Sous la brise du vent, un masse au bruit de métal finement taillé et suclpté semble s'avancer entre les falaise de Cassilmena, la dernière chance comme beaucoup aiment a le dire, mais une dernière pour qui et pourquoi?, Qui se devait de lutter contre le mal grandissant qui semblait s'abbattre sur ce monde? Pas moi dirons beaucoup, des chevaliers, diraient d'autres, et pourquoi pas un homme, du moins sa volonté pourquoi la volonté d'un homme ne suffirait-il pas a embrasé l'espoir a nouveau comme cela fut jadis fait dans des temps anciens. Delyndil était un elfe de sang, en tant que tel il était prédéstiné devenir un guerrier, quelqu'un dont la vie ne commencerait que sous le croisé des lames de deux épeés, et se terminerait sur un champ de bataille. La vie monotone et apaisante, le plaisir de voir fondé une famille, de la voir grandir, le sentiment d'être aimé et reconnu n non tout cela n'était pas pour des soldats, le devoir le incombait de se battre pour que d'autres puissent avoir accès a se bonheur tant idéalisé. Pourtant combien de fois Delyndil aurait aimé a devoir cessé de se battre, pour profité un peu de sa propre existence, la seule chose a la quel il avait droit était l'amitié, car même l'amour lui était interdit. Pourtant son coeur semblait avoir chaviré lorsqu'il apercut Sa reine Sayuki la seule qui avait réussit a atteindre d'une seule flèche son coeur protégé par la chair et les os, eux-même protégé par du tissus et une armure, il sentit son âme se tordre et son coeur se serré, alors voila ce que ressentait beaucoup d'homme et de femme, voila une chose qu'il allait devoir gardé secret et qu'il gardait merveilleusement a l'abir depuis plus de 5 siècles, jamais il ne lui avoua et jamais il ne le ferait, son amour était bien trop grand pour être dit. c'était un cadeau que Gaia lui avait fait, et le plus beau^rêve qu'il pouvait offir a sa reine était de se battre pour elle pour que elel et ses semblables et le peuple des elfes ainsi que tous les autres, puisse enfin connaitre le bonheur. Mais notre général au yeux d'un Quartz vert savait que se jour ne viendrait que lorsque Gaia décidera de lui prendre la vie. Un choix de vie bien solitaire et pourtant glorieux, mais il n'était pas le seule a avoir choisit cette voix, tout guerrier avait cette voix, tout guerrier mourraient sur un champ de bataille.
C'est dans le milieu de ce désepoir qu'amène la mort et les ténèbres qu'un seule homme semble toujours chercher cette lumière qui jamais ne l'avait abandonner, c'est sur un étalon blanc aussi fièr de sa prestance que son imposante personnalité que Delyndil Fervellon voyage afin de retrouver sa dernière légion l'unique morceau d'armée qu'il lui restait, ca run général sans armée n'est plus un général, pourtant il lui restait une légion la 9éme légion, la dernière de toute, le berceau de la renaissance, un général qui part a la recherche de ses soldat quoi de plus beau comme preuve de fidèlité. Son chemin le mena vers les falaise de Cassilmena c'est alors que sous un levée de soleil sage put apercevoir un cavalier naissant de la lumière, un signe ? non mais une chance, celle san s doute de revoir l'espoir.
Thanatos son destrier trotta en direction de sage, non pas qu'il le voulait mais car celui-ci se trouvait sur le chemin de son but, sous un manteau rouge sang dont le col semble armée d'une légère fourure un arc eldarien semble surplombé son dos ainsi qu'un carroix de flèche, son épeé se trouve sur sa ceinture de cuir une légère armure elfique a la couleur d'argent dont les remonture verte semble faire ressortir sa longue et belle chevelure blonde, pourtant son visage jeune signe de l'immortalité de tout les elfe, semble lui aussi intact que le premier jour de sa naissance, ses yeux verts eux marque une vie de bataille et de combat.
Lorsque le cavalier blanc arrive devant le jeune Sage, un regard le perce comme si d'unr egard il pouvait voir toute sa vie, il remarquit les signes distinctif de ceux de sa race, mais de quels sorte d'elfe faisait-il partie, sans doute de ses cousins Sylvains de la même que celle dont il avait jurer de protéger et de servir, de celle qu'il aimait en secret, une race noble et respecté parmis toute les différence race elfiques. C'est alors que la voix masculine mais néanmoins belle t douce s'échappa des lèvres de notre guerrier de sang.
"le soleil levant n'est pas source de plénitude...jeune elfe"
des paroles qui parle d'expérience, autrefois il avait regarder le soleil levant , mais a présent il devait se résoudre a ne plsu le regarder, son but était de retrouver sa dernière légion et de partir pour le palais de sa reine, afin de lui montrer que son armée était toujours présente et prête a honorer sons erment de protéger et servir celle qui les guidait. Depuis le jour de sa renaissance, il n'avait rencontré qu'Akari cette elfe dont le pouvoir dépssait celui de sa reine sans doute et dont la beauté n'avait d'égal que sa bonté, elle n'était plsu reine, mais pour notre elfe de sang elle sera toujours sa reine, d'ailleur il garderai toujours en souvenirs la bague de Quartz que lui avait offert Akari , témoignage de sa gratitude, un cadeau magnifique.
Du haut de sa monture blanche, Delyndil observait Sage, que faisait-il ici seule sur la clairière des falaise de Cassilména, loin de tout loin des prairie, loin du palais de Sayuki?
"Dit moi jeune Sylvain, pourquoi ton chemin t'a-t'il mené ici loin de tout ?"