Une tranquillité trop paisible [PV Azumie]

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Crée par l’insouciance des dangers imminents, la peur domine l’esprit. Ce sentiment d’impuissante immobilise ses gestes. Les flammes de frayeurs s’agitent sous les regards indiscrets de ceux qui la côtoient. Elles se nourrissent de vos plus belles fantaisies pour les montrer sous l’ombre d’un horrible présage. Cette illusion s’anime si bien à une autre réalité que vous perdez le fil des évènements. Maligne, elle vous pousse à hurler des cris de terreur dans l’inconscience. Elle désire vous prouver que le noir n’est pas sa seule arme de destruction. Dans l’obscurité elle vous examine parce que vous ne vous douterez jamais sa présence. San bruit elle allume une lumière et se contente d’imprégner son évènement dans votre passé. Plus tard elle se contentera de reproduire les fragments de vos pires expériences mais qui saurait la vaincre? << Les scènes cauchemardesques reviennent toujours vers leurs maîtres... >>

La tombée du jour arrivait à grand pas. Le soleil d’un orange éclatant descendait derrière les branchages de la forêt. Sa lueur rosée fondait da la mi-noirceur. Shinju-Kurai Tsumetai se reposait depuis déjà quelques heures dans les flots du lac. Ses dernières visites en ces lieux lui avaient causé des ennuis mais jusqu’à maintenant, tout se présentait bien. Sa témérité ne laissait point la peur se propager dans son esprit. Ne voulant pas avoir affaire à de l‘indésirable compagnie, elle restait toujours sur ses gardes. Rien de plus rassurant que l’absence de la génie et des bestioles mangeurs de poissons. Ce fait la tranquillisait. Cependant combien de temps ce silence tiendrait-il? Sûrement pas assez longtemps pour plaire à l’habituée des lieux.

La sirène accotait son dos sur une paroi rocheuse du bord. Sa queue munie de nageoires resplendissantes barbotait dans la surface des eaux. Ces petit clapotis d’eau brisaient le silence chaotique. Le bruit cristallin des flots apaisait ses pensées confuses. Sa présence au lac ne devrait-elle pas s’enfuir? Partir par prudence ou par frayeur? Aucune de ces deux solutions l’enjouait vraiment. Shinju resterait encore un peu pour contempler le coucher du soleil puis ensuite elle verrait les choix qui s’offraient à elle. Anciennement, un coffre mystérieux l’avait longuement intrigué. Il y a de cela quelques jours, il se trouvait dans les confins du lac mais apparemment on l’avait déplacé. La sirène chercherait son emplacement plus tard, en espérant pouvoir l’ouvrir bien entendu.

[Un peu court mais je me reprend dans mon prochain poste]

[Je ne pense pas pouvoir faire mieu que toi! On ne peut pas dire que je sois une pros!]

Le crépuscule, et ses nuages roses, son soleil rouge éblouissent, son ciel mauve, bleu, orange... Il y avait la vision positive et aussi la négative: c'est la tombée de la nuit...

Azumie marchait depuis quelques heures dans la forêt quand elle arriva au lac. Etrangement elle n'y avait encore jamais été pourtant, ce n'est pas comme si elle ne vivait pas dans la forêt! Azumie marchait donc depuis plusieurs heures quand elle apperçut le lac, le soleil, ou du moin, se qu'on pouvait encore en voir, se reflettait sur la grande étendu d'eau qui avait pris la couleur du ciel... Il y avait quelque chose dans l'eau, ou plutot quelqu'un, cette personne se laissait aller par le courant de l'eau et malgrès la brise fraiche de la nuit qui commençait à s'installer,et il n'y en avait pas beaucoup...

La jeune elfe s'installa sur un rocher à quelques centimètres du bord, les pied dans l'eau et les yeux fermés pour mieu profiter du paysage, pour mieu le ressentir... Azumie entendait les bruits de l'eau, le murmur argentin du faible courant et... des clapotis, peut etre de jambes nageant sur l'eau ou... d'une queue de poisson, peut être que cette personne ans l'eau était en fin de compte une sirène se relaxant dans sont élément?

Invité

Le soleil s’inclinait aux ténèbres. Son aura colorée de rose se dissipait peu a peu. Shinju-Kurai observait cette action habituelle comme si cela portait une rareté phénoménale. Le jour terminait son éclat pour laisser place aux créatures nocturnes telles. Le moment favori des vampires et des inoffensifs papillons de nuit.

Condamné sous la fin d’un cycle solaire. Le fin voile lumineux de la luné éclaire parfois les passants égarés parmi ceux qui habitent les terres depuis des années. Le jour il chantonnent, le soir ils s’endorment. Une fois le délire commencé, ils restent à l’extérieur pour se gambader. Ils se pavanent comme des insectes prêts à se faire écraser. Plus la nuit s’écoule, ils se détrompent de l’impression qu’ils gardaient toujours de connaître leurs domaines. Les étoiles ne dansent pas toujours aux fenêtres des yeux pour les diriger. Nos opinions se retournent parfois quand l’on ne respire plus un doux parfum. L’odeur quotidienne des fleurs de printemps ne vous suffit pas pour voir dans le noir. Chaque bruits, si petits qu’ils soient donnent des frissons dans le dos. Les hiboux hurlent constamment. Comment affirmer que ce cri provenait vraiment d’un hibou? Notre très chère amie la petite sirène ne connaissait pas les randonnées nocturnes en dehors de la ville. Elle tentait tout de même de se rassurer. À la limite, elle ne paniquait pas pour le sifflement d’un grillon. La peur la rongeait tel un chat effraie une souris.

Un bruit de pas stagnait l’herbe derrière elle. Aussitôt entendu, le poisson replongeait dans son aquarium pour éviter les embrumes. Une jeune femme trempait ses deux jambes dans l’eau. Chose certaine, elle n’était pas une sirène qui venait faire une balade dans le lac. Shinju-Kurai revenait vers le bord où elle se reposait avant le coucher du soleil. Des petites orteils beiges se rafraîchissaient dans l’eau. Le reflet embrouillé de l’elfe se dessinait sous le ciel bleuté. Les elfes ne restaient pas toujours dans les forêts? On aurait pu dire la même chose d’elle: les sirènes ne nagent pas toute leur vie dans les océans? Non elle avait aussi des jambes.

*Heureusement ce n’est pas une génie!*

Malheureusement, quelqueun d’autre avait perturbé sa soirée tranquille. Miss Tsumetai hésita avant de sortir la tête de l’eau tranquillement. L’eau glissait sur son magnifique vissage clair. Le silence ne durait pas bien longtemps car elle adressa la parole de sa voix douce à l’autre personnage:

‘’Bonjour! Il est rare de voir des gens à un temps pareil.’’

Une fois les bruits de fond des criquets puis des oiseaux de nuits rompues, la femme poisson tournait la tête vers sa visiteuse. Avec son regard lointain, Shinju l’observait de ses yeux turquoises. Elle avait de beaux cheveux verts, vert comme les feuilles d‘un arbre. Dans sa période enfantine, son frère plus jeune, qui lui racontait des légendes lui disait que sur la terre des hommes, dans les forêts, habitaient des êtres agiles. Une communauté ancienne y vivait mais le souvenir de la gamine ignorait si cette histoire s’alimentait encore. Seule cette créature lui confirmerait cette merveilles sortie tout droit d’un conte pour endormir les enfants.

Azumie garda l'hypothèse de la sirène quand elle la sentit s'approchée rappidement pour enfin, sortir sa tete de l'eau. Il y eu un silence d'une ou deux seconde puis la sirène enchaina d'une voix douce un "bonjour" puis un "il est rare de voir des gens à une heure pareille".

" Bonsoir. C'est vrai que ce n'est peut être pas une heure où les gens sont si nombreux qu'ils s'écrasent les pieds en passant. Je m'appelle Azumie et vous?"

C'était encore une présentation banale, mais il n'y avait pas vraiment le choix sur comment disait on disait "bonjour mon nom c'est...". Et puis... cette sirène était la première qu'elle rencontrait, on ne peu pas vraiment dire de plus qu'Azumie avait rencontrée beaucoup de monde dans sa vie mais, un jour, elle ne doute pas qu'elle aura rencontrée la majeure partie de l'île...

Il faisait maintenant presque nuit, dans quelques minute il fairait noir et Azumie ne connaissait pas le lac ni ses habitants et voulut se renseignée.

"Savez vous s'il y a des bêtes sauvages autour de ce lac la nuit?

Invité

‘’C’est vrai je devrais dire bonsoir. C’est un plaisir de faire votre connaissance Azumie. Je me présente: je suis de la lignée de Tsumetai, je m’appelle Shinju-Kurai mais vous pouvez également me prénommer Shinju. On me surnomme fréquemment ainsi.’’

On était en plein soir et Shinju-Kurai prenait la peine de prononcer bonjour au lieu de bonsoir. Des bêtes sauvages? Cette interrogation imprégnait à maintes reprises la boîte crânienne de notre jeune amie. Elle connaissait un grand nombre de créatures marines autant dangereuses qu’inoffensives. Certaines possédaient des pouvoirs magiques tandis qu’un certain nombre se servait plutôt de leurs forces pour dévaster les citadins des océans. Comment savoir lesquels se promenaient dans les environs? Encore, d’autres donc elle qui ne s’incrustaient dans sa culture marine furetaient possiblement à proximité. Les lions des mers e sa première visite l’étonnait encore. Ces gros félins bleus aux dents affûtées pour déchiqueter ses proies. Et le chipique qui avait tué Seikei, son frère auquel elle s’était très attaché? Les chipique vivaient dans des fleuves à l’époque. Leur race portait un croisement entre l’hippopotame et le poisson géant. La peur flottait-elle dans son esprit?

Au coeur d’une vieille citée d’or, enfoncée sous la mer vivait un peuple qui défendait vivement son territoire. De temps à autre, ils obtenaient un peu de repos bien mérité. Ils gagnaient un peu d’espoir à chaque fois qu’ils en profitaient. L’espérance de contempler un jour les civilisations aquatiques en harmonie une fois pour toutes. Pourtant, cette impression qui régnait jadis durant des siècles. Les plus fidèles qui servaient leurs intérêts combattaient fièrement aux frontières de leurs territoires. Il arrivait quelques fois que des adversaires rusés les entraînaient dans des pièges distants. Chaque seconde précieuse de ses batailles permettait aux autres communautés d’exterminer une bestiole infâme de moins. Des lames d’épées qui ne rouillaient pas se croisent continuellement. Chaque mouvement et toutes les batailles rapprochaient notre très chère sirène de son but tant convoité. Malgré cela, tout ses alliers qui flanchaient par leurs défaites l’éloignaient peu à peu.

‘’Des bêtes sauvages? Je n’en doute pas une seule seconde. À chaque fois que je viens ici il m’arrive un tas d’ennuis... La première fois j’ai vu un animal nocturne en plein jour. C’était un lion des mers. En fait je me demande pourquoi j’y suis revenue. Je ne pourrais pas vous décrire tout ce que j’ai vu, ces récits prendraient des siècles. ’’

Sa curiosité se demandait sans cesse si celle qui flânait allégrement était issue des elfes. Elle osait la question avec intérêt :

‘’Mon intuition se trompe ou vous êtes de la race appelée Elfe? Celle qui protège les forêts bien gardées?’’

Je lui proposai ensuite de me rejoindre:

‘’Vos voulez vous baigner? Le soleil de la journée à réchauffé amplement l’eau aujourd’hui.’’

Ah... il y avait des bêtes sauvages içi la nuit mais en fin de compte, c'était plutot logique quand on pense que même les moustiques sont des bêtes sauvage... et la sirène prénomé Shinju en avait croisée beaucoup parait il... Puis la sirène l'interrogea en lui demandant si sont intuition ne la tromper pas et si elle était bien une elfe. Et Azumie aquieça.

"Oui je suis une elfe mais je ne sais pas si j'ai vraiment déjà protéger la forêt de quelquonque danger... et vous êtes bien une sirène non?

Shinju invita ensuite Azumie à la rejoindre dans l'eau, la jeune elfe ne savait que répondre, elle n'avait encore jamais appris a à nager: c'était bien la première fois qu'elle tremper ses jambes dans un lac, une rivière ou la mer.

"Pour tout vous dire Shinju, j'aimerais bien mais je n'ai jamais appris à nager..."

[désolée c'est extremement cour, je n'arrive pas encore à faire de longs poste...]

Invité

Alignées les unes à la suite des autres, les étoiles tournent d’un refrain symbolique. Elles savent émerveiller ceux qui contemplent innocemment leur spectacle. Les astres forment parfois des emblèmes célestes que les érudits s’amusent tout bêtement à interpréter. Bien que peu de gens s’en soucient, elles exposent le futur dans une ligne chronologique d’évènements trépidants. Leurs scintillements offrent un riche spectacle à ceux qui savent l’apprécier. Qui sait ce qui se passe à l’autre bout du monde, de l’autre côté de ce plafond constellé? La nuit continuait de briller à son somptueux éclat. Le ruissellement de l’eau éternisait son hymne d’une tranquillité presque inquiétante. Le chahut d’un hibou se distinguait dans l’ensemble des claquements familiers.

‘’C’est pas grave il est jamais trop tard pour apprendre. Il vous suffit d’agiter les bras et les jambes. Moi j’ai des nageoires, c’est certain que je vais plus vite mais vous pouvez toujours rester sur le bord, on peut aisément s’y mettre debout sur la plante des pieds. À moins que vous n’aimez pas beaucoup l’eau, enfin je connais pas beaucoup les elfes.’’

Contrairement à notre nageuse de classe première, Azumie ne connaissait pas la nage. Comme la plupart des humains qui vivent leur jours en ville. Dans cette ville sans aucune originalité au niveau culturel. L’inexpérience de la sylphe ne stupéfiait guerre Shinju-Kurai. Elle jugeait alors la descendante d’un peuple pacifique digne de ce savoir si petit qu’il soit. Elle ne voulait pas tout expliquer la technique non plus car cela gâcherait tout le plaisir. Il fallait aussi que l’autre sache déchiffrer le secret de sa personne.

Soudainement, un bruit de reptile perça les oreilles de la jolie sirène. Elle avança prudemment vers l’anodin animal dans un battement de bras avant. Il correspondait clairement à l’infâme description d’une grenouille. Ses yeux jaunes globuleux fixèrent celle qui s’approchait. Son corps visqueux couronné d’une mousse verdâtre secouait faiblement ses pieds palmés. Au moment même où elle pu enfin regarder la bestiole, il bondit plus loin. Ceci fit brusquement sursauter miss Tsumetai qui ne s’attendait point à ce mouvement d’évasion de sa part. Elle ne s’attarda pas à retrouver la petite bête fougueuse. Un autre objet attira son attention. Une lumière dorée venait tout juste de frôler son corps. À la recherche de la source responsable de cette curieuse manifestation, ses sens intrigués la guidèrent sous les flots. Ses mains poussèrent l’eau pour la faire descendre plus bas. Les quelques bulles d’oxygène retenues par ses poumons s’éclatèrent à la surface. La matière transparente remplis ses branchies recouvertes d’écailles multicolores. Un invertébré attira l’attention de ses iris à la tonalité turquoise. Il fonça vers elle tandis que d’autres de la même origine surgirent de nulle part. Une dizaine de petits poissons ornés d’écailles dorées se promenaient autour d’elle. Son corps baignait désormais dans une lumière or. Elle se laissait enchanter par la douce mélodie de ses créatures marines. Leurs notes divaguaient les pensées sinistres de la femme poisson dans une transe enchanteresse.

Shinju émergea quelques minutes plus tard à la surface. Du haut du lac, on ne pouvait écouter la captivante sérénade mais on apercevait des lueurs mystérieuses s’allumer puis s’éteindre.

‘’Azumie, il y a quelque chose d’extraordinaire sous l’eau que vous devez absolument entendre!’’

Azumie enttendit la jeune sirène plongée quelques minutes après qu'elle lui ai proposée d'essayer d'aller dans l'eau quitte a juste battre des pieds et des mains dans le seul but de rester à la surface. La jeune elfe decida qu'elle irait dans l'eau. Après que la sirène soit partit, Azumie désendit du rocher où elle était assise pour rejoindre le bord du lac et fnalement entrer dans l'eau sans prendre la peine d'enlever sa robe de coton.

Le premier contact avec l'eau fut agréable. L'eau n'était pas froide comme l'avait dit Shinju; le soleil l'avait réchauffée. Le liquide arrivait au hanche d'Azumie. Et elle n'osée pas aller plus loin de peu de ne plus avoir pied. Soudain l'elfe sentit la jeune Shinju remontée. La sirène paraissée toute émoustillée en lui disant qu'une chose extraordinaire se faisait entendre sous l'eau.

" J'espère qu'en mettant juste la tête dans l'eau il est possible d'entendre car nager je ne sais pas si j'en serais capable"

L'elfe ne se sentait pas le moin du monde capable de nager jusqu'au fond du lac ni même jusqu'a la sirène qui ne se trouvait qu'a quelque mettres d'elle.

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