté précédemment. En matière de vêtements, il semblerait que son péché mignon soit les sacs en bandoulière, qu’il aimerait posséder par milliers. Il ne manque jamais une occasion d’en acheter un, pour se faire plaisir et le remplacer par l’ancien. Légèrement fashion victim, il accorde une affection toute particulière aux bagues et aux chevalières. Il en possède plus d’une dizaine qui ornent ses doigts filiformes, ornés de bijoux tantôt orientaux, tantôt artisanaux. Sa favorite reste celle qu’il aura hérité de son infante soit un anneau incrusté de minuscules morceaux de rubis sur un or luxueux et inimitable. Il ne la vendrait pour rien au monde et souhaite mourir avec. De même, les bracelets tissés constituent un talent qu’il aura mis en pratique lorsqu’il vivait encore sur son continent natal. Dans son sac de voyage, il possède une ribambelles de pelotes de fils colorés, servant à broder des bracelets par milliers. Cette occupation lui rappelle le temps où il était dans les jupons de sa mère, aujourd’hui décédée.


Dernière édition par Galwyn Vahagan le Mer 5 Nov - 21:56, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Galwyn Vahagan [ sorcier ]   Galwyn Vahagan [ sorcier ] Icon_minitimeMer 5 Nov - 16:00

- Caractère :
Si son apparence fait de lui un jouvenceau adorable et influençable, détrompez-vous. Son caractère contraste littéralement avec son physique d’apollon qui, pour lui, n’est pas une référence à laquelle il faut se fier. En effet, à force de le contempler, l’air béat, on peut s’imaginer que cette froideur renferme pourtant une tendresse et un héroïsme tout à fait incontestables. Malheur à celui qui ose penser cela, car il ferait une grosse erreur en le valorisant ainsi. Pour tout vous dire, Galwyn n’est pas un être dont on doit faire l’éloge, car tous ses actes sont mûrement réfléchis, calculés. Par conséquent, il manque de naturel et de spontanéité.
Depuis sa plus tendre enfance, Galwyn est un silencieux observateur qui s’effacerait volontiers pour passer inaperçu. Il est d’autant plus complexe de le cerner lorsqu’on l’aperçoit pour la première fois, car la dureté de son regard n’aide pas à le qualifier de telle ou telle manière. Inutile de préciser que ce comportement est volontaire, et que son cerveau aura été formaté pour qu’il se taise à jamais. La raison pour laquelle il s’obstine à agir ainsi est qu’ayant pris l’habitude de vivre dans le secret, il s’efforce d’en dire le moins possible et donc de tout contenir au fond de lui. Chaque sentiment est refoulé, toute pensée est soigneusement analysée sans qu’il ne lui laisse une chance de s’exprimer délibérément, rendant ses discours emprunts d’une émotion qu’il ne reflètera jamais. Un automate dénué d’humanité donc, et qui, par son impassibilité, peut autant énerver qu’amuser. Cependant, Galwyn refuse catégoriquement d’être pris pour une bête de foire et tient à sa fierté. Voilà pourquoi il se montrera toujours hautain et orgueilleux, et cela dans l’unique but de solidifier cette carapace qu’il conçoit minutieusement, sans faire fi de la moindre faille. Doué d’une certaine verve, il ne se gênera pas pour répondre insolemment à une tierce personne qui tenterait vainement de le descendre de son piédestal. En tant que faux enfant gâté, il cherchera continuellement à monter toujours plus haut, pour se persuader de sa valeur et de sa force. Toutefois, il n’est pas en quête de pouvoir. Personne jusque là ne connaît son véritable but, il est comme une âme errante dont la vie ne rime plus à rien depuis qu’elle aura assouvi son ultime vengeance.
Depuis qu’il naquit dans une cour où il n’avait pas sa place, Galwyn aura appris à se familiariser avec la solitude : petite araignée qui tisse une toile dans votre cœur et ne vous lâche plus jamais, et qui aura beau tenter de vous contenter, vous vous sentirez inéluctablement abandonné. Par conséquent, il est un être qui, pourtant loin de refuser une présence, prétend qu’il vaut mieux être seul que mal accompagné. Il réfute donc toute proposition amicale, rabrouant cruellement la personne qui ferait l’objet d’une telle demande. Pourtant, si vous pensez que ce comportement fait de lui un homme dénué d’un quelconque amour pour ceux qui l’entourent, chassez cette idée de votre esprit. La raison qui l’incite à ne pas s’attacher est qu’il est persuadé de faire souffrir son prochain, en lui imposant sa compagnie, ses injures acerbes intempestives qui sortent d’on ne sait où, et son silence tantôt rassurant, tantôt angoissant. D’ailleurs, lorsqu’il rencontre quelqu’un pour la première fois, il le toisera de haut et le dénigrera et cette fois, je peux vous assurer que ce n’est pas calculé mais bien pensé. Mais, sûrement que cette frustration est finalement engendrée par cette solitude qui sera devenue sa principale confidente. Cependant, il refuse de s’en détacher pour une raison qui a forcément un rapport avec son infante trépassée.
Mais alors qui est-il réellement ? Un pauvre bâtard qui au bout du compte est tout sucre tout miel ? Ou est-ce qu’une part d’ombre apparue durant son enfance ne ce serait-elle pas immiscée insidieusement dans son esprit, à l’heure où le glas aura sonné pour l’enfant qu’il aura été ? Allez savoir. En tout cas, le caractère de Galwyn se résume comme étant celui d’un homme plus ou moins impulsif, qui lorsqu’il ne connaît pas son interlocuteur, ne cherchera pas à connaître sa valeur et ne verra que par la sienne, qu’il juge plus prestigieuse. Enfermé dans un mutisme frustrant pour son entourage laconique, il semble utiliser la solitude pour cacher un secret dont lui seul aurait la clé. Et si il lui arrive d’être odieux, il peut aussi se montrer nostalgique et faire preuve de compassion, uniquement dans la mesure où il peut avoir confiance en l’être qui sollicite son écoute. Impénétrable et iceberg ambulant, son talent serait sans nul doute le mensonge.

- Qualités/défauts :
Solitaire : trop habitué à avoir été rejeté par ses semblables à cause du sang qu’il porte dans ses veines, Galwyn est un grand solitaire qui ne manque jamais une occasion de rabrouer la moindre personne sur son chemin. Ce refus d’ouvrir son cœur résulte probablement de sa peur de blesser les gens, et c’est ainsi qu’il exprime l’affection qu’il éprouve pour quelqu’un. En revanche, si il ne porte pas la personne dans son cœur, il se montre odieux, sauf que dans le cas présent, sa cruauté sera bien pensée et exacerbée contrairement à celle qu’il simulera pour éloigner l’être chéri de sa personne. Sa solitude l’a aussi rendu peu confiant et méfiant tel une bête sauvage arrachée à son milieu naturel.

Curieux : étant jeune, ce qui lui a le plus porté défaut a été sa curiosité. Très observateur, son esprit est ouvert à tout et se focalise sur le moindre détail, ce qui décuple la probabilité de tomber sur un secret inavoué. Le fait qu’il soit méticuleux et calculateur, accroissent cette curiosité qui n’a de cesse de l’entraîner dans des histoires à dormir debout. Même si il tait continuellement l’intérêt qu’il porte à telle personne ou à tel événement, il se trahira en allant fouiller toujours plus loin dans les décombres du passé. Cette caractéristique psychologique est, dans son cas, une qualité et un défaut puisqu’elle peut lui nuire à tout moment.

Sarcastique : l’humour noir ne manque pas chez ce bel éphèbe aux yeux azuréens, qui ne se prive jamais de faire une remarque cinglante à autrui. Lorsque quelque chose ne lui plaît pas, il le fait savoir tantôt par allusion, tantôt avec ironie en évoquant le contraire de ce qu’il souhaite faire penser. Etant donné que monsieur s’exprime fréquemment avec des sous-entendus, il est des fois difficile de comprendre où il veut en venir, tant ses paroles sont abstraits ou succinctes.

Taciturne : ce critère mental s’ajoute au fait qu’il est calculateur et observateur. Dans son silence, Galwyn n’en pense pas moins et fait preuve d’une concentration perpétuelle, qui l’aide à ouvrir davantage son regard sur le monde qui l’entoure. Il prétend aussi que le fait de rester silencieux lui permet d’être plus à l’écoute de ces bruits qui lui rappellent son enfance, tout en tendant une oreille attentive aux personnes qui l’entourent. Si il peut se donner l’image d’une brute, il est en revanche un homme posé, qui réfléchit incessamment.

Attentionné : et oui, on a beau dire, ce sorcier glacial a un cœur qu’il n’accepte d’ouvrir que si vous parvenez à vous y faire une place de choix. Peu démonstratif, il n’en reste pas moins attentif aux moindres signes de fatigue ou de colère que peut montrer son entourage. Il sait se montrer agréable lorsqu’on n’éveille pas son instinct de survie qui, jadis, l’aura poussé à tuer.

Protecteur : voici une facette qu’il ne montre que très rarement. En effet, jusqu’à présent, Galwyn s’est toujours montré imbus de lui-même voire narcissique. Cependant, si une personne en particulier parvient à monter dans son estime, allant jusqu’à susciter en lui des émotions fortes et positives, alors il s’élancera valeureusement à son secours quitte à y laisser sa vie. Ses amis sont tellement rares, qu’il souhaite en prendre le plus grand soin comme si il s’agissait de précieux trésors !

Candide : si sa bouille peut nous paraître adulte, l’affection sempiternelle qu’il voue à sa mère est, en revanche, une preuve de sa candeur. De même, certaines de ses mimiques peuvent le rendre candide à sa manière, que ce soit la fameuse bouche en cul-de-poule qu’il vous fera en étant énervé, contrarié voire boudeur et ce petit sourire forcé qui vous dit timidement qu’il tient à vous.

Nostalgique : Galwyn est un grand nostalgique qui attache beaucoup d’importance aux objets et aux odeurs qui auront marqué son passé. Par exemple, il ne supporte pas les fragrances en rapport avec le sang et le feu, lui rappelant l’effroyable événement qui aura mis fin à la vie de sa mère. En revanche, il adore les senteurs épicées voire orientale, qui lui rappellent la cuisine du sorcier qui lui aura insuflé toutes ses connaissances sur la magie noire. Pour confirmer son côté nostalgique et mélancolique, il est important d’évoquer la bague incrustée de rubis qu’il garde en souvenir de son infante.

Lâche/Irresponsable : Galwyn a la sale manie de laisser en plant ses camarades si l’envie lui prend d’être seul. D’ailleurs, il fait souvent le coup à un certain génie qu’il côtoie depuis peu et après disparition, prétend que ses affaires sont plus importantes que de jouer au baby-sitter avec un criard de son espèce ( c.f Aramazd).

- Aime/aime pas : Galwyn n’aime pas les personnes bruyantes, qui auraient tendance à lui hurler constamment dans les oreilles. Il n’a aucune aversion particulière pour aucune race et semble ne faire aucune distinction entre le Bien et le Mal, d’où son côté neutre. Les lieux trop bruyants où la population s’agglutine, suscitent son énervement et sa colère, l’empêchant de sombrer tranquillement dans sa solitude. Contrairement à cela, il apprécie les endroits naturels, où la faune et la flore sont omniprésents, car la liberté, il n’y a que ça d’important. Il ne supporte pas les préjugés et les opinions arbitraires, et tout ce qui concerne les contraintes ne sont pour lui qu’un embarras supplémentaire dont il est nécessaire de se débarrasser. Il opte donc pour un mode de vie qui lui est propre, tout en vivant au jour le jour, chose qu’il sait très bien faire. Il a un faible pour l’alcool, les sacs à main, les bracelets, les bagues ( chevalières y compris ) qu’il achète par milliers, sans compter. Il n’aime donc pas se priver.

- Petit plus : il possède plusieurs talents artistiques dont le principal est de tisser des bracelets. La bague que lui a offert sa mère permet d'ouvrir des portes sur d'autres continents, sauf qu'elle était la seule à pouvoir la faire agir par la pensée.

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MessageSujet: Re: Galwyn Vahagan [ sorcier ]   Galwyn Vahagan [ sorcier ] Icon_minitimeMer 5 Nov - 17:34

Histoire : (faite à la va-vite mais j’en avais vraiment marre xD )

Dans un continent fort fort lointain, un enfant vit le jour dans le plus grand secret, né d’une union entre une simple servante et un roi, celui des contrées de Vahagan. Bien que le rejeton hérita du nom de son patriarche, il fut renié par ce dernier qui ne le considérait pas comme son fils et lui vouait une haine mêlée à un dégoût partagée par toute la cour, où Galwyn Vahagan passa toute son enfance et une partie de son adolescence. Sa mère quant à elle, s’efforça de contenir toute son exaspération et poursuivit une existence monotone en tant que chaperonne. Comme tout le monde dans la forteresse qui constituait la capitale du continent, elle répondait précautionneusement aux besoins de son souverain, sans se plaindre de cet amour non partagé. Elle n’en souffrait pas, mais n’était pas pour autant heureuse d’avoir à sa charge un enfant dont elle dut s’occuper seule. En effet, une femme de son acabit n’était qu’une vaurienne aux yeux des plus grands qui la dénigraient à la moindre occasion, faisant abstraction de cette faiblesse qu’elle montrait de jour en jour. Sa force, elle la perdait à mesure qu’on la rossait et la châtiait lorsqu’elle commettait ne serait-ce qu’une infime erreur, faisant d’elle le bouc émissaire idéal à expier. Chaque être en ces couloirs ténébreux profitait de sa petitesse pour déverser toute sa colère sur son corps malingre. Ses épaules durent supporter le poids d’un enfant qui attendait patiemment de pouvoir faire ses premiers pas.

Quant à Galwyn, il observait d’un œil attentif la calamité de sa mère, comme désireux de s’en imprégner et de la comprendre pour pouvoir la freiner si jamais elle venait à l’atteindre. Cependant, cette distance qu’il imposait entre lui et son infante n’était pas là de son propre chef, mais parce qu’elle lui avait demandé de ne pas rester continuellement dans ses jupons. Enfant, il avait trop l’habitude de rester accroché à sa robe de servante, dont les plis l’amusaient. Le parfum qui embaumait ses tissus lui rappelait qu’il n’était pas seul et lorsqu’elle lui ordonnait de la lâcher, des larmes lui montaient spontanément aux yeux et s’écoulaient abondamment sur son visage de poupon. Cédant à ses caprices, la mère le gratifiait d’un câlin affectueux, symbole de l’amour qu’elle éprouvait lui mais qu’elle devait dissimuler pour qu’il ne fasse pas les frais de la violence des autres. En grandissant, ce vide qui l’entourait fut pour lui une banalité, une routine qu’il prenait comme elle lui venait, bien qu’elle était difficile à accepter. Agé maintenant de quatorze ans, il n’éprouvait aucune difficulté à errer dans les corridors en affrontant les regards insultants des aristocrates qui passaient par là, passant le plus clair de leur temps à s’amuser des farces proposées par les troubadours pour animer la galerie. De toute façon, rien que sa présence engendrait le mal dans son entourage. Ce fut ainsi qu’il interpréta le refus de sa mère de s’occuper plus longuement de lui.
Un jour, d’un regard offusqué, elle l’avait pris à part dans les cuisines du château appartenant au Roi, lui reprochant de ne pas être suffisamment autonome :
« Tu es grand maintenant, alors ne reste plus à proximité de moi ! Tu entends ? Apprends à te débrouiller tout seul, et par la même, envisage de quitter ces lieux plus vite que possible avant que tu ne m’attires des ennuis ! »
On ne pouvait pas faire plus clair afin d’envoyer paître un bambin d’à peine douze ans. Mais au moins, il avait compris le message et se montra plus distant que jamais, ce qui n’occasionna aucune peine chez son infante. Il considéra donc qu’il était un fils renié, indésirable même par son propre père qui ne le voyait pas en tant que tel, et le qualifiait d’étranger à sa lignée. Alors qu’ils avaient le même sang dans leurs veines, il lui tournait cruellement le dos, faisant preuve d’une indifférence injurieuse et insurmontable. Comment se faire remarquer d’esprits aussi fermés et irresponsables, qui n’avaient d’yeux que pour leur réputation ? Il n’avait jamais mérité un tel traitement et une telle haine de la part de ses proches.

Ce fut de cette manière qu’il quitta la cour du seigneur de Vahagan, définitivement dégoûté de ce destin qu’on lui imposait de force. Pliant bagages en une nuit glaciale et lugubre, il gagna ensuite sa vie en tant qu’artiste en profitant de son talent de tisseur, confectionnant à la main des bracelets qu’il vendait à petit prix, mais qui lui rapportèrent beaucoup lorsque les sommes s’accumulèrent. Il développa un certain sens des affaires et apprit à devenir autonome, chose que sa mère aurait voulu qu’il soit plus tôt. Cependant, il n’était jamais trop tard pour se rendre compte de l’importance qu’avaient les conseils d’une mère pour son fils unique. Sauf que maintenant qu’il était à la rue, il n’était pas évident de se loger, et il avait prévu une multitude de fois de retourner auprès de sa génitrice, ce qu’il se refusa à lui-même pour ne pas revenir auprès d’elle la queue entre les jambes. Il s’apprêterait à perdre sa fierté en rebroussant chemin, et ferait preuve de lâcheté en refusant d’affronter cette existence qu’il avait choisi de son plein gré et qui, sur certains points, était plus avantageuse que celle connue à la cour du roi. Alors, il préféra se contenter du strict minimum et continua de vivre de sa passion, apparue alors qu’il utilisait autrefois les heures passées à errer dans les corridors en utilisant son imagination, allant au-delà de ses limites. Recroquevillé dans sa chambre de fortune, il avait attendu tant de fois le retour de cette femme, qu’au final il se demandait si il n’avait pas perdu son temps à guetter chacune de ses caresses. Sans compter toutes ces paroles blessantes et didactiques qu’elle lui avait infligé, dans le but de lui enseigner tout ce qu’il y avait à savoir sur le futur qui l’attendait.
Finalement, lui avait-elle fournie une image positive du monde qui l’encerclait ? Si pour elle, tout était négatif, peut-être qu’en apprenant par lui-même, Galwyn comprendrait-il qu’il y a des choses appréciables parmi celles que l’on pense détestables. Il suffit de ne pas avoir un esprit aussi étroit que ces adultes immondes et ignorants.

En attendant, Galwyn connut une lourde période de famine tandis qu’il errait nonchalamment dans les ruelles de la capitale du continent. Son principal souci n’était plus de gagner de l’argent mais de manger un mets qui ne soit pas au-dessus de ses moyens. Ses habits autrefois corrects furent en lambeaux, à force de marcher et de subir des intempéries fantasques. Il ne possédait plus de tissus adéquat pour continuer ses créations. Son commerce était donc anéanti, et il n’y avait plus aucun espoir. Il mourrait assurément sous une pluie battante, recevant sur son visage les pleurs des anges qui le plaignaient du haut de leurs nuages. Ouvrant grand la bouche pour recueillir un semblant d’eau et s’hydrater, l’adolescent continuait son long périple, ses pieds dénudés et gelés, son corps crasseux et son faciès marqué par la lassitude. Ses yeux se fermèrent tout seul et il se laissa tomber sur un sol inondé, dont les pierres se heurtèrent à son corps amaigri. Tout était froid, l’obscurité l’envahissait et embrumait son esprit, lui faisant quitter la terre ferme. Jusqu’à ce qu’une chaleur enivrante enrobe son enveloppe maintenant détenue par un vieillard qui, ayant pitié d’une frêle silhouette endormie, se montra hospitalier et le porta sur le dos de sa monture qu’il conduisit jusqu’à une maison assez isolée du reste de la capitale.


Dernière édition par Galwyn Vahagan le Mer 5 Nov - 17:35, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Galwyn Vahagan [ sorcier ]   Galwyn Vahagan [ sorcier ] Icon_minitimeMer 5 Nov - 17:35

Une étrange fragrance fouetta les narines du damoiseau mis maintenant en lieu sûr. Des épices répandirent leur odeur jusqu’au nez de Galwyn qui frétilla à l’idée de sentir autre chose que la crasse. En parlant de ça, en se réveillant, il se découvrit parfaitement propre et les yeux ronds, il remarqua l’absence de ses vêtements misérables. Ils avaient été substitués par un ensemble en lin, caressant sa peau qui sentait le savon à des kilomètres à la ronde. Ses cheveux quant à eux avaient dû être soigneusement shampooinés à en juger leur douceur et leur propreté. Soigneusement bordé dans un lit aux couvertures épaisses et immaculées, il fut néanmoins impressionné par l’étrangeté des lieux. Il s’agissait d’une maisonnette qui ne possédait que deux pièces principales, lesquelles avaient été aménagées spécialement pour accueillir une seule et unique personne. L’habitant de ces lieux était probablement en train de préparer un bon plat pour son convive. Galwyn s’en lécha les babines et subrepticement, sortit de son lit semblable à un arche voguant sur l’océan de l’onirisme. Ses pieds nus sur un plancher qui craqua sous ses pas, il s’approcha de ce qui avait tout l’air d’être une cuisine. Comme il l’avait imaginé, l’odeur alléchante provenait d’un récipient dans lequel devait bouillir un bon ragoût préparé à son attention. Une langue mutine passa sur sa lèvre inférieure, asséchée par le manque d’hydratation. Sa silhouette cadavérique s’approcha donc de l’objet de ses fantasmes et, comme par enchantement, la cuillère en bois placée sur le côté droit du ragoût s’éleva et commença à remuer l’appétissante substance qui finirait bientôt dans son estomac. Intrigué et effrayé, l’enfant sursauta en surprenant une ombre derrière lui. Il s’agissait de ce même vieillard qui avait dû le recueillir, alors que son corps l’avait lâché en plein milieu d’une rue. Il était simplement vêtu d’un long manteau grisâtre dont il retira la capuche de son crâne dégarni. Son sourire était bienveillant, ses traits aussi doux que l’odeur qui ne cessait pas de faire grogner le ventre de l’adolescent. En croisant son regard pourtant si souriant, Galwyn déglutit bruyamment, coupable à l’idée d’être au mauvais endroit au mauvais moment. Toutefois, la curiosité l’emporta sur son effroi et il fut bien obligé de poser cette question qui lui brûlait les lèvres :
« C’est vous qui avez fait ça ? l’interrogea-t-il en pointant du doigt la cuillère en bois qui continuait de tourner dans le récipient.
Le vieillard émit un rire amusé et gêné et opina en hochant calmement de la tête. Impressionné, Gal fut captivé par les mouvements parfaitement circulaires de la cuillère, laquelle se reposa à l’endroit même où elle avait commencé à léviter. Les yeux du gamin pétillèrent, il était visiblement agréablement surpris.
-N’importe qui d’autre aurait été effrayé par ce que je viens de faire, petit.
-Pourquoi ?
Sur l’instant, l’adolescent fut très naïf et attisa l’amusement de son interlocuteur.
-Parce que je suis un sorcier, et que le continent de Vahagan est constitué essentiellement d’humains !
Un sorcier ? Galwyn avait cru lire dans un ouvrage que les ensorceleurs n’étaient pas accepté par les humains et se retrouvaient brûlés au bûcher lorsqu’ils étaient démasqués. Dans le cas présent, il trouva stupide de tuer des êtres qui se servaient de leurs pouvoirs uniquement pour touiller une soupe dans son récipient. L’adolescent fit donc une moue boudeuse et contrariée, sa bouche en cul-de-poule le rendant candide.
-Peuh ! Il n’y a pas de quoi être effrayé ! Je pense que détenir de tels pouvoirs est une bénédiction et qu’il faut savoir en profiter ! Je suis sûr que l’on peut être reconnu pour sa valeur même en étant un sorcier !
-Tout dépend de quelle sorte de sorcier tu es…mais dis-moi, pourquoi évoquer la reconnaissance ?
-Parce que c’est ce dont j’ai besoin. »
Il suffit que cette phrase soit prononcée pour que le sorcier lui propose de s’investir dans la magie noire, discipline longtemps critiquée et haïe par les humains, et aujourd’hui encore redoutée par les plus croyants. Cette initiative ne fut pas qu’une manière d’aider l’enfant à être reconnu mais surtout pour le remercier d’accepter que des êtres surnaturels soient parmi les mortels. Et il fallut au moins sept ans d’apprentissage pour que les principales bases soient enfin acquises par Galwyn. Après quoi, le sorcier mourut étrangement de vieillesse, sous les yeux attristés de son protégé. Il avait été comme un père pour lui, et voilà qu’il le lâchait lui aussi, dépassé par le poids des années. Toutefois, il lui avait apporté suffisamment pour qu’il puisse se débrouiller seul et revenir auprès de sa mère, avec la certitude que celle-ci l’accepterait.

Agé de 22 ans, il était devenu un éphèbe dont le physique ne passa pas inaperçu lorsqu’il revint dans cette ville où il avait passé ses pires années. Toute son enfance résidait dans ces ruelles, et régnait en majeure partie au sein de cette forteresse qui surplombait la capitale. Levant ses yeux vers son donjon principal autour duquel virevoltaient des corbeaux, il eut une pensée profonde et affectueuse pour sa mère. Peut-être qu’elle l’avait oublié ? A moins d’avoir la mémoire courte, il serait étonnant qu’une infante ne se souvienne plus de sa progéniture alors qu’elle l’avait mis au monde. Néanmoins, lorsqu’ils se retrouvèrent à l’entrée de cette immense bâtisse qui leur avait servi de foyer, elle était restée inerte quand il l’interpella en tant que mère. Son panier de commissions à la main, elle avait arqué ses sourcils et ouvert grandement sa bouche, d’où ne sortit qu’un faible souffle d’air chaud. Ces yeux azuréens, ils lui appartenaient, et il n’existait qu’une personne à qui elle les avait donné. Il s’agissait de son fils, ce petit garçon qui avait disparu du jour au lendemain, sous prétexte qu’elle l’avait rabroué tel un bâtard éjecté de sa tribu. Il la fixait obstinément, et était là, en chair et en os. Il bougeait, respirait comme tous les êtres humains, alors qu’elle avait longtemps pleuré son absence et sa mort présumée. En le voyant ainsi, si fier et fort, elle ne put freiner ses pleurs et fut accueillie timidement dans les bras de sa progéniture.
Leurs retrouvailles ne fut qu’une tare en plus pour le Roi, rechignant à l’idée d’affronter une nouvelle fois le regard de son fils, maintenant adulte et responsable. Sa mère le conduisit sans dire mot dans cette pièce qu’ils occupaient autrefois pour plonger au pays de Morphée après une journée de reproches et de violence. Galwyn parcourut de nouveau ces corridors où il avait si souvent pansé sa solitude en tissant inlassablement ses bracelets. De là où il se situait, il dominait la ville toute entière et pouvait se revoir en train de sillonner les ruelles, à la recherche d’un nouveau client à appâter avec sa marchandise artisanale. Il se remémora toutes ces émotions qui avaient traversé son esprit, attendant que la pauvreté cesse de l’anéantir. Et surtout, il apprécia la chaleur d’une main maternelle qui prit délicatement la sienne, jusqu’à ce qu’ils se retrouvent une bonne fois pour toute dans leur ancienne chambre commune. Il s’agissait d’une pièce où deux lits trônaient. Sa mère lui expliqua que le sien était toujours resté dans cet état, ayant refusé que quelqu’un l’ôte. Elle avait toujours espéré son retour, mais ne lui cacha pas qu’elle avait pensé à sa mort, sans quoi elle aurait risqué de baigner dans de faux espoirs qui l’auraient détruites jour après jour. Silencieusement, Galwyn l’observait se mouvoir et remarqua qu’elle avait encore maigri. Toujours aussi faible en apparence, mais toujours forte mentalement pour affronter les remarques désobligeantes des gens de la cour.
Pendant qu’elle relatait les nombreux évènements de la capitale de Vahagan, il s’efforçait de garder le sourire. Un sourire timide qui en disait long sur l’embarras qui le tétanisait sur place. Ca venait de l’heurter. Il était devenu un sorcier, et logiquement, il ne devrait pas être là au milieu d’humains qui ne lui voueraient que haine et mépris. Mais il devait mettre sa mère dans le secret, quitte à ce qu’elle le prenne pour un monstre, mais au moins, elle le saurait. Ses lèvres décidèrent de s’écarter pour laisser place à la vérité, quand l’index de la femme se posa brusquement sur elles, l’empêchant de poursuivre. Il se résigna à révéler sa nature actuelle, comprenant que l’heure n’était pas aux confidences. En effet, des pas se firent entendre dans les couloirs, non loin de l’alcôve. Silencieusement sans donner de plus amples explications, elle déposa une bague incrustée de rubis dans la paume de sa main et la referma doucement, lui intimant de la cacher.
« Va-t-en et ne te retourne pas. »

Il y eut comme une odeur de fumée qui s’évada du sous-sol du château, tandis que Galwyn venait d’en sortir, interrogé. Elle l’avait pour la énième fois rejeté, sans lui dire pourquoi, et surtout sans mentionner leurs secondes retrouvailles. Ses pupilles se rivèrent en direction de ces murs qui la séparaient une fois de plus de son unique famille. Comme elle lui avait conseillé, il cessa de se retourner et avança courageusement, jusqu’à ce qu’il ai traversé entièrement le village qui lui avait servi de lieu natal. Rejoignant ce chemin de terre qui l’entraînerait dans une forêt verdoyante, il sentit un vide se creuser dans son cœur tandis que la bague de sa mère reposait toujours au creux de sa main. Fébrile, il la contempla jusqu’à ce qu’une voix dans ses pensées l’extirpa de ses rêveries. Il s’agissait de celle de sa mère, tremblante et mourante, entonnant d’étranges paroles incompréhensibles qui illuminèrent la bague et lui permirent de faire apparaître un tunnel derrière lequel Galwyn pouvait la voir, cette île inconnue, celle que nous connaissons sous le nom de Cassilmena. Lui qui était si intelligent, comprit qu’on s’était lâchement débarrassé de sa mère, et saisissant le sens de ces formules prononcées dans un dernier souffle, il leva le voile sur ses origines. Finalement, ce sorcier qui lui avait enseigné la majeure partie de ses pouvoirs, n’avait fait qu’éveiller ceux qui sommeillaient en lui depuis sa plus tendre enfance. Ainsi, tout s’expliquait. Elle venait de lui offrir une seconde chance, celle de recommencer sa vie et d’acquérir la puissance quoiqu’il arrive. D’accord, il le ferait. Avant que ses ennemis ne le réduisent en charpie, il ne fit qu’un avec ce tunnel qui se referma après son passage. Il disparut définitivement du continent de Vahagan où on ne le retrouva plus jamais. Maintenant, son âme appartenait entièrement à Cassilmena, île dont il s’apprêtait à concevoir l’histoire parmi d’autres races, d’autres peuples.
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Sayuki
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MessageSujet: Re: Galwyn Vahagan [ sorcier ]   Galwyn Vahagan [ sorcier ] Icon_minitimeMer 5 Nov - 22:51

Re-Bienvenue ma puce ! Wink
Bon, je n'ai pas encore lu, et je t'avoue que ce soir je n'ai ni le temps, ni la motivation. Néanmoins, connaissant ton style j'imagine que ta fiche est parfaite (elle l'est déjà au niveau du nombre de ligne à respecter.)
Donc tu peux commencer le rp, je la validerai quand je l'aurais lu (demain sûrement ^^)
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MessageSujet: Re: Galwyn Vahagan [ sorcier ]   Galwyn Vahagan [ sorcier ] Icon_minitime

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