Perdue encore une fois... (pV FiNrOdEl)

Il était une fois une toute petite fille curieuse qui encore une fois n,avait pas écouté sa maman et qu'elle s'était perdue encore une fois. La grande magicienne blanche avait été voir un ancien ami au nom de Baltruc et celle-ci lui l'avait fortement écouté de rester dans une petite chambre d'invité à jouer avec son ourson favori. Il faut dire que la dernière fois, maman l'avait grondé beaucoup et de raison. La petite c'était retrouvée seule dans le quartier mal famé d'où une autre des grandes reines de Cassilmena rodait et sentant une odeur famillière et alléchante, la vampiresse s'était empressée de rejoindre la garoue pour la croquer avec ses longues dents. Mais heureusement encore une fois, maman était arrivée juste à temps pour que rien de grave n'arrive à son trésor.

Tannée d'attendre et commenceant à avoir faim, ce fut donc à ce moment que Gabrelle décida de retrouver sa mère qui devait bien se retrouver tout près non? Poussa la porte beaucoup plus craintive à présent, elle fit quelques pas pour se diriger de salles en salles. Il fllait dire qu'il y avait beaucoup de gens qui se promenaient ici et là, mais ils ne semblèrent point lui porter attention, beaucoup trop préoccupés dans leurs pensées. Après un petit moment, la jeune garoue se retrouva donc dehors dans les jardins du temple. Pas de maman ici non plus. Mais se retournant alors, l'héritière de la famille Arkai ne retrouva point la porte qu'elle venait juste de traverser pour aller à l'extérieure. Faisant rapidement le tout de l'endroit, cherchant en vain ici et là un moyen de sortir de là, la petite finit alors par monter sur une des grandes pierres des jardins et de se mettre à sanglotter. Papa lui avait dit mainites fois qu'au lieu de pleurer il fallait rester courageuse et demeurer forte, mais maintenant aucun d'eux n'était là pour la consoler. Ses petits cheveux qui lui couvrait le visage et ses petits yeux bleus comme sa maman ne lui permit pont alors de remarquer qu'un étranger s'avanceait vers elle...

(petit poste désolé... ^^''')

Alors que le vieil elfe entrait pour la seconde fois depuis son retour à l'intérieur des murs de la ville, il réalisa que le temple Tsuki-Akai était toujours là. Il s'était souvenu de celui-ci car le bracelet d'or, seul objet de valeur marchande qu'il possédait, lui venait de cet endroit. Il l'avait gagné apres un combat où la ruse lui avait sauvé la vie, face à deux créatures qui ne ressentaient pas les attaques physiques.

Le temple était au service du bien et il était, à l'époque, gouverné par des gens étranges qui ne quittaient jamais les lieux. On pouvait toutefois y croiser fréquement d'autre gens sans peur de tomber sur un serviteur du mal. À cette idée, il se dit que le détour faudrait peut-être la peine, il pourrait tomber sur une vieille connaissance ou se rendre utile comme il aimait à le faire. Il s'engagea donc sur le petit chemin pavé qui y menait, les gardes à la porte ne lui possèrent aucune question et personne à l'intérieur ne vint le voir, contrairement à sa première visite. Ils devaient sentir l'aura du bracelet et savoir qu'il était un habitué des lieux maintenant, il avait l'autorisation de s'y promener librement, tant qu'il n'entrait pas dans une salle de test.

Mais il n'eut même pas l'occasion de ce rendre jusqu'au temple, car dans le vaste jardin qu'entretenait l'étrange jardinier fumeur, ce tenait une petite fille, laissée seule et en sanglot. Il ne faisait aucun doute qu'elle était perdue, assise de la sorte et les épaules tremblants légèrement, il ne sagissait pas d'une petite crise d'enfant gâtée. En tout autre lieu l'elfe aurait trouvé les parents forts irresponsables de la laisser là, mais dans le temple Tsuki-Akai, elle ne risquait rien de plus qu'une petite frousse. Il s'approcha d'elle, lentement et regardant autour de lui, comme si il cherchait à prendre des repères ou à trouver un endroit en particulier. Arrivé à la hauteur de la petite qui l'avait peut0être vu depuis quelques instants, il lui demanda calmement:

Excuse-moi, tu pourrais me dire où je pourrais trouver des toilettes? Je crois que je me suis perdu...

Bon c'était totallement faux, mais aujourd'hui de plus en plus d'enfant refusait de faire confiance aux étrangers, mêe quand ceux-ci avaient de bonnes intentions, alors il fallait user de ruse pour entrer dans leur monde. Ce qu'il faisait en feignant d'être lui aussi égaré.

L'elfe attendait calmement a coté de la petite fille de qui il attendait une réponse, dont il doutait être la direction des toilettes… Il fut d’ailleurs heureux de voir qu’elle esquissa quelque chose comme un vague sourire alors qu’elle s’apprêtait à lui parler a son tour. Le vieux vagabond en fut enchanté, car cela lui semblait un bon pas vers l’avant pour gagner la confiance de la petite. D’ailleurs, elle lui facilita encore la tache en lui affirmant qu’elle ignorait ou pouvait bien ce trouver les toilettes, mais que sa mère le saurait, elle. Il posa naturellement la question :

Ha! Merci pour l’information, mais tu pourrais me mener a ta maman, parce que sa devient pressant…

Il afficha un sourire mi-entendu, mi-moqueur face a sa propre remarque, alors qu’il faisait semblant d’attendre que la petite fille le guide vers sa mère.

Finrodel eut un petit sourire en coin très bref lorsque la petite lui avoua avec un air presque coupable qu'elle ne savais pas où se trouvait sa mère. Il se pencha un peu pour arrivé à la hauteur de la petite même si elle était déjà montée sur un petit rocher et alors qu'il la regardait d'égal à égal, il lui proposa:

On pourrais essayer de retrouver ta maman, comme sa elle pourra me dire où trouver des toilettes dans cet imposant temple?


Il s'empressa d'ajouter, sans même que la petite est pu lui répondre:

Très bien, alors dit-moi, à quoi elle ressemble ta maman?

Il se relevait déjà, cherchant autour si il ne voyait pas une femme un peu affolée qui regardait dans tout les sens à la recherche de quelque chose ou quelqu'un de pas très grand. Attendant la réponse de la petite, il tendait l'oreille tout en observant, mais il ne vit personne dans la grande cours qui répondit à ses critères.