Sage { U.C

- Nom: D'Erlandir.

- Prénom: Sage.

- Sexe: Masculin.

- Âge: 169 années elfiques. Offre une apparence de dix-sept années.

- Race: Elfe.

- Pouvoirs:

- Guérir voire, ressuscité quelqu'un.
- Contrôle de la Nature.
- Fusion végétale.
- Contrôle de la Glace.
- Lire les Pensées.

- Armes:

- Longue Epée.
- Lance Dentelée.

- Physique:

L'espèce humaine a été doter pour chaque individu une identité et un physique différent. Dieu a pris le temps pour chacun d'entre nous à nous forger des différences, parfois positives, d'autres fois étranges. Chaque apparence a un but précis, dire qu'une personne est laide, revient à critiquer le travail du tout puissant. Mais est-il toujours juste lui-même dans certains de ses choix ?

Des yeux dans la nuit. Reflétant la pâle lune qui dans le couchant se projette. Pareilles à de petits miroirs, les yeux de cet individu s'illuminent. D'une couleur argentés. Fins et décidés. Pupilles parfois verticales comme les chats, le soir venu. Son visage élégant, lentement se dessine. Traits fins tels les beaux elfes. Peau soignée et douce, d'une grand pureté. Bouche fine, même si depuis bien longtemps le rire ne l'avait pas effleurée. Ses doux cheveux paraissent presque transparents, d'un blond pur. Coiffés et entretenus, avec une légère épaisseur, ils sont pourtant coupés assez courts. Tout son corps est bien proportionné, Sage est de taille normale, dans les environ d'un mètre quatre-vingt. L'elfe est assez bien musclé pour son jeune âge. Chose rare pour les Elfes, qui sont considérés comme imberbes, généralement Sage entretient une petite barbe naissante.

L'elfe. Propre sur lui. Elégant et gracieux. Habillé de belle manière. Le jeune homme arbore une certaine classe elfique, peu égalée par les humains, sans aucune prétention pour autant. Habillé d'une longue tunique tunique bleue la plupart du temps. Il porte néanmoins parfois un jean délavé, avec une fine chemise de lin blanc, et une veste noire. N'étant pas un combattant pour le moment, Sage ne pense pas encore aux cicatrices et aux blessures qu'il pourrait bientôt subir, dans un avenir plus proche qu'il ne le croit.

- Caractère:

Le caractère de tous êtres est défini dés la naissance. Mais après la mort... Le caractère change, ce ne sont plus les mêmes sauts d'humeur, les mêmes caprices, les mêmes envies. Nous changeons notre manière de vivre. Nous devenons vides. Peu à peu notre vie n'a plus de sens pour nous. Nous nous renfermons sur nous mêmes. Nous ignorons parfois qui nous étions autrefois. Dans une autre vie... Et puis, nous comprenons. Nous acceptons notre sort. Et là, tout devient plus clair à nos yeux. Nous reprenons goût, notre identité nous est rendue. Un elfe un jour a contempler la mort. Dans toute sa grandeur, il s'était décidé à ne plus jamais défier la grande faucheuse. Son père. Jorune. Caractère lié. Aucun temps pour le forger. Celui d'un père, d'un monstre. Désormais révéler...

Autrefois, avant sa mort, Jorune ne vivait que par la luxure. Il ne possédait que des goûts de marques. Descendant de l'aristocratie, il n'aurait pus en être autrement. Vivent au jour le jour, le même tracé quotidien. Chaque jour identique. Élevait dans les grands rituels aristocratiques, Jorune a honorer la promesse faites à son propre père, et a éduqué un héritier vil et détenteur du caractère familiale. Froid. Regardant les autres de hauts. Si les personnes n'avaient pas de respect envers quelqu'un de sa classe, il faisait claquer une réplique houleuse et sec, qui parvenait toujours à brisé l'aplomb de la personne. Critiquant la condition des autres, médisant comme jamais, Jorune était de son vivant un être vil. Abjecte. Se moquant éperdument des notions de respect envers les autres. Il ne voyait que par lui et ses ambitions profondes. Il faisait abstraction du bonheur et de la joie. Il restait impassible à tout. Seul un sourire. Sarcastique, bien souvent servit au jeune Sage. On pouvait le lire sur son visage quand il parvenait à remettre une personne à sa place, ou en offrant une parfaite humiliation à une autre. Sa nature n'était que la copie que celle de son père, transmise de génération en génération, les assassins cultivaient le goût de la parfaite ressemblance. Il avait éduqué son fils pour qu'il devienne le plus parfait héritier. Mais tout ne s'était pas déroulé selon les plans du grand Jorune.

Sage était un clone, marionnette de son père. Diriger comme un moins que rien. Mais la mort emporta le géniteur. Sage s'enferma dans la torpeur. Les épreuves qu'il a malheureusement dû affronter dans sa vie, l'on conduit à se couper de la réalité. Après cela, il n'a connut que le renfermement. Rien de plus. Tous ses traits de caractères se sont brisés. Sans exceptions. Le bonheur qu'il cachait s'était évaporé. La joie s'était tarie. Il ne se reconnaissait plus. Seul son nom restait gravé dans sa mémoire. Il ne pensait plus de la même manière. Tout lui était étranger. Il ne suivait plus les mêmes directives. Il avait tellement changé... Son caractère lui était étranger. Il n'avait plus d'expressions. Il devait se forger une nouvelle identité. Il devenait les chimères qu'il avait jadis vaillamment combattues, de force par son père, certes mais tout de même... Il était devenu son propre fantôme. Il revivait. L'elfe arrivait. Majestueusement, il reprit goût à la vie. Il redevenait celui qu'il aurait dû être depuis tout ce temps. La créature des bois, Sage existait à nouveau.

- Qualités/défauts:

Nature. Lointaine et étrange, Jorune. Monstre. Effroi rejaillissant sur un fils innocent. Echo d'un être sur un autre. Le fils devient le père.

Autrefois, il possédait des défauts. Peut être même avait-il quelques qualités. La nature l'a faites ainsi en ce bas monde. Il y a des êtres qui naissent naturellement bons, d'autres seront vils tout le long de leur vie. Pour Jorune, on ne saurait dire qui il devrait être. Elever par son propre père, il a transmis, comme celui-ci avait fais avec lui, à son fils. Jamais il n'aura pus se forger sa propre personnalité. Mais si il fallait le décrire réellement. Il ne serait pratiquement que défauts. Même sans son père, Jorune aurait été le même homme. Sage, quant à lui, n'aurait très certainement pas été le même...

Les défauts sont toujours la première chose appréciée. Les hommes pensent tout connaître des autres rien qu'avec ces informations. Mais la nature humaine est si stupide. Comme si de simples phrase lancées ainsi pouvaient, vous faire comprendre quel monstre de mépris était Jorune. Il parait si doux, si royal. Du moins il paraissait. Passé quelques minutes en sa présence et ce point de vue aurait été totalement changé. Vous ne le verriez jamais, comme vous l'auriez souhaité. Il n'est pas du tout celui que vous pensiez. Certes, c'est un gentleman. Avec les femmes. Les hommes peuvent bien aller voir ailleurs, il les rabattait avec de belles paroles cinglantes. Si naturellement que cela devient inquiétant. Cet homme ne se battait que par les paroles. Il n'utilisait que cela pour vous poussez à bout. Par sa simple voix. Sa voix sage et transpercent. Une voix impénétrable, qui ne laissait passée aucunes émotions. Une qualité ou un défaut ? Nous l'attribuons plutôt a défaut. Trop sûr de lui, cet homme pensait toujours pouvoir tout maîtriser. Certes il était un grand et puissant de son monde.

Venons à la partie la plus courte de l'existence de Jorune. Ses envies, ses qualités. Et si cet homme n'en avait tout simplement pas eu ? Impossible direz-vous. Vous avez peut être raison dans le fond. Car étant dans la plus grande des aristocraties, son père ne put s'empêcher de lui inculquer les bases d'un jeune homme de bonne famille. Il avait fait de lui un grand gentleman, avec les femmes, seulement avec les femmes. Sage avait uniquement apprécier son père, à ce moment, les hommes... Son père lui avait toujours dit qu'il fallait les écrasés. Sans hésitation. Jorune, lui, avait suivi à la lettre ces paroles, de son père, sans broncher, Sage s'y était refusé. Jorune aimait tellement être au dessus de tout. Mais, repartir dans ses défauts ne nous aidera en rien. Jorune était un être aimant. Oui, vous avez parfaitement compris. Un être aimant. Sa principale qualité me direz-vous ? Détrompez-vous. Jorune a toujours considéré cette adoration comme sa qualité maîtresse, mais cet être aimant, décrit cette qualité comme le faites d'aimer la mort. Tuer était un travail familial, une nouvelle fois Sage s'était dérobé à ce travail. Dans l'aristocratie, celle de Jorune et de ses proches, elle avait été obtenue par la fortune de la famille. Une famille d'assassins. Un emploi qu'il n'avait jamais renié. Jamais. Sage n'oublierait jamais. Il se souvient. Mais il voudrait tellement oublié.

- Aime/aime pas:

Encore une fois subtil mélange. A nouveau père et fils identiques se rejoignent. Comme une répétition le père a enseigné au fils ce qu'il fallait aimer...

Qu'aime-t-on au juste dans la vie ? Aimer est un mot si particulier. Pensez-vous que Jorune l'est connut ? Il portait une définition bien particulière sur ce mot. Mais, il savait aimé. Il préférait néanmoins détester. C'était tellement mieux. Plus simple à vrai dire. Ne porter pas de jugement attife sur l'être qu'était Jorune. Les humains ont cette tendance à toujours juger les autres. Sans forcement les connaître. C'est étrange n'es pas ? Mais revenons au sujet. Jorune était un être qu'il fallait cerner dés le premier abord. Il jugeait sans hésiter. Il ne se trompait que très rarement dans ce qu'il pensait. Il fallait choisir soigneusement ses mots pour ne pas le froisser. Qu'aimait-il ? Je vous laisse le découvrir, mais sachez que les goûts d'une personne change souvent. Il n'y aura jamais aucunes certitudes sur les véritables préférences d'un être quel qu'il soit.



Aimer. Un mot si vaste dans la mémoire que devait posséder le grand Jorune. Ne confondez jamais aimé et amour. Cela n'aurait pas été pardonnable auprès de cet homme. Si il fallait qualifier sa qualité à aimer cela aurait été bien difficile. A vrai dire presque impossible. En effet Jorune s'était créer son propre personnage de toutes parts. Il ne devait aimer que deux seules et uniques choses. La plus grande est bien certainement la beauté. La beauté sous toutes ses formes. Celle d'une femme, d'une peinture ou bien d'autres choses. Les femmes sont pour Jilano la plus grande des beautés. Combien en a-t-il séduit ? Lui même ne se souvient pas. Chaque femmes, il a chérie, chaque femme à eu le droit au même respect. Néanmoins, une femme avait su capté ses désirs, une femme qui lui avait offerte un fils. Jamais sa main ne s'est portée sur la douce peau de celle de la gente féminine. Jamais l'idée n'avait effleurée son esprit. Si il n'a jamais désiré se marier, c'était pour simplement admirer la beauté des autres femmes. Sa jeunesse lui avait offert de nombreux privilège, comme celui d'en séduire un grand nombre. Mais en vieillissant, le gentleman ne parvenait plus que rarement à ses fins. Nous disions deux choses. Croyez-vous que seul les femmes ont égaillées sa curiosité ? Non... La mort était son passe temps favoris. Descendant d'une famille d'assassin comment aurait-il pus ne pas aimé ça ? La traque est une activité si lucrative pour lui. Il aime voir le sang coulé, entendre geindre ses victimes. Les voir mourir à ses pieds. Une passion, plus qu'une simple préférence. L'elfe refuse. Il arbore la même capacité à aimer les femmes, mais à la différence, seule Swan avait réussie à capter ses véritables sentiments.

Le blanc comporte toujours du noir. Quand on aime quelque chose nous en détestons forcement une autre. C'est naturel. Dans le cas de Jorune, il n'aimait pratiquement rien. Hormis la beauté et la mort, tout le reste lui importait peu. Mise à part son apparence qu'il soignait le plus possible. Il envoyait loin tous les êtres, qui l’insupportaient. Il n'aimait personne. Jamais il n'a apporté son affection à quelqu'un d'autre qu'à une femme, ou peut être à son fils. Les hommes n'ont toujours eu le droit qu'à son mépris le plus profond. Le pire est peut être que cela venait du coeur. Toutes ces choses ne lui ont pas étés arracher après sa mort. Sage tentait juste d'oublier. Comme le reste d'ailleurs. Mais pourquoi es si difficile de renier celui que l'on a toujours été ? Même si, une part de l'elfe qui été en lui avait toujours pulser. Peut être qu'un jour la bonté prônera à nouveau, réellement sur le sombre masque de Sage. L'Ombre entre en scène, tel une écharpe de brume. Doucement, il vous attend. Dans l'ombre il vous guette. Et quand vous le remarquez enfin, il est déjà trop tard. Votre âme n'est plus. Vous devenez léger. Le monde s'arrête tout autour de vous. C'est là que vous prenez conscience de vous même. De votre être. C'est à ce moment précis que Sage a cessé d'être comme son père...

- Petit plus : Je précise que les descriptions sont principalement axées sur le père de Sage, ce qui est normal dû à la pression qu'exercer celui-ci sur son fils. Mon personnage n'a pas réellement eu le temps de se forgeait sa véritable identité.



- Prénom: Hathir.
- Race: Cheval.
- Pouvoir:

- Parler par la pensée, seulement avec Sage.

- Description physique + caractérielle:

Hathir est un cheval capricieux, surtout envers les humains qu'il méprise plus que tout. Il arbore une belle robe de soie brune et de grands yeux bleus, tels le ciel. L'étalon n'accepte que son maître sur son dos, les autres pouvant déguerpir pour éviter le magnifique coup de sabot qui les attend. Hathir n'a connu dans sa vie que deux êtres, Sage, avec qui il partage un lien étroit que peux d'êtres ont entre leur cheval et eux, et Jorune, qu'il méprise tout autant que Sage.

- Aime/Aime pas:

En matière de cheval, les goûts d'Hathir se révèlent identiques à ceux de ses congénères. Il aime la vitesse et les grandes plaines, où il peut mettre toute sa puissance à disposition. Ce rouler dans l'herbe nouvelle est certainement son plus grand plaisir. Peut partager par le jeune elfe. Hathir est un cheval qui n'a pour seule restriction que le contact avec une autre créature qu'un elfe. Un étalon bien capricieux...

fan des chevaliers d'émeraude par hasard? nan, j'adore moi aussi...enfin bon

je penses pas d'avoir dit bonjour alors Bonjour! et tout d'abord bienvenue parmi nous

pour commencer, ton compagnon n'a le droit qu'à un seul pouvoir, alors tu dois en choisir un et éliminer l'autre

sinon tout semble correct