Cassilmena
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 Kyojà |ange déchue|

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MessageSujet: Kyojà |ange déchue|   Kyojà |ange déchue| Icon_minitimeLun 7 Juil - 20:15

Pour votre personnage:


- Nom : En tant qu’ancienne ange, Dieu ne lui en aura pas donné.
- Prénom : Kyojà (nom de substitution de son identité angélique qui était autrefois « Habuhiah » cf. Histoire )
- Sexe : féminin
- Âge : plus d’un siècle
- Race : ange déchue
- Pouvoirs :
Pouvoirs communs à toutes les races :
-Voler
-Communiquer par télépathie

Pouvoirs propres à sa race :
-Contrôle des illusions
-Chute de plumes
-Choix multiples

Pouvoirs acquis de son propre chef:
-Contrôle de la terre
-Copier l'attaque d'un ennemi

- Armes : Le bandeau qu’elle porte dans ses cheveux peut s’étendre et servir de fouet, ou d’objet permettant de neutraliser l’ennemi. Pour le combat au corps à corps, elle se montre très habile dans le maniement d’une paire de dagues, forgées au Paradis, volées par Kyojà.

- Physique : Kyojà, poupée de cire ou poupée de sang ? Telle est la question que l’on se pose lorsque l’on contemple cette ravissante ange déchue pour la première fois. On hésite sur son apparence, on se dit qu’elle possède un charme incommensurable, mais en même temps, on est persuadé de l’inquiétude que peut susciter son regard durci par les évènements du passé. Kyojà a une apparence quelque peu candide. Tout d’abord, parce qu’elle possède dans ses cheveux noirs comme l’ébène un bandeau rouge écarlate, au petit nœud très significatif sur le côté, et qui est une des principales caractéristiques de cet étrange personnage. Pleine de maturité, cette dernière est deux fois plus présente dans le durcissement de ses mirettes océaniques, qui transpercent sans une once de difficulté l’obscurité, par leur bleu étourdissant et perçant. En plus d’être comme tels, ses yeux sont à eux seuls une véritable calamité à supporter, tant par la tristesse qu’ils dégagent que pour la mesquinerie qui en émane. Il est évident que cette femme, de par ses gestes mécaniques et ses sourires douteux, ne vous veut pas que du bien.
Ainsi, pour poursuivre sa description physique, notons la douceur et la propreté de ses cheveux, seule chose dont elle semble prendre soin sur son corps, car autrement, sa peau est marquée ci-et là de petites griffures venant d’on ne sait où. En revanche, son visage très fin, au nez peu présent, aux lèvres fines et vermeilles, a été épargné, et il est important de spécifier le teint légèrement mate de sa peau. Et même si ce hale léger peut paraître appréciable, il n’en est rien puisqu’il résulte d’une chute lente qui aurait pu lui coûter la vie. Sans doute y a-t-elle échappé plus d’une fois, et c’est la raison pour laquelle elle défie la mort, lorsque cette dernière la chasse au galop. Par conséquent, Kyojà est une femme au visage froid, fermé, une personne frigide aux gestes machinaux, aux épaules frêles et fragiles, tremblotant lorsqu’elle est prise d’une insatiable envie d’infliger le mal. Une véritable boule de nerfs, dont le corps maigre et peu formé est enveloppé d’un tissu semblable à du lin, donnant ainsi une robe s’agençant avec la couleur et le style du bandeau qui emprisonne la chevelure de la demoiselle. Tandis que son visage est quelque peu voilé par une frange épaisse et désordonnée, sa taille de guêpe s’accompagne de hanches peu présentes, voire inexistantes. Ainsi, elle n’est nullement attirante et n’inspire pas grand monde, bien que son aspect enfantin peut attiser la curiosité de beaucoup. Ses petites petons se retrouvent chaussés dans de ravissantes sandales vernies, et n’oublions pas les fameuses jarretières d’une blancheur immaculée, recouvrant ses mollets pour se fondre dans la pénombre de cette robe unique. Une Alice au pays des cauchemars, dont le côté obscur prédomine et ne la rend pas si sympathique que cela. Pas très grande, elle est souvent désavantagée par rapport à cela, ou du moins le pense-t-on, car la force de ses poignets est inégalable. En effet, derrière cette faiblesse se cache beaucoup de cruauté, mais il n’est pas nécessaire de le préciser dans ce champs. Ainsi, je vous invite à vous reporter à son profil psychologique.
Pour finir, sur le corps de Kyojà flotte une odeur étrange. Comme empruntée à la mort et à ses loyaux sujets. Ainsi, elle met mal à l’aise, effraie, interroge, et dans son mutisme sème la confusion. Elle est à elle seule un emblème de Mort. Sans doute parce qu’elle est étroitement liée à celle-ci ? Qui sait ?!

- Caractère : Kyojà n’est pas une femme tranquille. Elle ne l’a jamais été et dès sa plus tendre enfance s’est montrée très rigoureuse et exigeante autant envers elle qu’envers les autres. Elle a le sens du détail, et ne supporte pas que rien n’aille dans son sens, elle est de ce fait autoritaire, peut devenir excessivement odieuse lorsqu’une personne ne suit pas le même raisonnement qu’elle. Elle considère toute personne ne raisonnant pas comme elle, comme une sous-espèce qui ne mérite pas sa place dans le monde. Atteinte par un important complexe de supériorité, elle se place continuellement au-dessus des autres, par orgueil, et parce qu’elle a constamment besoin d’attirer l’attention sur elle tout en s’aimant avec exacerbation. De ce fait, le reflet qu’elle a de sa propre personne est complètement déformé par la personnalité qu’elle ce sera créée de toute pièce, dans sa présomption, son envie de bien faire et le surmenage qu’elle fait subir à son corps et à son esprit pour arriver au bout de ses objectifs. Jeune, elle fut appréciée pour sa rigueur. Mais en grandissant, cette rigueur devint un danger pour elle, puisque sa détermination prendra le dessus dans des domaines susceptibles de mettre en péril son existence, la Mort étant l’un des principaux. En réalité fragile car aveuglée par ses obsessions et poussée de ce fait, à refuser les contraintes sociales, elle éprouve beaucoup de difficultés à tisser des liens. Aux premiers abords froide, taciturne et frigide, elle est complexe à cerner autant dans ses gestes quelques fois incohérents avec ses paroles, que dans sa manière de penser et de voir les choses. Le monde d’aujourd’hui ne lui inspire rien d’autre que de l’immondice, et bien qu’elle se persuade du contraire, elle recherche désespérément un moyen de se faire entendre.
Une partie d’elle ne pense pas à mal en voulant se jouer des autres, et de tout ce qui peut lui nuire. Car une partie angélique de sa personne lui ordonne de ne pas agir comme tel. Mais ne supportant pas les lois qu’aura instauré Dieu de son propre chef, écrasant ainsi une bonne partie de sa population, elle sent le côté obscur de sa personnalité prendre le dessus, la faisant quelques fois chavirer entre le bien et le mal. Elle est donc une ange déchue perdue, indécise, qui refuse de s’accepter comme enfant de Dieu mais qui, au fond d’elle, aimerait encore être comptée parmi les rangs célestes. Cependant, son sens exacerbé de la justice et sa rancune profonde à l’encontre de tout ce qui touche de près ou de loin à la religion, la rendent plus qu’exécrable et irritable. D’un naturel facile à émoustiller, elle perd rapidement patience et devient incontrôlable, notamment en combat.

- Qualités/défauts : Malgré ses nombreux défauts, Kyojà possède aussi des qualités qui ne sont pas à négliger pour mieux la comprendre. Ce qui peut la sauver de sa déchéance, c’est son esprit très compétitif ainsi que son réalisme considérable. En effet, bien qu’elle ait agi sans prendre de recul pour ensuite se faire rejeter du Paradis, elle est suffisamment intelligente pour se rendre compte de la valeur de tout ce qu’elle a perdu, que ce soit sa lumière, sa pureté, et tout ce qui faisait d’elle un Etre de Lumière à part entière. De plus, elle a un bon sens de la répartie qui lui permet de balayer des conflits avec elle-même ou avec autrui. D’un naturel réfléchi, elle ne démarre plus au quart de tour comme autrefois et a appris à méditer avant d’agir sans se demander si cela aura des conséquences graves ou bénignes. Par conséquent, elle est parfaitement consciente de ce qu’elle fait, même si ça n’en a pas toujours l’air. Elle vit dans l’espoir de ne pas se brûler les ailes une deuxième fois, bien que son attitude laisse plus penser à une suicidaire qu’à une ange déchue tenant à la vie.
Et pour en venir à ses défauts, disons qu’elle est un tantinet froide, taciturne, peu bavarde. Fonce tête baissée quand il ne faut pas. On peut la penser indigne de confiance, elle n’inspire rien d’autres que la méchanceté et la trahison à cause de la noirceur de ses ailes. Cependant, elle n’est pas que cela. Elle est aussi odieuse à ses heures perdues, hargneuse, quelque peu égarée lorsqu’elle doit prendre des décisions envers le Bien ou le Mal. Elle est indécise, flanche entre les deux camps sans savoir où cela peut la mener, bien qu’elle ne soit pas une Réprouvée et qu’il n’y a aucun doute à avoir. Alors, de plus en plus elle se dirige vers le Mal, avec moins de regrets. Refusant les contraintes sociales, elle peut paraître agoraphobe voire légèrement ermite, puisque très discrète et retirée. Mais sa présence met tellement mal à l’aise, qu’il n’est pas difficile de la rater et c’est peut-être à cause de cela qu’elle a tendance à devenir irritable, exécrable, incorrigible et quelques fois vulgaire. Lorsque Kyojà a quelque chose de profondément ancré dans son cœur à dire, elle l’avoue sans aucun tact, manquant ainsi de finesse et d’éloquence.
Mais son énorme défaut, serait probablement sa complexité.
- Aime/aime pas : Kyojà aime guerroyer pour des causes qui la passionnent et lui donnent des ailes dans tous les sens du terme. Son amour pour tout ce qui touche de près ou de loin à la justice, l’entraîne très souvent dans des guêpiers inimaginables. Elle apprécie les personnes qui partagent les mêmes intérêts qu’elle, les mêmes domaines de prédilection et qui sont de préférence, des anges déchus. La seule race avec laquelle elle pourrait avoir de réelles hostilités serait celle des anges, bien qu’elle ne soit pas entièrement la cause de sa déchéance. Pour des petits détails sans importance, Kyojà a une certaine affection pour le rouge, pour les plats salés et épicés et a un faible pour l’alcool. Très ouverte à l’art, elle ne manque pas d’admirer ce qui l’entoure bien que ce soit quelques fois, avec désolation.
Elle n’aime pas, par conséquent, les personnes qui vont à l’encontre de ses idées et qui entravent son chemin vers la victoire. Elle ne supporte pas l’idée de ne pas avoir ce qu’elle veut, étant capricieuse et quelques fois immature. Elle exècre la pureté dont les anges se vantent éperdument, et ne supporte pas les endroits religieux où elle ne se recueille jamais volontiers, à moins que son côté angélique ne ressorte, chose très rare, puisque ce dernier est enfoui au fond d’elle. Elle n’aime pas agir sans réfléchir, perdre et ne pas pouvoir déjouer des plans foireux lui portant atteinte. Elle déteste les projets douteux et graveleux dont on n’est pas sûr de sa réussite, et ne se sent pas rassurée de marcher à l’aveuglette lorsqu’il s’agit de prendre une décision importante, impliquant le Bien et le Mal.

- Petit plus : le noir de ses ailes possède des reflets grisâtres très voyants.

pour votre compagnon :


- Prénom :Crow : https://2img.net/r/ihimizer/img253/2336/crowbs2.jpg
- Race : fée
- Pouvoir : Crow possède des ongles acérés puisqu’elle provient des profondeurs infernales. Ses ongles sont continuellement imprégnés de venin, qui agit comme le sang dans son corps. Par conséquent, une griffure, et un poison procurant des hallucinations vous déstabilise. Les effets ne se dissipe qu’au bout d’une trentaine de minutes, le temps de vous ralentir. Mais ils ne sont pas forts.

- Description physique + caractérielle : Crow est une fée à la peau très laiteuse, cadavérique, au teint maladif. Sa carrure très fébrile et son corps famélique n’arrangent pas les choses, mais ce n’est pas pour autant que la demoiselle est faible, puisque malgré sa maigre consistance, elle est pleine de ressources et d’énergie. Crow a une chevelure noire coupée au carré et possédant un dégradé quasi invisible, qui lui donne un visage plus adulte que celui de Kyojà. Ses yeux aussi sont noirs, de même pour ses sourcils parfaitement symétrique. Sa bouille est quasiment celle d’un enfant, et sa coupe rattrape cette candeur pour la lui ôter lentement mais sûrement. De plus, malgré la maigreur de son corps, elle possède des formes plus ou moins féminines, notamment au niveau de la poitrine. Ses ongles acérés, semblables à des griffes, sont vernis de noir, et pour ne pas changer, Crow est également vêtue d’une robe noire. Faisant tout dans l’obscurité, ses ailes de corbeau octroient une certaine monotonie à son allure, et la rendent plus obscure que jamais. Crow fait la taille de la main de sa maîtresse, et vole pieds nus.

Compte tenu de sa personnalité, Crow est quelqu’un de très dévoué, qui fut recueillie par Kyojà sur les terres infernales tandis qu’elle était sans famille. Très malicieuse, Crow n’en est pas moins reconnaissante et altruiste, mais uniquement envers les personnes qu’aime Kyojà. Par conséquent, les amis de l’ange déchue sont aussi ceux de la fée, qui derrière sa race enjolivée par les contes pour enfants, reste une rebelle de son peuple. Quelques fois rancunière, Crow passe vite l’éponge lorsqu’il s’agit d’une personne qu’elle apprécie, et plus encore quand il est question de Kyojà. Néanmoins, la petite tient à son indépendance et ne se refuse pas des petites escapades en solitaire, histoire de couper le lien qui l’unit à l’ange déchue, aussi froide qu’un iceberg. Non pas qu’elle se lasse de sa compagnie, mais il arrive qu’elle se sente mal à l’aise, sans aucune raison explicable. Effrayée à l’idée de décevoir, Crow est une fée qui possède une voix mélodieuse, semblable à une douce rhapsodie.
- Aime/Aime pas : Très gourmande, Crow mange de tout et ne se refuse pas des plats bien plus consistants que la taille de son estomac. Elle apprécie les gens loyaux, qui tiennent leurs promesses et ne jugent pas que sur les apparences. Toutefois, elle aime aussi les personnes qui ne se laissent pas marcher sur les pieds, qui lui donnent du fil à retordre, tout en se comportant avec franchise envers elle. Elle a donc un esprit compétitif.
En revanche, elle ne supporte pas les personnes malhonnêtes, indignes de confiance, trop pures pour voir la réalité du monde. Les fantasmes utopiques ne sont pas pour elle, elle les exècre par-dessus tout et s’efforce de les bannir de son mode de pensée, bien qu’elle soit tentée à plusieurs reprises d’œuvrer pour un monde nouveau. Toutefois, ce n’est pas dans ses intentions, puisque sa nature maléfique l’en empêche délibérément. Quelques fois mesquine, Crow a du répondant et donc, n’aime pas qu’on la provoque sans crier gare. Elle méprise les imprévus et n’aime pas être oubliée par Kyojà, trop égocentrique à son goût, et elle le lui fait bien comprendre.
- Petit plus : comme son nom l’indique, Crow possède des ailes semblables à celles d’un corbeau.

[ Deuxième personnage de Glow ]


Dernière édition par Kyojà le Mer 9 Juil - 13:39, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Kyojà |ange déchue|   Kyojà |ange déchue| Icon_minitimeLun 7 Juil - 21:17

Re-Bienvenue alors ^^

Bonne chance pour ton histoire!
J'aime déjà beaucoup ta fiche pour l'instant!
Par compte tu n'as droità qu'à 5 pouvoirs!
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MessageSujet: Re: Kyojà |ange déchue|   Kyojà |ange déchue| Icon_minitimeMer 9 Juil - 13:18

Merci beaucoup!

Mais normalement pour les pouvoirs c'est bon, hormis que j'avais oublié de recopier Choix multiples qui est propre à sa race. J'ai ajouté les pouvoirs communs à toutes les races pour faire le topo de tous les pouvoirs, mais à l'origine j'ai bien cinq pouvoirs! ^^'''

Est-ce que c'est bon ou est-ce qu'il y a confusion? =/

Histoire

|| Dans ce monde, il y a deux clans : les meurtriers et les victimes. Je suis la meurtrière, tu es la victime. ||


Dieu créa les anges pour ne pas endosser seul le rôle de régisseur du monde. Mais Dieu n’engendra pas que d’éternels bons samaritains, puisque beaucoup le trahirent et suivirent Lucifel, actuellement nommé Lucifer, dans sa chute vertigineuse. La hiérarchie angélique eut besoin de se reconstruire à cette époque, et outre les interdits que bravaient certains anges pour engendrer des Réprouvés, il y avait ceux qui perdirent leur Lumière pour une toute autre raison.

Suivons ici le parcours d’Habuhiah. 68ème ange de la Kabbale, sans doute l’une des plus basses de ses catégories, puisque située dans le dernier paradis, celui qui demeurait proche des hommes. On disait que les occupants de cette catégorie étaient semblables à des enfants, et furent appelés familièrement les Keroubim, probablement parce qu’on ne voulait point les offenser avec de si longues paroles. Car en plus de les croire impurs, on les disait inintelligents.
En revanche, les prestigieux séraphins furent considérés comme des Messies, les uniques à être au-dessus de tout. Les plus proches du Dieu divin, épuisé de son interminable bataille avec Lucifer.

Pendant que lui se régénérait lentement mais sûrement, le Royaume des Anges évoluait considérablement. On abandonna une vision trop austère de l’univers et élargit ses connaissances. Durant cette période, les terres du Yin et du Yang étaient surveillées de très près, et chacun veillant au grain, se permit d’y ajouter son empreinte. Beaucoup d’Etres de Lumière descendirent sur les terres mortelles ou les terres humaines si vous préférez, et la majeure partie d’entre eux en revenaient, démunis de toute pureté telle qu’elle soit. Et quelle était l’expiation pour chaque interdit ? On leur tranchait inéluctablement les ailes, et après les avoir saigné comme des porcs les achevait, tout doucement, lentement, jusqu’à ce qu’ils poussent leur ultime gémissement de douleur. Personne pour les écouter, seulement Dieu pour ronfler sur leur compte, le coude appuyé sur son trône, et sa tête rondouillarde s’abandonnant dans la paume de sa main, yeux clos et visage fatigué. Les Keroubim étaient généralement victimes de cet affront, puisqu’on les obligeait à descendre sur ces terres infâmes pour les défier, les mettre à l’épreuve, masquant cela comme une mission de reconnaissance pour vérifier que le Mal ne perdure pas.
En réalité, il n’en était rien. Les Keroubim étaient comme victimes d’un génocide qu’ils ne voyaient pas venir, parce que justement, ils n’étaient pas suffisamment pertinents. Mais si certains d’entre eux étaient en effet naïfs ou obsédés à l’idée de satisfaire leurs supérieurs, il y en avait chez qui la rancœur augmentait, devenant une minuscule flammèche grandissant peu à peu dans le cœur des principaux concernés. Malheureusement pour elle, ou heureusement peut-être, Habuhiah fut la cible de cette petite flammèche qui titilla son âme. Elle lui brûlait les doigts, l’esprit, les yeux, le corps, et prenait les décisions à sa place. Elle fit d’elle ce qu’aucun séraphin n’aurait voulu voir au Paradis. Une véritable révolutionnaire, esprit compétitif, qui dès sa création se montra plus vive que ce qu’on ne se l’était imaginé. Ce qui choqua fut sa froideur et son évident manque d’hospitalité, et on essaya diverses expériences pour reformater son cerveau. On profita de son enfance en tant qu’ange pour la manipuler, lui inculquer des valeurs qu’il était très important de retenir. Et quand elle arracha son premier sourire, carnassier était-il, on jugea bon de laisser le temps faire son œuvre. Car après tout, une Keroubim ne pouvait rien contre son Destin.
Le premier événement qui raviva la flamme s’épanouissant en elle fut le suivant. A partir d’un certain âge, on s’inquiéta de l’obstination d’Habuhiah à aller contre certaines règles de conduite. On la jugea défaillante, politiquement incorrecte. Sa jeunesse l’excusa et on mit en avant son envie de se rebeller, une sorte de crise d’adolescence propre aux humains mais dont elle fut accidentellement sujette. On en conclut donc qu’aucun moyen n’était plus infaillible que de contenir ce mauvais esprit qui l’habitait. Tout se passa de cette manière.
« Numéro 68, nous aimerions que vous preniez ce cachet. Il combattra votre nervosité chronique, vous verrez, vous vous sentirez mieux après cela. »
Ledit cachet ressemblait à une petite gélule ayant pour symbole une aile céleste, symbolique d’un monde paradisiaque où personne d’autre qu’un ange n’avait sa place. Habuhiah considérait l’objet avec intérêt, et fut contrainte de l’avaler sous peine de voir son espérance de vie raccourcir. Toutefois, elle doutait de la fiabilité de ce médicament, elle était même à peu près sûre de sa dangerosité, vu le regard prudent et méfiant de la nonne qui le lui avait proposé. Derrière ses airs farouches devaient se trouver bien des projets ambitieux, et l’ange fit mine de déglutir pour que le soi-disant remède parcoure son tube digestif. Elle ne pipa plus mot jusqu’alors, et se sentit confuse en voyant la nonne lui tourner cruellement le dos, et cela sans donner de plus amples explications. Elle patienta longuement, guettant l’instant idéal pour se débarrasser de cette substance âcre qui logeait en-dessous de sa langue. Un air de dégoût aurait vite fait de déformer le visage de quiconque, mais parce que cette couverture était plus importante que tout, l’ange en toute innocence, recracha discrètement le médicament dans la paume de sa main. De loin, elle pouvait voir la nonne œuvrer pour Dieu, s’occupant de l’autel localisé dans la chapelle, à proximité des appartements des Keroubim. Elle semblait nerveuse, ses gestes devenus mécaniques interpellèrent subitement l’ange numéro 68. Et loin de se douter que tout était une question de vie et de mort, elle se glissa hors de sa couche, et entreprit de s’approcher de la nonne. Lorsqu’elle posa une main fébrile sur ses épaules tremblantes, elle la vit sursauter, manquant de renverser plus de la moitié des cierges présents sur l’autel. Elle semblait aussi étonnée qu’elle, époustouflée de la voir respirer. Elle la pointa étrangement du doigt, et fut prise de sanglots, comme effrayée par le Malin. Habuhiah arqua un sourcil, se demandant d’où pouvait provenir cet effroi inexpliqué. Perdait-elle la tête ou étaient-ce les nombreux bourrages de crâne qui l’avaient rendue aussi paranoïaque ? L’ange l’ignorait complètement et n’avait nullement envie de connaître la réponse. Tout ce qu’elle constatait, c’était que tout se tramait autour de ce médicament qu’elle lui avait demandé de prendre. Soi-disant que c’était pour son bien ! Etrangement, Habuhiah doutait de ses dires, et ce manque de confiance était aussi une preuve de sa trahison, une preuve qu’elle se détournait du chemin divin pour aller vers d’autres horizons.
Sa rancune et sa curiosité furent telles qu’elle entreprit de tester la nonne d’une toute autre manière. Elle avait décidé de se servir d’elle comme d’un indice pour son enquête. Il était évident que cette gélule était à l’origine de ses malheurs, et que quoiqu’elle puisse en dire, quelque chose sonnait faux…
La manœuvre était simple. Introduire la gélule dans un mets aux aliments exotiques très appréciables. Connaissant la personnalité de la nonne qui la servait depuis sa tendre enfance angélique, elle pouvait manipuler ses sens en jouant avec tout ce qu’elle aimait. Les aliments colorés et goutus l’attiraient inexorablement, et y insérant soigneusement la gélule au milieu de ces couleurs tropicales, Habuhiah lui offrit avec reconnaissance ce florilège de saveurs. L’effet fut immédiat. Habuhiah comprit bien vite que l’on avait attenté à sa vie, puisque la pénétration du médicament au sein de son organisme, suffit à rompre toute étincelle de vie dans le regard de la nonne. Elle s’effondra tragiquement sur le sol, se tenant la poitrine à deux mains, tandis que son cœur s’arrêtait de battre brusquement. Elle avait lancé un regard avide de pitié à la traîtresse, et dans l’incompréhension avait vainement essayé de la questionner. Mais au-dessus de son corps désormais inerte, Habuhiah se contenta de réfléchir, saisissant le peu d’importance qu’on lui donnait. Après tout n’avait-on pas essayé de la tuer ?

Pour ne pas paniquer l’ensemble de la hiérarchie angélique, on étouffa l’affaire. Cependant, on ne laissa aucun répit à Habuhiah qui dut subir une multitude d’interrogatoires tous plus farfelus les uns que les autres. On procéda avec obstination, allant jusqu’à utiliser la torture pour la faire parler. Mais son silence était provocateur et énervant. Ainsi, on opta pour l’expiation ultime : lui couper les ailes. Et en connaissant son châtiment, l’ange parla finalement en dénonçant le complot que l’on avait monté contre elle, remettant en cause l’existence d’une gélule stoppant tout le système cardiaque, mettant ainsi fin à la vie de celui qui l’avait ingéré. On ne la crut pas, ou du moins niait-on l’évidence. Ce produit défectueux ne pouvait que mentir, puisque détourné de la voie de Dieu. On ne lui rendit pas justice, et profita de sa mauvaise réputation pour la faire juger.
Mais bien avant cela, Habuhiah se rendit compte des horreurs que l’on faisait subir aux anges de basses catégories. Que ce soit des agressions sexuelles, visant à les démunir de toute pureté tout en se faisant plaisir, et les descentes régulières sur terre qui les corrompaient sans qu’ils ne soient au courant de quoique ce soit, tout laissait penser que les Keroubim n’étaient que des boucs émissaires. De parfaites victimes expiatoires, des défouloirs sur lesquels toutes les erreurs angéliques pesaient. Leurs épaules étaient meurtries par le faix que l’on déposait lourdement sur eux, alors qu’ils n’y étaient pour rien, et que leur unique rêve était de vivre aussi libres que les séraphins ou les chérubins. L’archange qui régissait cette catégorie était lui aussi mis dans le même panier. De plus, femme d’autorité, elle n’avait aucune influence dans le gouvernement. Et malgré son envie de défendre Habuhiah, ne put entraver bien longtemps le parcours des autres juges angéliques.
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MessageSujet: Re: Kyojà |ange déchue|   Kyojà |ange déchue| Icon_minitimeMer 9 Juil - 13:38

Pendant les conflits, Habuhiah remarqua le petit nombre de séraphins et de chérubins sur le champs de bataille. Elle reconnut une bonne partie de ses semblables, et aura connu d’eux une mort atroce et inacceptable. Les êtres maléfiques qui se rebellaient entre temps s’en donnaient à cœur joie, terrassant les déchets de leurs ennemis, se délectant de leur chair angélique tout en écartelant le squelette de leurs ailes avec avidité. A eux seuls, sans s’en rendre compte, ils nettoyaient la hiérarchie céleste, débarrassant ainsi les supérieurs divins de boulets qu’ils étaient obligés d’hisser vers le haut, afin de ne pas les laisser se rebeller. Leur objectif était simple. Les dégoûter de la vie puis leur faire profiter d’un décès effroyable, dans la souffrance et la culpabilité. Beaucoup s’étaient fait humiliés, d’autres s’étaient aussi donnés la Mort dans l’espoir de dénicher une vie meilleure dans une réincarnation prochaine. Il y avait ceux qui pactisaient avec les anges déchus anciennement connus pour leur lumière angélique, puis qui s’en allaient sans donner signe de vie pendant plusieurs mois. On les classait comme traîtres, et ils étaient recherchés activement par les autorités célestes, afin qu’aucun élément ne puisse nuire à la hiérarchie. On ne se préoccupait nullement de l’état d’âme de chacun, et la seule chose qui occupait l’esprit des plus hauts placés, c’était la reconnaissance d’un Dieu qui ronflait, pendant qu’eux se tuaient à la tâche.

Durant la catastrophe qui toucha les terres du Yin et du Yang, la plupart des anges hautement placés ne bronchèrent pas, assistés comme des enfants par les plus démunis. Beaucoup de Keroubim moururent, et ils furent malheureusement réduits au nombre de huit au bout de quelques années de conflits, et de remise en question. L’archange recteur qui les guidait tant bien que mal vers la Lumière et l’Espoir, voyait en eux une lueur qui n’attendait qu’à grandir pour faire d’eux des Etres de Lumières exemplaires. Cependant, plus il les raisonnait, moins il gagnait leur confiance. Cette femme échouait dans tout ce qu’elle entreprenait, et toutes ses démarches étaient vaines. Peu à peu, elle perdit le soutien de ses anges, pour la simple et bonne raison qu’une dénommée Habuhiah l’avait détrônée.
Sortie de l’ombre après avoir été jugée comme future exécutée, on l’avait laissée errer éternellement jusqu’à ce qu’elle trouve la mort d’elle-même. Elle bénéficiait d’un délai de quelques ans pour trouver un moyen de périr, afin que toute la société soit contentée. Ainsi, elle se baladait dans les corridors célestes, après avoir échappé à l’expiation ultime. Mains dans les poches, des chaînes entourant ses poignets, elle était incapable de nuire physiquement aux autres. Cependant, elle avait un esprit révolutionnaire et persuasif, qui put influencer le peu de semblables qu’il lui restait. L’archange recteur qui avait tant bien que mal essayé de la défendre tomba des nus, lorsque ses propres anges se retournèrent contre elle, prenant pour initiative de la tuer afin de montrer l’exemple, de prouver que les Keroubim n’étaient pas que des larbins, et avaient aussi la capacité de se rebeller. Habuhiah restant en arrière, ne prenant plus aucun recul et fonçant tête baissée dans tout ce qu’elle faisait, assista à un meurtre barbare. On avait profité d’un sommeil profond pour forcer la vie de l’archange à quitter son corps, et lorsque chose fut faite, tout bascula. La catégorie des Keroubim n’existait plus, et ces neuf anges ne furent plus que des poisons, rongeant à petit feu la hiérarchie qu’ils reniaient délibérément. En fin de compte, ils perdirent tragiquement, le jugement d’Habuhiah approchant, et les actes de ses loyaux sujets perdant de leur importance. On les craignait de moins en moins à partir du moment où l’on comprenait leurs agissements, et leurs raisons leur paraissaient si faibles, qu’on employa les grands moyens. Finalement rejetés du paradis, Habuhiah se retrouva seule quelques temps plus tard, poings liés et privée d’une liberté de parole qu’elle aurait pu obtenir en s’assagissant. Ses sbires n’étaient plus là pour la soutenir.

Des années après, comme condamnée à aller voir Madame la Mort pour toute explication, Habuhiah reçut une visite inopportune durant une période, où le gouvernement angélique était sans dessus dessous. Il y avait beaucoup de révoltes et de barbarie, et les influences de l’ange 68 avait laissé des séquelles considérables, qui perduraient au fil du temps. Rien que sa présence émoustillait l’esprit des plus valeureux, prenant exemple sur elle, mais se faisant inéluctablement éjecter. En fin de compte, tous ces évènements intéressèrent l’un des anges déchus les plus connus qu’il soit. On l’appelait Bélial. Ange de la corruption, de la stérilité, de l’homosexualité, ambassadeur d’Italie, anciennement Vertu. D’un naturel enjoué, il se présenta à Habuhiah comme un cheveu sur la soupe, après avoir possédé avec perversité le corps d’une nonne, innocentée par sa pureté. Il se présenta à elle sous sa véritable identité, ne cherchant pas à multiplier les mensonges. Il lui montra toute son admiration pour ses initiatives, et remarqua que son regard s’était durci depuis le temps, car tout ce qu’on disait d’elle n’était plus valable. Quoi de plus normal ? Le temps changeait, et les personnes qui le subissaient avec. Ainsi, profitant de ses motivations purement révolutionnaires, le corrupteur entreprit de se servit d’elle à son dépend.
« Notre marché est simple. Ebranlez toute la hiérarchie angélique en l’attaquant en plein cœur. Ce qui fait sa force, c’est son armée. Ainsi, tout ce que vous avez à faire, c’est de chambouler l’équilibre que prodigue l’armée céleste à sa société. »
C’était une manière simple et délicate de demander d’exécuter la majeure partie du quartier de guerre angélique. Habuhiah le toisa hautainement. En fait, elle ne se pensait pas réellement à la hauteur, persuadée que seule, elle n’arriverait à rien. Mais avoir le soutien d’un ange déchu était la chose la plus fiable qu’elle ai pu obtenir jusqu’à présent, alors pourquoi ne pas profiter de cela après tout ? Allons-y gaiement.
Par conséquent, appuyée par Bélial qui lui fournit toutes les « armes » nécessaires à son ultime revanche, l’ange parvint à exterminer les éléments les plus importants de l’armée, sans pour autant exécuter plus de la moitié d’entre eux. Avec un peu de réalisme, on savait pertinemment que cela était techniquement impossible, et bien que l‘ange déchu ait ôté les chaînes qui liaient les poignets de sa « protégée », Habuhiah n’avait pas la puissance requise pour se donner autant de plaisir. Ainsi, peu après qu’elle n’ai accompli ses méfaits, elle s’offrit une récompense et déroba de performantes dagues dont elle se servit comme arme pour se défendre par la suite. Bélial profita de la faiblesse creusée par l’esprit angélique corrompu, pour rendre vulnérable la hiérarchie angélique. Ce fut une nouvelle période difficile qui débuta pour les anges, contraints de se redresser. Les séraphins durent s’impliquer davantage, autant pour la survie des gens des terres du Yin et du Yang, que pour celle de leur société. Pendant ce temps, Habuhiah se rendit à l’évidence, et plus ou moins fière d’avoir accompli cela, fut sortie de la manipulation orchestrée par l’ange déchu, tout en perdant petit à petit le blanc de ses ailes. Chutant comme ses prédécesseurs, elle se laissa tomber à bras le corps dans un gouffre qui la mena dans les entrailles infernales. Sans une once de regrets, elle avait uniquement peur de regretter la perte de sa lumière, qu'elle remplaça par l'identité de Kyojà. Avec un peu de persuasion, elle parvint à se rassurer et s’étant accrochée jusqu’au bout à ses ambitions, commença une nouvelle vie. Malgré cela, elle savait qu’elle avait complètement échouée. Car si il n’y avait plus personne pour la châtier, il existait encore dans le royaume angélique, des Etres de Lumière qui travaillaient plus que d’autres. Gardant en elle une certaine rancœur, elle affleura à la surface des mois plus tard, en la compagnie d’une fée répondant au nom de Crow. Elle fut son guide jusqu’à ce que lui parvienne la rumeur du cristal maître à laquelle elle était restée fermée, car trop occupée à sauver son honneur et sa vie.

Maintenant que chose était faite, elle se rendit sur l’île de Cassilmena, anciennement les terres du Yin et du Yang, sans rien connaître de ce qui a pu se dérouler ici bas. Consciente que les dégâts encourus étaient en partie causés par la négligence des hauts anges, malgré quelques exceptions, l’ange déchue assuma le noir de ses ailes, tout en gardant dans son esprit, le visage abominé de ses semblables, sacrifiés pour mieux servir.
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Alicia
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Âme(s) soeur(s) : Je ne vois que des fantomes autour de moi, où es tu?
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MessageSujet: Re: Kyojà |ange déchue|   Kyojà |ange déchue| Icon_minitimeMer 9 Juil - 14:36

Coucou,

J'ai pas tout lu j'avoue ^^' Pour tes pouvoirs c'est bon^^

Tu es validée

bon rp parmi nous
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MessageSujet: Re: Kyojà |ange déchue|   Kyojà |ange déchue| Icon_minitime

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