Une porte dans la nuit [Libre]

Invité

[HRP: Bon suffit juste de m’interpellait pour qu’on rp.^^]

Un soir comme tous les autres une personne marchait en direction d'une ville. Un croissant de lune qui éclairé le chemin de Stein. Une douce brise qui caressait son visage cousu. Un bruit de chaussure qui résonnait dans le silence d’une nuit. Voila Stein était en marche vers la porte d’une ville qui le nom était pour lui si futile. Il porta sa main vers le boulon qui lui traverser la tête et le tourna. Un bruit de machine ce fit entendre et un sourire apparu sur le visage de l’homme. Il regarda tout au tour de lui. Il n’y avait même pas un chat, rien, aucun mouvement de vie.

-Que les nuits ont bien changés depuis quelques années. Tu ne trouves pas Stein.

Comme toujours, quand la compagnie lui manque il se parle tout seul. On dirait presque qu’il a deux personnalités en lui. Il mit ses mains dans ses poches et réfléchit quelque minute. Il ne se rappelait plus pourquoi il était partit de son laboratoire. Il tourna le boulon encore une fois, un tic qu’il avait depuis qu’il se l’était implanté.

-Pourquoi je suis parti ?? Tu t’en souviens Stein ??

-Je crois que c’était parce que je voulais devenir plus puissant chez les vampires. Pour que mes expériences soient reconnues.

-Il n’y avait que ça tu crois ??

-Non il y avait autre chose, mais je n’arrive plus à me souvenir quoi. A si, on doit chercher des pierres.

Stein était le genre de personne qu’on se souvient toujours. Il parle seul, il a un physique qui fait peur. En gros il n’a rien pour lui, à par peu être sa sympathie. Il était venu dans cette ville parce qu’un, c’était la plus prêt de la ou il vient, mais surtout il espérait trouver des camarades de voyage qui le soir pendant qu’il dormait, il leur fera des tonnes expériences sur leur corps. Une excitation était en train de monter en lui. Il reprit sa marche habituelle jusqu’au lourd porte que la ville avait. Il espérait qu’il est au moins quelque garde, histoire qu’il puisse entrer dans la ville. Il toucha la lourd porte que les hommes avaient crées. Il resta quelque minute à l’admirer. Il était scientifique, mais le talent des autres devait être respecté comme on devait respecter sa profession. Puis il frappa avec puissance sur la porte, tout vampire qui se respecte est bien plus fort qu’un simple humain, donc sa puissance pour taper sur la lourde porte était plus efficace qu’un simple humain le faire. Il entendit des gardes descendre et activer la porte.

*Je dois aussi devenir plus puissant dans la façon d’utiliser mes pouvoirs. Si non sa ne servira à rien d’être devenu vampire, si je ne peux pas faire des expériences dessus.*

La porte s’ouvrit et les visages des gardes tournèrent le regard quelque seconde, le visage de Stein n’était pas le plus agréable à regarder. Stein remonta ses lunette et avec une voix amicale

-Je vous remercie, mes chers amis.

Stein entra avec un joli sourire sur le visage. Il regarda tout en marchant la ville endormit. Un spectacle magnifique comme toujours trouva t’il. Grâce à sa nouvelle race, il pouvait profiter de ce spectacle tous les soirs et il ne s’en lassait jamais.

Invité

La tombée de la nuit débutait son cours. Les étoiles se cachaient derrière l’épais brouillard du ciel obscur. Le moment favori des créatures nocturnes tel les chasseurs de cadavres au sang chaud venait à peine commencer. Qui sait quels infâmes individus pouvait-on rencontrer par un temps aussi funeste? Qui connaît mieux que quiconque tout les crimes qui s’imposent par un moment de la journée aussi tardif? Le vivre n’était pas une si mauvaise proposition pour une demoiselle qui cherchait un moyen de désennuyer de son délassement négligé. C’est dans un modeste atterrissage qu’une jeune harpie prénommée Cendrelle touchait le sol de la pointe de pieds. Ses orteils fignolés des griffes acérées talonnait la terre. Cette aventure s’engageait dans la ruelle d’un quartier semblant appartenir à une ville. Le claquement de ses pieds résonnait sur le territoire désertique. Ils semblaient absents de vie comme si le cri du soleil avait donné le dernier souffle. Personne n’osait mettre le nez dehors cette nuit et allez savoir pourquoi. La respiration battante de notre invitée déchirait le silence chaotique. Personne pour l’accueillir? Quel dommage, le premier qui se pointerait subirait son arrogance.

*Ces habitants ne sont apparemment pas sortables. Même pas assez chaleureux pour dire bonjour à quelque un venue de loin!*

Des boutiques couronnées de panneaux de bois aux enseignes ‘’fermé’ s’alignaient de chaque côté d’elle. Les rangées de maisonnées s’étalaient un peu plus loin dans d’autres secteurs. Celui-ci semblait paisible, éteint d’expression et de toutes émotions. À la longue, le décor répétitif endormait la femme oiseau. Elle qui voulait un peu de piquant afin de satisfaire son humeur lassée! Elle ne désirait pas passer la nuit à flâner. Le territoire mort la décevait amèrement. Elle qui pensait découvrir quelque chose d’intéressant dans les territoires inconnus, son idée se refoulait. Son air monotone habituellement rempli de sarcasme se décourageait. Pour lui remonter le moral, son compagnon, soit un phénix, lui offrait toutes sortes de propositions.

‘’Miss Minaro, si je puis me permettre, je crains qu’il n’y ait rien d’intéressant à faire ici. Vous pourriez toujours retourner chez vos soeur pour faire une petite visite à Yamina Minaro ou vous poser ailleurs. Enfin je ne veux pas vous importuner davantage. Je vais voir dans les environs.’’

‘’Je crains que tu ait malheureusement raison Keiko. Je termine cette allée et je te rejoins. Ne perd pas une seconde pour moi va.’’

Content que son offre ne soit point déclinée, le bout des ailes de l’oiselet brûlèrent de petites flammes puis s‘envolèrent. Quelques pensées nostalgiques furetèrent l’esprit de sa maîtresse. Durant sa longue réflexion, sa marche continuait d‘emboîter le pas. Même pas un chat de ruelle dans les environs! Le comportement étrange des villageois ne cessait d’étonner notre amie qui s’attendait plus de courtoisie de leur part. Elle ne les connaissait pas. Elle ne savait même pas à quoi ils ressemblaient. Qui sait, cette région perdue se peuplait peut-être d’une ligné fantomatique?

Après avoir traversé la rue commerçante, son trajet s’entamait vers les portes de la ville. Soudainement, notre harpie aperçut un ombre enfuie dans le paysage. Elle se avança davantage, à la rencontre de la mystérieuse silhouette. Elle accéléra le pas puis ralentit à quelques mètres de l’homme portant des lunettes. Méfiante, elle resta là puis lui adressa la parole, l’air amusé.

*Enfin! Je sens qu’on va bien s’amuser.*

‘’Que fait un être au coeur d’un endroit aussi démunis de vie? Surtout par une soirée aussi sinistre?’’

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Les gardes refermèrent les portes derrière l'homme. Il ne savait pas qui lui avait fait toutes ses cicatrices et ils ne voulurent jamais le savoir. Stein un alchimiste de grand envergure du moins pour lui, marchait tranquillement dans les ruelle sombre d'une ville sans vie, en laissant derrière lui les portes de la ville. Il n'avait rien, même pas un couple fou d'amour qui sort en plein soir alors que leur parent leur avaient interdit. Ils seraient tomber sur Stein et la jeune demoiselle aurait était mordu et le jeune homme aurait fait partit des expériences fou du vampire. Le seul problème était qu'il n'y avait vraiment aucun signe de vie.

-Je n'aime pas cette ville. Jamais personne pour venir vous saluez en pleine nuit. Je pense que je vais aller dans un bar je trouverais peu être de la compagnie là bas.

Avec son index il remit correctement ses lunettes qui étaient entrain de tomber. Des milliers de fois, il avait voulu changer de lunette, mais des milliers de fois il avait fait autre chose à la place. Il reprit son tic quotidien, un main sur le boulon de sa tête et on était parti pour le tourner encore une fois. Un bruit de mécanique, voilà le seul Bruit dans une nuit aussi belle. Puis il entendit un autre bruit, mais cette fois ce n'était pas de lui.

-Une autre personne, enfin.

Il remarqua au loin une silhouette. Elle s'approcha rapidement, mais s'arrêta à quelque mètre. Un sourire apparu sur le visage du scientifique. Enfin une personne dans cette ville se disait il. Il la regarda et remarqua que ce n'était pas une humaine. Il entendit sa voix, une joie s'empara de Stein , il n'était plus seul.

‘’Que fait un être au cœur d’un endroit aussi démunis de vie? Surtout par une soirée aussi sinistre?’’

Stein prit une grand bouffer d'air et prit la parole avec son calme et son sérieux habituelle.

-Un cœur? Cela fait longtemps que le mien à arrêter de battre. De plus je ne trouve pas cette nuit si sinistre que ça. Il faut dire pour un humain certes, c'est une nuit assez sinistre, mais pour un vampire comme moi je trouve cette soirée assez magnifique.

Stein eu un petit sourire pour la demoiselle devant lui. Il remarque que c'était une harpie. Du moins en voyant ses ailes et ses griffes, il en avait fait la conclusion. Il n'avait jamais fait d'expérience sur une harpie, mais aujourd'hui c'était jour de bonté. Elle l'avait sortit d'un moment ennuie, il ne la toucherais pas pour ses expériences. Du moins pour cette fois.

-Je m'appelle Stein Skranter et je serais bientôt le scientifique le plus connu des temps, Du moins je l'espère. Je suis venu dans cette ville pour avoir des renseignements sur des pierres, mais rien qui vous concerne du moins que je sache.

Il lui fit un petit sourire. A première vu on croirait que cet un homme gentil et agréable, mais il reste une créature de la nuit. Il cache au fond de lui la bête noir qu'il est, du moins c'est ce qu'il raconte.

-Je pourrais savoir votre nom?? Et aussi pourquoi êtes vous dans cette ville par une nuit aussi morte? Belle harpie.

Stein avait toujours son sourire. Il ne lâchait pas du regard la harpie, comme s'il était hypnotisé. C'était pour lui la première fois qu'il en voyait une, donc il l'admirait le plus possible.

Invité

Bien sûr, comment passer à travers un royaume de dragée rouge sans croiser l’ombre d’un vampire? Comment appeler ‘’ville’’ un endroit vide d’expressions et identique à un lieu abandonné. Telle une tragédie, le souffle de la harpie balayait le silence. Ce monsieur Skranter employait un mot donc elle ignorait la signification: scientifique. Par la suite, il lui indiqua subtilement qu’il désirait se procurer une pierre. Le déclic s’enchaîna tout seul dans la cervelle intelligente de Minaro. Il cherchait plus de puissance. Il croyait qu’un de ces joujoux magiques appelé plus communément: des fragments de cristaux, lui apporterait plus de pouvoir. Elle conclut donc que scientifique égalisait à maître indestructible ou quelque chose dans le même topo. Il laissait sous entendre, recueillir des informations et notre amie n’eut nul besoin de s’imaginer quelle tactique il utiliserait pour en venir à ses fins.

‘’Cendrelle de Minaro. C’est un plaisir de faire votre connaissance. Une ville? Je dirais plutôt un désert épargné de sa chaleur. Cependant pourquoi parler de ce que vous êtes venu faire ici et dire tout de suite après que cela ne me regarde pas. Vraiment il est inutile de le mentionner si vous croyez ce détail point nécessaire. Ne faîtes pas l’erreur de croire que les autres sont ignorants car vous passerez à côté de beaucoup de choses. Vous devriez apprendre à maîtriser vos propres forces d’abord, Mr.Skranter.’’

En effet, ce vampire en soif de sang puis de pouvoir ne lui servait d’aucune utilité. Par conte, comparé à tout les habitants barricadés dans leur demeure il avait prit la peine de se présenter. Le vampire n’arrivait plus à détourner ses yeux de la majestueuse jeune femme. Désirait-il délecter son sang ou simplement l’admirer? Il reconnaissait sans doute la race de celle-ci due à ses ailes qui ne s’étaient éclipsée à l’intérieure de ses entrailles. Elle portait une longue robe sans manche couleur nuit. Sur son buste se serrait de trois courroies à l’éclat métallique. Qui aurait pu songer à la possibilité que dessous sa robe elle attachait ses armes avec d’autres tissus? Sa longue chevelure argentée s’écroulait derrière son dos. Ses multiples bijoux suspendus un peu partout provoquaient des petits claquements à chaque fois qu’elle se déplaçait. Si elle était jolie, cela dépendait des goûts. De toute manière, qui trouverait la beauté chez une demoiselle munie de griffes? Quelle excuse trouverait-elle pour décrire la cause de sa visite chez les humains?

‘’N’essayer même pas de me charmer. Vous savez très bien que vos bêtes sanglantes se trouvent entre ces murs. , dit-elle en regardant la maison, Mon ennui me guide dans des lieux trop calmes. À bien y penser il avait peut-être raison, une personne c’est déjà ça. Si je ne me trompe pas vous cherchez à gagner une plus grande influence magique? Et bien, commencez donc par monter d’un cran! Nous allons voir si vous êtes de taille...’’

Sans qu’elle ne le demande, ses ailes se replièrent sous sa peau. Elle pensait en avoir besoin durant son combat plus ou moins amical. Elle voulait s’amuser à donner une leçon au jeune mordu. Il fallait bien que la femme oiseau s’entraîne si elle ne voulait pas rouiller. Contrairement aux autres races, ceux de bas niveau maîtrisent facilement leurs pouvoir et ils possédaient une habileté particulière au compat. Le bout de ses longs ongles effleura le bras de son adversaire. Le froid incarné glissa le long de son membre à en glacer le sang. Son degré de congélation s’élevait au point qu’une fine couche de cristaux enneigés recouvrait son épaule. Sous la brise d’un vent glacial, Cendrelle le contourna puis revint face à lui. Une sourire subordonnait son aspect sérieux inhabituel.

*Voyons ce qu’il sait faire. Laissons le dépenser son énergie et ensuite j’agirai. Ha haaa!*

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Stein eu un petit souris de la discutions qu’il avait avec sa camarade de la nuit. Elle lui avait dit d’apprendre à savoir maîtriser ses forces. Il est vrai, que Stein n’était pas le plus doué dans ce domaine. C’était l’une des raisons qu’il l’avait poussé dans ce long voyage. Skrander ferma les yeux un instant, il remercia la personne qui avait fait en sorte que les deux ce croise. Il trouvait la jeune demoiselle d’une beauté magnifique, il se demandait si son sang avait un coût de la même qualité que son corps. Il mit ses mains dans les poches de sa blouse blanche et continua de l’écouter. Dans son discourt, il y comprit qu’elle désirait se battre contre lui. Il savait que les bonnes choses avaient toujours une fin.

*Je n’aime pas user de la force*

Il remarqua quelle rangea ses ailes sous sa peau. Elle devait avoir une bonne confiance en elle pour ne pas utiliser toutes ses capacités. Elle s’était approchée et avait effleurée le bras du vampire. Il sentit un grand froid qui se levait soudain, elle avait vraiment un grand pouvoir. Il sentit même des cristaux se former juste au dessus de son épaule. Avec ses mains il s’enleva ses cristaux et regarda la jeune harpie qui c’était remis devant lui. Il avait perdu son sourire habituel. Il la regarda dans les yeux avec énervement.

-Je n’aime pas me battre je préfère discuter. Je suis un alchimiste, je ne suis pas un chien de guerre. De plus vous venez de dire qu’il ne fallait pas essayer de vous charmez. Pourquoi vous avez peur que le vampire que je suis j’abuse de vous. Une dernière chose que vous devez savoir. J’adore le sang comme mes camarades vampires, mais boire le sang passe en troisième rang des choses les plus importe pour moi. Après il est vrai que je veux devenir plus puissant, si non je serais incapable de réaliser mon rêve.

Avec ses dents il se mordit la main plusieurs fois jusqu'à que le sang coule. Il parla dans une langue qui était familière pour celle des vampires. Son sang se transforma en faux, l’arme de prédilection de notre cher vampire Stein Skrander.

-Je ne suis douée que pour faire ce pouvoir là et surtout dans le but de crée mon arme préférait. J’aurais préfèré ne jamais me battre contre vous. On aurait pu être de bon allié, mais je suis sur que si je vous tourne le dos vous m’attaquerez alors au moins que je face honneur à ma race.

Un petit sourire apparu sur son visage. Il ne connaissait rien des pouvoir des harpies, mais il allait vite le découvrir. Il enleva sa blouse blanche qui allait plus l’handicaper dans le combat qu'autre chose et se mit en position de combat avec sa faux.

Il prit une grande respiration, le froid qui commençait à venir le glaça toutes ses cicatrices. Un bien qu’il avait oublié depuis trop longtemps à cause d’être rester enfermé dans son laboratoire. Il commença à partir à tout vitesse sur son ennemis pour lui mettre un coup de faux tout ce qui a de plus simple.

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La demoiselle poussa un long soupir par la bouffée d'air qui lui sortait des poumons. Il ne comprenait pas ce qu'elle désirait lorsqu'elle osait le frigorifier le bras.

''Des paroles se renversent si vite... Ce n'était qu'une simple partie de carte. Je ne vous demandais pas de jeter un as de pic sur la dame de carreau! Je ne disais pas ceci dans le but que vous croyez que je croyais. Si cela devait se produire se serait de mon propre gré, pas par une quelconque tactique futée destinée à abuser.''

Sa métaphore nuançait ses intentions. Il avait prit mal ce qu'elle lui avait dit sous l'envoûtement d'une pure plaisanterie. Stein ne semblait pas se réjouir à l'idée de mener un combat amical. Il préférait sans doute s'accable à d'autre moyens plus pacifiques d'organiser ses embrouilles. Tout au contraire de ce dernier, Cendrelle aimait se défouler physiquement de façon à comprendre mieux la valeur de ses sens aiguisés et à maîtriser plus facilement ses forces magiques. Cette mise en scène plutôt décadente n'était que l'oeuvre d'un jeu à son égard. Elle ne comptait pas le blesser ou le tuer. Elle s'obstinait seulement à le défier. Elle ne s'attendait point à des mots aussi contrariés de la part du vampire, elle croyait qu'il n'hésiterait pas à saisir l'occasion qu'elle lui tendait, servant à tester la harpie. Décidément, il ne côtoyait pas souvent l'humour provocateur qu'appliquait la dame. La jeune harpie ne s'arrêtait pas à une enveloppe glacée. Enfin, il chargeait pour une première à l'aide d'une arme qu'il créait par la substance d'une entaille. La plaie laissait évader de son contenu quelques gouttes de sang qui se transformaient aussitôt en l'instrument favori de la faucheuse. Sa faux ratait sa cible qui l'interrompu d'une manière inattendue. Ses lèvre se remuaient puis prononçaient une incantations ancienne dans la langue des mages noirs. Une tache noire s'effrita de son souffle. Son acte de sorcellerie décomposait l'objet destiné à assassiner en une trâlée de corbeaux maléfiques. Leurs pupilles rouges à vous en hypnotiser le regard projetaient des paroles censurées dans votre esprit dès que vous tentiez de les capturer. Sous le commandement murmuré de leur maîtresse, les oiseaux s'envolaient dans la voûte des nuages de l'horizon ténébreuse.

''Vous voulez me tuer maintenant? Je comprends votre défense mais vous sautez des étapes là. Soyez chanceux que je ne vous considère pas comme un ennemi car je ne laisse aucune chance. Prenez se délire pour un avant-goût car si vous désirez me détruire, il faudra passer par des années douloureuses voir une bonne dizaine.''

Elle avala la salive de sa gorge sèche et reprit ce qu'elle s'apprêtait à divulguer:

''La sensation de sentir les pulsions excessives de la lave brûler sous vos pieds... Lorsque votre corps aura atteint cette limite, venez me revoir et nous en discuterons.''

Yamina De Minaro n'avait jamais facilité les choses pour son apprentie adoptive. Elle lui faisait passer les pires épreuves que l'enfer elle-même ne saurait imaginer. Le sentiment de l'impasse hantait autrefois son esprit mais elle finissait toujours par s'en sortir avec de percluses blessures. Les abcès de violence, elle maîtrisait. La cruauté, elle la surmontait depuis le vieux temps et acceptait les actes que celle-ci impliquait. Ce ne serait pas aujourd'hui qu'un jeune mordu la vaincrait. La femme oiseau ne maîtrisait pas ses facultés surnaturelles à la perfection mais le combat l'avantageait dans la plupart des situations. Elle marchait en sa direction puis dans un mouvement rapide, presque imperceptible, elle tira son saï accroché à sa jambe. L'objet tourna entre ses doigts puis s'arrêta à proximité du centre de la gorge de Stein.

''Commencez par vous servir de vos propres mouvements, vous aurez plus de facilité à manier votre arme contre votre adversaire. Par conte, la force du vent ne peut être réduite par une faux. Il faudrait que vous soyez très rapide pour arriver à m'atteindre. Je ne le suis pas moi-même. Je me contente de laisser chaque coup dans le vide. Je ne vous prend pas pour un chien de guerre car je ne prendrais pas la peine de te faire comprendre autre chose.''

Elle jeta son regard submergé d'or dans le siens qui se cachait sous le masque de lunettes.

''Allié? Tu ne tiendrais pas une journée à me suivre avec tous les gestes raffinés d'horreur qui m'animent. Le seul qui y survit plane présentement dessus nos têtes.''

Au fait où était ce très cher phénix? Elle ne s'attarda pas à la question puis rangeait son arme, toujours de taille à engendrer un affrontement sympathique de la part du vampire.

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En quelque minute son arme favorite qui l’avait aidé pour combattre des tonnes de fois avait disparu en des dizaines de corbeaux maléfique après l’incantation de la jeune Harpie. Son attaque avait servit à rien, du moins penserait un simple d’esprit, mais maintenant Stein savait qu’elle utilisait la magie noir. Il est le genre de personne qui analyse son adversaire avant de donner tout ce qu’il a. Les corbeaux s’envolèrent vers le ciel sombre quand leur maîtresse fit un geste pour qu’ils disparaissent. Après les paroles qui firent sourire alchimiste, il remonta ses lunettes.

-Je ne veux pas vous tuez. Je sais que vu mon niveau j’en serais incapable. J’aimerais juste faire quelque expérience sur vous, mais bon reprenons.

Après ses quelques mots la Harpie reprit la parole. Skrander ne comprit pas trop le rapport avec la lave peu être un moment qu’elle a du passer dans sa vie pour en arriver là. Il vu la Harpie se mettre en marche, elle sortit une arme. Il reconnu l’arme tout de suite, c’était un saï. Elle devait avoir une grand habileté de cette arme, vu l’agilité quel avait à le faire tourner au tour de ses doigts. La pointe de l’arme s’arrêta sous la gorge de Stein.

*Une chance qu’elle ne veuille pas ma mort*

Elle se mit à lui expliquer le combat, un petit sourire apparu sur son visage. Dans une si belle nuit, il avait le droit à un cour particulier de combat. Il ne l’aurait jamais cru si on lui avait dit.
Il croisa ses yeux qui étaient submergé par l’or et entendit sa phrase qui lui fit un peu mal dans sa fierté.

-Je vois que vous connaissez plein de chose sur le combat, mais il vous manque encore les renseignements sur les vampires. Je vous rappelle que ma race est une race maléfique. De plus, nous vampire devons mourir pour pouvoir renaître, mais pour sa il faut accepter la mort qu’un vampire nous donnera. Donc la mort nous la connaissons très bien et nous vivons avec elle vu que nous la donnons au humain pour qu’ils nous nourrissent. Et une dernière chose, j'ai fait des choses plus qu’horribles sur des humains voir même sur mon corps, alors ne vous inquiétez pas pour moi.

Stein se toucha le visage et se remémorer les tonnes d’expériences qu’il avait fait à son corps.

En quelque geste sa faux était de retour et le combat pouvait reprendre. Il était encore un jeune mordu, il ne pouvait pas utiliser ses pouvoirs comme il le voulait sinon le combat aurait été différent ou du moins il le pensait. Il ne savait pas quoi faire, il remonta ses lunettes qui étaient en train de tomber et réfléchit quelque instant.

*Le vent n’est pas vraiment un problème. Il n’a jamais fait en sorte de ralentir les coups, par exemple comme l’eau qui lui empêche des mouvements corrects. Sans pouvoir je suis impuissant.*

-J’aimerais savoir un petit détail si tu permets. Pourquoi m’aide tu si nous ne sommes pas allié ? Je pourrait devenir plus fort et vouloir un jour ma revanche et tu mourra peux être ce jour là. Alors pourquoi m’aider ??

Stein avait cette question en tête depuis trop longtemps. Il se mit en position de défense et attendit les assauts de la harpie. Il laissa tout ses sens ouvert, il ne pouvait combattre en attaque alors il le ferait en défense jusqu’à qu’elle face une erreur. Il devait pour cela ouvrir ses sens au moindre danger et bruit comme un vrai animal sauvage.

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