roman

Bon voilà je met les premières pages en exclusivité de mon roman (j'ai hésité à les mettre sur le net mais bon finalement, les fautes sont pas corrigés X_X

Lidwine courrait elle était en retard, elle franchit la porte de l’hôtel sans regarder devant elle, elle ne pensait qu’à grimper dans un ascenseur pour arriver le plus tôt possible, ainsi elle ne put remarquer le regard gourmand qui se posa sur elle.
La jeune femme se faufila de peu dans un ascenseur sans prêter attention aux regards outrés de deux vielles femmes dont une avec un chien, pas plus qu’elle ne prêta attention aux deux autres personnes présente dans la cage d’ascenseur qui grimpait vers son rendez-vous…

L’ascenseur était presque arrivé au dernier étage, il n’y avait plus qu’une femme avec Lidwine qui avait les yeux fixés sur les portes, elle n’aspirait qu’à sortir de cette ascenseur pour aller rejoindre la personne qui l’attendait dans cette chambre luxueuse, ensemble ils allaient enfin être libre, ensemble ils allaient tenir leurs promesse. Pourquoi cette ascenseur mettait il autant de temps ? Le cœur de Lidwine cognait douloureusement dans sa poitrine alors que l’angoisse la tenaillait.

« De quoi as-tu peur jeune fille ? »

Lidwine tourna la tête derrière elle et se figea. Elle n’avait pas prêtait attention au monde autour d’elle et elle venait de se rendre compte que la femme derrière elle était sublime. Sa chevelure rousse et bouclée encadrait un visage pâle et fin et faisait ressortir deux yeux d’un émeraude intense. Mais ce n’était pas cela qui avait figée la jeune fille, c’était les canines qui sortait légèrement de sa bouche la rendant plus belle encore.

« Qu’est-ce que… ? »

La femme eut un sourire qui se voulait sans doute amusé, elle s’approcha de Lidwine et effleura sa joue du bout des doigts, puis sans prévenir d’un mouvement brusque la plaqua contre elle et plongea ses crocs dans son épaule. Lidwine ne hurla pas trop surprise pour réagir, tout cela ne pouvait être réel, elle était sans doute en train de rêver, sauf qu’aucun rêve n’était si douloureux. Allait-elle mourir dans cette ascenseur ? Que se passait-il ? La peur envahit soudainement la jeune fille, la peur de mourir, une peur déraisonné et démesurée, les portes de l’ascenseur s’ouvrir derrière elle et au lieu de s’abandonner à la mort, Lidwine repoussa la femme de toute ses forces et sortit de l’ascenseur. Elle perçut la surprise dans le regard vert de la femme puis les portes se refermèrent. Lidwine sentit ses jambes tremblaient puis sans réfléchir elle se précipita vers les escaliers. Il fallait qu’elle sorte d’ici avant que la femme ne revienne, elle ne voulait pas mourir, pas encore, pas si jeune, pas sans comprendre. Lidwine dévala les escalier quatre à quatre, sortit de l’hôtel sous le regard surpris du personnel et traversa la route.

Un klaxon se fit alors entendre, Lidwine tourna la tête et regarda sans comprendre la voiture qui lui fonçait dessus et qui n’avait pas le temps de s’arrêter, Lidwine hurla de terreur….


« Ce n’est rien, chuut, tout va bien…c’est terminé…tout va bien…. »

Lidwine mit un moment avant de comprendre qu’elle se trouvait dans sa chambre, dans les bras de sa mère. Il faisait encore nuit dehors, quelle heure était-il ?
« Maman ? »
« Tout va bien….ce n’était qu’un cauchemar…tout va bien ! »
« Maman que fais-tu ici ? »
« Tout va bien…tout va bien…chuut…ça va aller maintenant…il n’y a plus de danger ! »
Lidwine se dégagea en douceur de l’étreinte de ça mère, elle regarda son visage si fragile et son regard perdu et qui à présent était empli de tendresse. La jeune fille sentit les larmes venir mais elle les refoula. Elle se leva de son lit et alla allumer la lumière sa mère la regarda faire dans son pyjama violet qu’elle ne quitter presque plus ces derniers temps.
« Que fais-tu mon petit oiseau ? »
« Maman il faut que tu retourne te coucher. »
« Pourquoi faire ? Mon petit oiseau hurlait dans son sommeil je dois rester auprès d’elle… »
Le regard brun de sa mère se perdit soudainement dans le vide et elle s’allongea sur le lit de sa fille. Lidwine respira profondément, et alla l’installer dans les couvertures.
« Il faut que tu dormes maintenant. »
« D’accord mademoiselle…si vous voyait ma fille dîtes lui de ne pas avoir peur maman est là »
« Je lui dirais »
Lidwine sortit de sa minuscule chambre, laissant enfin ses larmes couler.


« Comment va ta mère ? »
Lidwine sursauta, elle tourna la tête vers Nina assise à sa droite. En général Nina ne lui parlait jamais de sa mère mais son amie savait toujours quand Lidwine n’allait pas bien, ou plutôt quand elle allait encore plus mal et généralement elle savait que cela était due à sa mère.
« Elle va bien… »
« Si tu veux parler »
Nina retourna au cours de mathématique que Lidwine ne suivait absolument pas, perdu dans ses sombres pensées, elle savait que son amie était là pour elle, pourtant elle n’arrivait pas à exprimer son malaise.
« J’ai fait ce même cauchemar que je fais depuis une semaine cette nuit et elle était là à me consoler comme lorsque j’avais cinq ans comme avant… et après quelques minutes à peine, elle ne savait déjà plus qui j’étais… »
« Ta mère t’aime c’est pour ça qu’elle était là »
« Mais c’est si dur ! »
« Je sais… »
Lidwine ferma les yeux et appuya sa tête contre la table. Sa mère avait commencé à perdre la tête un peu après ses cinq ans, juste après que son père se soit tué dans un accident de voiture en réalité, et aujourd’hui dix ans après c’était toujours aussi douloureux de la voir dans cet état, c’était même de pire en pire. Elle ne pouvait rien faire, et ce n’était pas sa tante qui ne la voyait absolument pas qui pouvait l’aider. Quant à Nina, elle s’éloignait peu à peu d’elle et Lidwine désirait la laisser partir, en attendant elle se retrouvait seule.

Il y avait bien eu quelqu’un d’autre, quelqu’un qui l’avait comprise, Lidwine l’avait aimé avec plus de ressource qu’elle n’avait soupçonné en avoir, ils s’étaient soutenu, mais Marc était mort, le jour ou Lidwine devait le rejoindre dans cette chambre d’hôtel, le jour où elle avait eu cette accident de voiture, ce jour qu’elle ne parvenait absolument pas à ce souvenir. Elle se rappelait uniquement s’être réveillait à l’hôpital une semaine après et qu’ensuite elle s’était mis à faire ce cauchemar, ce cauchemar sans aucun sens.

Lidwine marchait lentement sur le trottoir, elle avait quittait le Lycée sans même y penser, la journée était passé sans qu’elle ne sorte de ses pensées, sans qu’elle ne fasse attention au monde qui l’entourait. Cela faisait quelque temps déjà que ses yeux noirs étaient devenus lointains, qu’ils avaient préféré de ne plus regarder attentivement le monde qui entourait la jeune fille. Le changement ne s’était pas cependant arrêté là, ses cheveux courts et ses vêtements impeccable s’étaient retrouvé négligés, des cernes avaient fait leur apparition sur un visage devenu extrêmement pâle. Le manque de sommeil avait également entraîné un manque d’attention en cours et la jeune fille avait fini par tout laisser tomber, à se replier sur elle-même. A quoi bon se préoccuper du monde ?

Lidwine entendit un klaxon et tourna automatiquement la tête vers l’origine du bruit, une vieille voiture rouge. Lidwine ne sut pas pourquoi le conducteur avait klaxonné, en réalité elle cessa de s’y intéresser au moment même ou ses yeux c’était posé sur la voiture, cette voiture si semblable à une autre, à celle qui hantait ses nuit. La jeune fille sentit son pouls s’accélérer et elle partit en courant, pour s’arrêter aussi brusquement plusieurs mètres plus loin, plusieurs mètres qu’elle venait de franchir en quelques secondes. Lidwine se sentit paniquer, comment cela était-il possible ? Mais que se passait-il ? La jeune fille respira profondément et reprit son calme, elle avait du se tromper, plus d’une seconde s’était écoulait, il était impossible qu’il en soit autrement.

Lorsque Lidwine poussa la porte de sa maison elle avait retrouvé son calme et son état presque catatonique, elle se dirigea automatiquement vers la petite cuisine ou se trouvait déjà sa tante en train de lire le journal.
« A te voilà toi ! »
Quatre mots jeté avec un tel mépris que malgré l’habitude Lidwine ne put s’empêcher de ressentir une pointe de rancœur.
« Où est maman ? »
« Dans sa chambre, l’infirmière est passé, elle dort ! »
Lidwine hocha la tête et s’apprêta à sortir de la cuisine pour monter dans sa chambre lorsqu’elle s’immobilisa sur le seuil et se retourna vers sa tante qui ressemblait tant à sa mère, même visage pointu, même yeux noisettes, même corps tout en longueur.
« Que s’est-il passait à l’hôpital ? »
Anne posa son journal surprise et fixa un long moment sa nièce, elle se replongea presque immédiatement dans son journal prenant délibérément un ton détaché comme si cela ne l’intéressait pas le moins du monde
« Tu t’es fait percutait par une voiture, tu es resté une semaine inconsciente à délirait et tu t’es réveillait subitement soignée, il n’y a rien à dire de plus. »
« Je te demande de me dire ce que je ne sais pas déjà. »
« A quoi cela t’avance ? »
« Tu ne m’auras plus dans les pattes pour le reste de la semaine »
Lidwine put sentir l’hésitation d’ Anne qui finit par poser le journal sur la table de la cuisine et par fixer sa nièce.
« Si tu veux savoir tu avais perdu beaucoup de sang et tu n’arrêtais pas de répéter que tu était en retard que ce qui c’était passait été impossible. Tu as parlait d’un certain Marc aussi une fois, tu lui a demandé pardon. »
« C’est tout ? »
« Non, d’après les médecins tu as hurler à chaque fois que tu était consciente, satisfaite ?! »
Lidwine ne répondit pas mais disparut de la cuisine, elle grimpa une volée de marche et se dirigea dans la salle de bain, appuyant son front contre la vitre froide.
« Comment va t’on épaule, petit oiseau ? »
« Mon épaule ? »
Lidwine se retourna vers sa mère surprise.
« Les médecins ont dit qu’un vilain chien t’avait mordu…Paul va bientôt rentrée à présent je vais faire la cuisine ! »
Lidwine regarda sa mère ressortir, les sourcils froncés, elle retira son T-shirt et regarda son épaule, il n’y avait rien. Sans vraiment savoir pourquoi Lidwine se tourna de biais face au miroir afin de voir son épaule droite au niveau du dos, elle regarda la fine cicatrice en demi-lune totalement stupéfaite.

Lidwine fixait le plafond s’efforçant de faire taire les pensées qui s’étaient déchaînées dans son esprit. Pourquoi ne pouvait-elle pas ne plus rien ressentir ? Elle était bien mieux lorsqu’elle parvenait à ne plus rien penser. Mais son esprit était trop agitée ce soir, Lidwine finit par se lever et descendit dans la cuisine, il était une heure du matin et elle n’avait pas dîner. Elle se servit dans le frigo tout en balayant la pièce du regard, ses yeux tombèrent sur l’horloge numérique qui indiquait également la date, le seize mai. Lidwine posa le gâteau qu’elle tenait dans les mains sur la table et ferma les yeux en respirant profondément, il fallait qu’elle se ressaisisse, elle avait passé toute la journée de la veille sans se rendre compte que c’était son anniversaire, c’était vraiment absurde…et dans un certain sens cela ne faisait que renforcer la pitié que la jeune fille éprouvée envers elle-même.

Lidwine ne dormit pas cette nuit comme beaucoup d’autres par ailleurs, elle resta appuyé sur le rebord de la fenêtre à regardé les voitures défilaient dans la rue. Elle ne savait plus quoi penser et se sentait totalement perdu. Pourtant elle continuerait cette routine qu’elle détestait, puisqu’à présent elle ne voyait plus d’échappatoire. Lidwine soupira en allant s’habiller, elle saisit ensuite son sac de cours sans savoir ce qu’elle avait mis dedans puisque de toute façon elle ne savait pas quel cour elle avait et qu’elle ne l’ouvrirait pas, puis descendit d’un geste machinale les escaliers jusqu’à la cuisine. Elle engloutit un morceau de pain et se mit en route vers le lycée. Elle arriva bien trop vite à son goût, elle n’aimait pas vraiment être mêlé aux autres élèves qui de toute façon ne la fréquentaient plus. Lidwine alla donc s’isoler au fond de la cour en attendant le début des cours, se perdant une nouvelle fois dans les méandre de son esprit.

Un sentiment brutal la fit sortir de sa rêverie, un sentiment violent et sauvage, l’envie soudaine de mordre Riley un garçon de sa classe. Lidwine ne comprit pas d’autant plus qu’il ne lui avait jamais rien fait, elle redressa la tête et le vit étaler de tout son long au milieu de la cours. Mais son regard ne resta qu’une fraction de seconde sur son corps se posant sur son coude qui saignait abondamment. Lidwine se sentit fascinait par ce liquide rouge, elle eut envie de posait ses lèvres dedans, de sentir le sang couler au fond de sa gorge, jamais un tel sentiment l’avait envahit, c’était comme si elle se consumait de l’intérieur.
« Qu’est-ce qu’elles ont tes dents ?! »
Lidwine réussit à détourner la tête de Riley pour regarder Nina, juste à côté d’elle.
« Mes dents ? »
« Tes canines elles sont… ça ne va pas ? »
Lidwine venait d’apercevoir son reflet dans une des vitres d’une salle de classe, elle regardait ses canines semblables à celles d’une autre personne, à celle d’une femme dans un ascenseur. Lidwine commença à penser que peut-être le cauchemar qu’elle faisait n’en était pas un, elle se leva et partit en courant sans un regard derrière elle.
Lidwine s’arrêta qu’une fois le lycée derrière elle. Elle s’était quelque peu perdu mais pour le moment elle ne pensait pas au chemin du retour. Elle toucha ses canines du bout des doigts et se remit à paniquer, tout cela ne pouvait être vrai c’était impossible ! Lidwine ferma les yeux et s’appuya contre un mur se laissant glissé sur le trottoir de la rue déserte. Si seulement Marc était là il saurait la conseillait lui,…Marc… La jeune fille se prit la tête entre les mains, mais que c’était-il vraiment passé ce jour la ? Et pourquoi ne l’avait-il pas attendu ? Pourquoi c’était il jetait du haut de cette fenêtre ? Pourquoi n’avait il pas eu confiance en elle ? Foie en leur promesse ? Lidwine serra les dents et retint un hurlement, pourtant hurler lui aurait sans doute fait un bien fou, pouvoir évacuer tout ce qu’elle ressentait, toute cette douleur et cette rancœur qu’elle retenait au plus profond d’elle. La jeune fille s’appliqua à respirer profondément se concentrant uniquement sur cette exercice elle parvint à retrouver le calme qui lui était habituel, ou plutôt la barrière qu’elle avait érigé contre ses émotions.

Tu l'as fais exprès?? XD
Une histoire de vampire...me faire lire ça alors que j'adore les vampires XD
JE t'aimmee!!!
C'est un bon commencement ^^ j'ai hate de savoir la suite. J'espère que ton livre sera édité ^^
C'est vraiment bien écrit (à part quelques fautes d'orthographes mais je suis un peu maniaque donc c'est pas grave ^^)
Bravo

je te jure que tous mes potes sur msn m'ont pas crus quand je leur ai dit que j'avais lue quelque chose MDR c'est vraie que je lie jamais, rien ne m'a jamais intéressé ou quoi que se soit mdr
Mais là franchement je trouve que c'est pas "lourd" à lire, avec trop de choses inutiles qui endort ... zZzZzZzzzzzzzzzzzzzz .... bref ! J'avoue que j'ai bien aimé dés le début, bon j'avoue que la description de la femme vampire faisait un peu cliché, mais en même temps c'est ce qui a donné son charme à l'intro et ça a donné tout de suite le ton et l'ambiance, j'ai bien aimé ^^
Pis toutes les petites intrigues que tu donnes en 2 lignes mais après qui se laisse tisser dans nos têtes en y repensant .... j'avoue j'aime bien
Maintenant, j'attends la suite :p ben wé !
Pis on va dire que ça me plaît bien, alors pourquoi s'en priver ?
Je te dit un gros bravo, bon chance pour la suite :p

Pas bien de ne pas lire...
la lecture ouvre l'esprit ^^
Mais bon, j'ai rien à dire, quand j'étais enfant je ne lisais pas non plus...(ça désespérait ma mère ^^')
mais je me suis mise à lire ^^
le tout c'est de lire des choses sur les sujets qui t'interressent ^^

pas bien ... je me frappe avec un livre tiens .. comme ça ils se vengent ces espèces de ptits truck avec pleins de ptites pages là ! mdr
quand tu étais enfant ? Cela voudrait dire qu'il y est un espoire pour que je lise un jour ? J'en perd mon latin ... et pas que ça d'ailleurs
lire ce qui m'intéresse ? Ben pour le moment, le roman de Yilna, dont le titre nous échappe encore (mais Yilna v se rattraper, je le sens ! ) a l'air de me plaire ^^ ce qui est plutôt rare !

Ben c'est un bon point s'il te plait ^^

T'entend Yilna?? tu vas peut-être être la source "de la mise à la lecture" de Naram XD

ben sinon, tu devrais lire les Harry potter...moi c'est ça qui m'a mise à la lecture sérieusement...et aussi parce que je me suis ouverte au monde et que j'avais envi de me cultiver ^^
(parce que j'ai un but secret dans la vie XD)

Merci beaucoup tous les deux, c'est vrai que la vampire ressemble à une....vampire

Sinon pour le titre Naram je peux pas t'aider je ne l'ai toujours pas touvé, en fait je ne cherche pas spécialement le titre, il viendra quand il viendra

bah c'est pas grave, mieux vos te concentrer sur la suite :p
Le titre viendra de lui même, à la fin peut être ? ^^
En tout cas je te souhaite bon chance

Oui je pense aussi ^^
souvent les titres des romans viennent d'une phrase clef du récit qui a beaucoup plû à l'auteur ou qui est essentiel pour l'élement de résolution ^^
Enfin tu verras bien mais je pense comme Naram que ça viendra en temps et en heure au fur et à mesure de l'écriture =)

encore merci à tous les deux quand au titre on verra bien, je vous tiendrais au courant ^_-