Lost memories...la genèse des héros...[Delyndil]

L'obscurité est généreuse...et elle est patiente.
C'est l'obscurité qui sème la cruauté dans le terreau de la justice...qui fait pleuvoir insidieusement le mépris dans la compassion...qui empoisonne l'amour avec les germes du doute.
L'obscurité peut se permettre d'être patiente, car la plus petite goutte de pluie fera germer les graines...
La pluie viendra et les graines germeront, puisque l'obscurité est le terreau dans lequel elles poussent...comme elle est les nuages au-dessus d'elles...et comme elle attend embusquée derrière le soleil qui leur donne sa lumière.

La patience de l'obscurité est infinie.
Avec le temps, même les étoiles finissent par s'éteindre...

Car les étoiles...ne sont-t-elles pas éphémère...?
Oui...oui, vous savez que les étoiles ne sont qu'un pâle vestige...infime substitue d'une clarté disparue au milieu de la grande nuit dans laquelle vous avez finalement décidé de vous plonger. Parce que la nuit est chaude...la nuit est rassurante. La nuit fait partie de vous...elle est votre entourage, votre amour...la nuit est votre seule compagne...parce qu'au plus profond de vous...vous savez qu'elle est tout ce qu'il vous reste. Vous savez qu'elle est l'ultime lien auquel vous vous raccrochez sans rien espérer en retour...la nuit est cet infime point noir...reflet d'une clarté perdu qui, bercée de tendre ironie a finit par transformer votre tendresse en une froidure blessante...et morfondre la douceur rassurante dont vous étiez doté en une tornade violente et braiseuse...

L'obscurité à finalement réussit à vous changer...

Vos iris d'une couleur aussi semblable que le crépitement orangé de mille soleils restent braquées sur le ciel étoilé...le sang roule le long de vos tempe, maculant votre visage divinement ténébreux d'une pluie silencieuse, issue des larmes de Noctulius...

Lentement vous vous penchez en arrière, ne prenant pas la peine de plisser votre magnifique regard sur le massacre que votre volonté de fer venait d'accomplire. Glaciale et silencieux vous restez figé, votre doux visage étrangement mélancolique lorsque vous fixez les étoiles de vos prunelles de couleurs ambre. À vos pieds, les prémices d'un carnage tristement Elfique ont disparus...seul subsistent d'épaisses flaques aussi rouge que les abîmes sanglantes du monde des Enfer, et ces flaquent maculent le vert délicat des plaines forestière avec une étrange provocation...exposées au yeux de tous, elles symbolisaient le tableaux figé d'une haine éternelle entre Elfe et Démon...

"Ils" avaient encore essayer de s'en prendre à vous...marqué vivacité subsistante des ranger de Delyndil, leur approche avait été subtilement directe...pour finalement se heurter à une fougue tant exécrée...une fougue enflammée et bercé d'ironie...un carburant de douleur pure transformer en un hurlement de rage silencieuse. Vos cimeterres avaient bougé au rythme de vos émotions...transformant votre corps d'hybride en une arme purement et simplement ténébreuse. Héradiquant ces pâle reflet pantin au oreilles effilées, ces traîtres qui vous avaient volée votre avenir...pour finalement vous tromper dans une parodie de bonté féérique.

Et votre coeur de réprouvé en avait finalement gardé de douloureuse séquelles. des séquelles qui vous hanteraient à jamais.

Mais il y avait une chose que vous n'aviez pas prévu dans votre fougue. Ce fut la promesse d'une traque éternelle, la volonté lumineuse de détruire ce qu'il y avait de plus sombre sur Cassilmena...et vous en faisiez désormais partie. Et le votre existence ne fut que traque, mort et colère...car au final vous vous êtes libéré des mensonge de Delyndil pour plonger vers une toute autre forme d'apogé...
Et cet apogée vous condamnerait à la fuite éternelle...
Une fuite qui vous était si facilement proposé...mais qui, au final, fut repoussée par les lames acéré de votre volonté. Parce que vous vous nommez Morion...

...et Morion ne recule jamais.

Morion : "..."

Lentement, le bel hybride au charme sombrement attirant fit glisser les lames jumelles de ses cimeterres derrière les courbes androgyne de son dos à la peaux de nâcre masqué par les volute ténébreuse d'une paire d'aile angeliquement démoniaque. Son beau visage demeurait impassible lorsque ses bottes noirs foulèrent avec subtilité le sol de la fôret. Avatar du dieu de la nuit au milieu d'une mer végétale aux fleures d'un blanc laiteux, Morion ressemblait à la somme de mille contraste...
Plongeant ses mains d'albâtre dans les mèches effilées se sa chevelure blonde aux nombreux épis, le jeune adulte coula un dernier regard en direction des corps disloqué...

...et murmura de sa belle voix de basse

Morion : "Faites disparaître les corps...ils ne doivent pas savoir que nous sommes ici..."

Il y eut un bruissement inaudible de feuille remuées et plusieurs démon en armure firent leur apparition, emportant ce qu'il restaient des corps elfiques soigneusement découpés derrière un talus de ronces assombri par les soupirs de la nuit...

Le jeune guerrier leva son joli minois vers la pleine lune. celle-ci scintillait de mille feu...

*À présent vous n'êtes plus là mon maître...*

Un sourire discret mais tiraillé par une myriade d'émotions sombrement contradictoire ourla les fines lèvres du Réprouvé...

*...pour voir votre peuple sombrer.*

Une bribe...rien qu'une seule traversa la mémoire de notre bel avatar du néant...
L'image d'un bel elfe de nuit au visage emplie de douceur...l'immortel était penché sur un jeune adolescent au visage rayonant. Sa douce main de nacre glissait dans la chevelure couleur d'or de son disciple...et ses prunelles d'émeraude était emplie de bonté.
Les yeux ambre de Morion se plissèrent de douleur...

*Je suis rentré chez moi...je suis enfin rentré chez moi...j'avais juré de ne plus jamais revenir dans ces lieux maudits où j'ai perdu ma jeunesse...ma liberté...et où je n'ai trouvé que souffrance...*

...et la digue céda.

Morion : "Rasez-moi tout...je ne veux plus voir cet endroit...tuez tout le monde."

Invité

Sur les terres glaciale de Cassilmena, l'espoir semble s'être envolé , comme si le vent venait de balayé d'un geste tout cette force qui avait jadis porté au plus haut leur possésseurs, un mot qui était tantôt une faiblesse pour certain, une force pour d'autre, l'idée même de liberté semble aujourd'hui avoir disparu? les ténèbres assouvissent a nouveau le monde pour le reduire a l'état de poussière. ne reste-il plus aucune chance, les héros existe-il vraiment, ne sont-il là que pour idolatré certain grand homme de ce monde? Cassilmena vaut-elle la vie d'un homme de bien? Nous l'avons cru autrefois, il faut le croire a nouveau. Un nom semble pourtant inculqué une certaine frayeur du renouveau, celui d'un elfe de sang. c'était un soldat de l'armée elfique, mais sa volonté et sa determination, ainsinque la volonté de Gaia a vouloir lui montrer le chemin ont fait de notre elfe un nom dans le monde de la guerre. Son rôle se battre et servir ceux pour qui la vie doit être un plaisir, permettre a d'autre d'acquérir ce bonheur tant recherché. Il savait il le sentait, sa vie Gaia la lui reprendra avant la fin de ce conflit.

Une vie pleine , a-til jamais connu la paix, le bonheur, a ses question, il vous répondrait, les seul moment de paix était qd je voyais un sourir sur els lèvres de ceux pour qui je me bat, ses seul moment aussi infime étaient-ils,représentait les seuls moment de bonheur et de paix dans sa vie, autant dire un grain de sable dans une vie d'elfe, mais cela semblait lui suffir largement. il aimait sans attendre en retour, il donnait pour donner. Non ce n'était pa sun hero, ni même une légende.....c'était un.....................soldat...............ni plus ni moins, mais la détermination d'un seul soldat peut changer le cours de l'histoire, un seul grain de riz peut faire pencher la balance entre victoire et défaite. On lui demandait juste une chose d'accomplir son devoir, les batailles et le sguerres etaient sa vie, ceux-ci allaient être son dernier lieu ou il quitterai enfinc ette terre pour retourner a Gaia, après 6 siècles de guerre. Il sentait que finalement il ne lui restait plus qu'une dernière mission a accomplir. il avait pour ca ramené la seule qui pouvait rendre cet espoir possible Akari a sa nouvelle reine Sayuki, elle étaient ceux dont le monde se souviendrais ceux qui devaient ramener la paix, il avait foi en eux deux.

Fenrir:" Delyndil, il est temps.."

" ...oui..."

"tu penses encore a elle?"

" j'éspère qu'elle retrouveras le sourire"

" je ne sais pas si elle le retrouveras, mon ami, mais nous devons accomplir notre devoir.."

" .....l'espoir c'est embrasé...a nouveau..."

Les armées des ténèbres pensait s'être fait un passage sans alerté les elfes, mais ceux-ci semblaient avoir oublié que mère nature et les elfes ont un contact plus intime encore que els liens de l'amour. Les oiseaux s'envolèrent sous le fracas des bruits de lances et d'armlure des elfes, il n'étaient pas nombreux, quelque 600 soldat au grand maximum, mais ce n'était pa sle nombre de soldats qui pouvait permettre l'issue d'une bataille. chevauchant Thanatos son fidèl destrier blanc, notre elfe de sang observa l'horizon, des éclaireurs l'avertir, une armée s'approchait a l'orée de la forêt, avec toute la haine que pouvait en deversé les hommes. des démons et encore bien d'autre créature du monde des enfers. La bataille allait se déroulé dans la forêt, entre les arbres géant de cette immense plaine verdâtre, si bien que la neige se mit a tombé recouvrant bientot le sol d'une couverture blanche, le froid commenca a s'installé, la neige avait se pouvoir de rentre tout chose, plus laide soit-elle aussi pure et belle , la était la magie de ce manteau blanc, les flocon vinrent a tombé sur la longue chevelure blonde foncé de notre elfe de sang, le col de fourure le protégait du froid, mais son courage le réchauffait encore bien plus. Il était avec sa cavalerie, le reste de ses hommes étaient a pied, tous dans un alignement parfait, , observant ses soldats, il savait qu'ils étaient le dernier espoir d'une liberté menacé.

Il sortit des range t s'avanca vers ses troupes, quelque smots de courage n'étaient pas de trop.

"soldats....si vous vous aventurer tout seul chevauchant vers de verts paturage, n'en soyez pas troublé...c'est que vous êtes chez Gaia..et que vous êtes déjà morts...ahah"

Un rire, pour la mort, un rire pour ne pas pleurer,un rire pour garder espoir, mieux vallait partir au combat avec le sourire que sans.

"...Soldat, mes frères....ce que l'on fait dans sa vie.....résonne dans l'éternité...vous êtes le dernier bastion de l'espoir....l'unique frontière...et nous avons le devpoir de rentrer au palais de cristal...pour notre peuple, pour tous les peuples pour tous ses enfants qui croivent encore en de jours meilleurs...nous n'avons pas le droit de les décevoirs..."

" car plus le dessepoir naitra, plus nous seront fort, car l'espoir même, l'essence même de se mot, ne vient-il aps du désespoir lui même..."

Delyndil le savait le combat qu'allait mené ses soldats était le dernier espoir de l'humanité, mais en prononcant ses paroles, il apercut l'espoir rennaitre, ses hommes étaient confiants, il avait avec eux plus de forces encore que tous les armées du monde, il avait le courage et la determination, seul ses deuxc armes un soldat a besoin pour vaincre de son enemi.

"...vous êtes la 9eme légion....alors gonflez moi d'orgueil...."

C'est sous ses derniers mots, que delyndil ordonna l'avancée de ses troupes, postant sa seconde cavalerie a l'arrière, le nombre qu'étaient les forces enemies, leur étaient inconnues, mais a vrai dire avait-il seulement le choix?, Qui était leur enemis, nul ne le savait, seul un nom semblait se murmurer comme un echo "Morion".
les forces elfiques arrivèrent a l'orée de la forêt et déja il apercurent uen tache sombre qui se mouvait, ils étaient là, mais ils n'allait plus avancé, c'était une certitude que s'était donné l'armée elfique.

" ils sont là.."

"...hmm...Fenrir.."

" hmm le combat n'a pas encore commencé mon ami, tu la reverras je t'en fais la promesse.."

Son visage nacré restait fermé sur la pénombre des lieux...devant lui, la neige était éternelle, elle miroitait sous les rayon de lune avec une transparence appaisante, une pureté glaciale...mais aussi chaude qu'une nuit d'été sous le charme sybellin d'Eru le magnifique...divinité Elfique de la beauté...et de la puissance. Dans les profondeurs de son passé, il y n'y avait que des éco...des rires d'enfants elfes, leur silhouettes graciles qui se profilaient sous la délicieuse brise offerte par le ciel azuré...les étoiles scintillaient dans le ciel, et Morion était perdu au milieu des nuages...ceux que personne ne pouvait voir...ces volutes cendreuses qui lui rappellaient qu'il avait jadis été un héros nommé Anakiel Echtelion...un héros qui avait combattu au nom de la lumière, la paix...et la "vérité". Un héros que personne n'avait connu depuis des décénie...Anakiel Echtelion avait été le marcheur descendu du ciel, pour rejoindre la douceur merveilleuse du peuple de la forêt. Ami des elfes, il avait été ce jeune adulte tout juste sorti de l'adolescence que tout le monde aimait...car sa pureté et son innocence avait été les outils raffiné de son charme tendrement divin...

...il avait été l'enfant des étoiles, et des êtres magnifiques venait à lui...les Elfes de Cassilmena...les Anges du monde célèste...et les Mage du Yin et du Yang. Protégé par la blancheur il n'avait plus rien à craindre...car Delyndil veillait sur lui. Delyndil le protecteur...le sage...le Grand Elfe, celui qui, dans sa bienfaisance était capable de sauver tout le monde. Celui qui savait qu'Anakiel...le bel Anakiel, cet enfant de douceur...allait devenir un héros légendaire au exploits narrés jusqu'au archipels féérique de YaY. Mais...

...ce que Delyndil ignorait, c'est qu'il y avait de la faiblesse dans cette enfant. Une souffrance enfouis dans les profondeurs de son âme mû par un passé de pleure, de perte et de sang...une souffrance qu'il n'avait révélé à personne...

"Mon seigneurs, nos éclaireur ont repéré une présence hostile à plusieurs lieux de là...je crois que nos sommes repéré"

Tiré de sa transe douloureuse, Morion leva vers lui un regard emplie de haine...ses joues étaient clairsemées de larmes et aux milieu de ses iris crystalines, on pouvait y lire des miasmes d'amour transcendant, et le désespoir noir...sinistre...insupportable d'un coeur brisé.
Appeuré, le démon recula, avant d'être projeté en arrière par la bourrasque invisible dont les lignes de pointes ne faisaient qu'émaner du pouvoir de Morion...

Morion : "Je croyais vous avoir dit de tout détruire...pas d'éclaireurs...pas d'émissaires...juste la mort"

Avec une lenteur délicieusement opressante, sa main ganté d'ébène s'approcha de la gorge du malheureux, et la neige sous ses pieds se liquéfia pour former un anneaux parfait. Un anneau qui claqua sur la nuque de l'incube pour l'étrangler lentement, au fur et à mesure que le poing du Lucifer doré se reserrait sur lui-même.

Paniqué, la créature recroquevillé qu'il était devenu leva un bras suppliant vers son tortionnaire, tentant en vain d'en appeller à une miséricorde qui, depuis longtemps...avait quitté le corps froid et sinueux du Révolté. Mais son regard ne croisa que les braises enflammées des prunelles de son bourreau.

Morion : "Cette faute envers moi était la DERNIÈRE capitaine..."

La colère brulait dans le ton de sa voix...un timbre grâve et puissant qui n'appartenait plus à Anakiel...

Hoquetant, le soldat eut un dernier soubresaut avant de s'effondrer la bouche ouverte sur la neige poudreuse...maculant de noir la pureté reluisante de cette bulle féérique...cette bulle de lumière qui bientôt, allait éclater. Car la colère de Morion était éternelle...

...et rien ne lui résistait.

Il ne fallut qu'un regard de notre bel archange de ténèbres pour assurer le reste de ses troupes d'une souffrance infinie si les armures noirs ne se mettaient pas en marche...MAINTENANT !

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Dans les profondeurs de la forêt le silence fut bientôt troublé par le son éraillé d'un cor inconnu...un cor qui n'avait rien d'Elfique. Les arbres furent soudainement agité de soubresaut anormalement violent, et les branches commencèrent à s'effondrer lorsque la première raffle accouru en poussant force crie de guerre. Des guerriers montés sur des Wargs (illustration) faisaient tournoyer des frondes tandis que d'autres balançaient déjà leur projectiles effilés vers les troupes d'Elfes qui, dans leur immobilité troublante semblait attendre l'instant fatidique...

...où le répercutement proche de leur millier de corps bientôt balançés dans des fosses communes.

En contrebas le plus gros de l'armé nocturne restait massé à la lisière tandis que d'autres légions s'enfonçaient sous les bois, formant par deux groupes une tenaille en demi-lune que personne ne saurait déceler...mis à part peut être...

...Delyndil, l'Elfe qui LUI avait enseigné cette manoeuvre.

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Rebirth my past...

Adossé contre la surface écaillé d'un arbre mort Morion attendait avec un calme sinistre un évènements subtile qui ne tarderait pas à arriver. Ses paupières closes sur son regard glacé, notre beau sauvageon fit glisser sa bote sanglé en arrière, prenant appuie sur le tronc tout en croisant les bras sur son torse délicieusement découpé...son joli minois incliné vers l'avant restait prisonnier de la pénombre omniprésente...

...silencieux au milieu des ténèbres, le Révolté attendait son heure.

Invité

La noirceur commencait son ascension vers l'armée elfique, dernier rempart d'une liberté si éloignée, le cor démoniaque se mit a fredonné dans la forêt tel un echo sans fin témoignant de leur cruauté a vouloir en finir. Mais devant eux se dressait 600 soldats, tous tenaillé par l'espoir qui semblaient les unir les uns aux autres, ils le savaient "ils" était la dernière frontière, l'ultime résistence contre les armées démoniaque, leur combat était crucial pour la sauvergarde des peuples habitant Cassilmena. allaient-ils être reconnu,, ou allons-nous parler d'eux dans les livres d'histoires? A cette question il n'avait de réponse, sans doute que non, on ne parle pas des soldats, il n'y que leur dirigants qui se font un nom dans l'histoire, pour Delyndil bien connu de ses troupes et de ses enemis, n'allait pas non plus apparaitre dans l'histoire ou que très vagueument, mais c'était mieux ainsi, les véritables héros, ne sont pas les personnes eux-même, mais tout ceux qui les ont cotoyé, les ont suivit, leurs actes sont des héros. ëtre un héros inculque bient rop de responsabilité, ce titre, Delyndile t ses hommes le laissait a leur reine et aux dirigeants des autres races. Si il accomplit sond evoir cela sera suffisant pour lui.

sans bouger restant stoique face au danger qui deferlait sur eux, les lances elfiques etaient toujours pointé vers le ciel, surplombant de magnifique drapeau, des étendars au symbole de l'espoir, l'un d'eux était un oiseau blanc volant vers le ciel, symbole de liberté et d'espoir. apercevant les Wargues se deversé , plusieurs projectiles effilés se mirent a jallonés le ciel. courvant le soleil d'une npoirceur pendant un certains temps. le nombres de ses projectiles étaient si nombreux qu'il masquait le soleil. Suivant les ordres de leur formation, Les elfes brandirent le bouclier vers l'avant pendant que la seconde ligne protégait le ciel, formant un carré parfait protégé sur tous ses coté. Les projectiles déferlèrent sur les bouclier sans jamais touché un elfe, témoignage de leur grande maitrise du combat. leur longues lances étaient prête pour l'assaut suivant, une centaine de fantasin lourdement armée couraient dans leur direction, sous des cris de guerre tous aussi effroyables le suns que les autres. une 30 enes de Wargues semblaient eux aussi chargé le tout dans une formation en lune. Etrangement cette tactique de combat lui rappelait quelque chose...un doute le percuta un moment, mais il observait depuis derrière et avait confiance en ses généraux.

Fenrir:" cette formation..."

" tu l'a remarqué aussi... "

" que faisons nous Delyndil.."

"lorsqu'un enemi est impatient d'en finir, il faut être patient, "

"...hmm..."

"Nous allons brisé leur premier assaut, la vitesse a laquel ils arrivent.."

"pardon...il vont brisé nos lignes tu veux dire..."

" non je vais utilisé leur propre force et leur vitesse de charge pour retourné leur attaque contre eux...regarde...pourquoi crois-tu que j'ai demandé de mettre en avant les fantasins"

Soudain restant immobile comme des piquet, les elfes, attendaient et attendaient, jusqu'a ce qu'un drapeau e t un cor elfique se mit a sonné, soudainement, de longues lances de plus de 2 mètre se mirent en place, ceux-ci étaient placé au sol, les elfe de la première et de la seconde lignes les plantèrent dans le sol fermement, pointant leur bout en direction des troupes enemis qui s'avancaient. En continuant leur lourde charges, ils allaient se brisé sur les lances et grâce au mouvement de force les autres allaient se brisé contres leurs compatriotes a cause de cette allure qui allait être stoppé d'un coup sec par les hallebardiés elfiques. Les soldats eldariens ne semblaient pas avpoir peur non, leur général delyndil étaient là pour les guidé, il avaient confiance en eux-même. Lorsque le début des percutement contre les lances commencèrent, les elfe rangers décochèrent uen volé de flèches qui se dirigèrent vers le reste des troupes lourdes.

" bien...premier assaut essuyé..."

" hmm...calme toi Fenrir....le comabt ne fait que commencé.."

le combat allaient-ils être si aisé pour els elfes, non et Delyndil le savaient, ce premier assaut ressemblait trop a du déjà vu..lui-même utilisait cette tactique pour...pour distraire l'enemi, d'un signe de la main il ordona a son général de garder ses positions, lui et sa cavalerie allaient se diriger vers un autre points.

" arme les catapultes Fenrir"

"mais le danger pour la cavalerie"

" est acceptable.."

la neige tombait sans cesse instalant unf roid des plus dur sur le champ de bataille, pendant que les soldats eflique achevait les démons en contre-bas, delyndil et sa cavalerie allaèrent se psoter vers un point situé en hauteur, il n'avait que 600 soldats, serait-ce sufisant, pour arrêter les ténèbres, peutêtre pas ou peut-être que oui, tout dépendras du courage de ses soldats. Delyndil savait que pour gagner ce combat il devait dégouté ses enemis du combat lui-même. Le général enemi devait sans doute savoir que cette armée était la dernière frontière , il n'allait donc pas lesiné sur ses forces pour brisé cette armée. delyndil le savait bientôt il enverra le gros, de ses troupes afin d'en finir. Observant sa cavalerie, notre elfe de sang posa son casque sur son sa tête, laissant quelques mèches d'or s'échappé de son casque, a sezs côité sond estrier fidèl et fougeux "Thanatos", il avait toujours été a ses côtés, un fidèl animal aussi blanc que la neige, des bataille sil en avait déjà vu des bien pires, mais chaque combat était un élan de plus vers la fin de la guerre.

Thème

" cavaliers de la forêt je sais ce que vous vous dites...je n'ai aps envie de mourir ici pour ca..."

" mais après cette bataille, bien des années auront passées...sans doute serez-vous en vie a cultivez vos champs...mais le monde aura changé "

les soldats écoutaient leur commandant, oui ils avaient envie de revoir les siens, pour certains ils avaient une famille des enfants, mais eux aussi tous connaissait les sentiments que portait delyndil envers son peuple.

" Et quand bien des années auront passées...vous vous direz...j'aurai aimé revenir ici et me battre juste une fois...pour une chance......juste une petite chance...de battre de nos enemis..pour l'espoir et la liberté"

"alors soldat...êtes-vous avec moi..."

C'est alros que soudainement un sourire s'afficha sur le vsiage de ses elfes, ils avaient comprit, ce moment était sans doute leur derniers, mais si cela pouvait permettre de battre leur enemis afin de gardé la liberté, ils étaient prêt, prêt a mourir.

" Si c'est ici que nous devon smourir pour permettre a l'espoir de rennaitre....alors nous mourrons...mais je vous jure sur ma vie que je ne partirais pas seul...j'en enverrais plus d'un de ses démons avec moi..."

l'espoir un arme, la liberté un but atteindre

"car nous ne disparaitrons pas sans nous battre...mes amis..."

Allait-il revoir celle qu'il as toujours aimée, le destin allait en décidé, allait-il réussir a remporter la victoire, a ses questions il ne pouvait y avoir encore de réponse, mais le monde saura qu'ici se sont battus des soldats, des hommes libres contre un tyran et qu'il sont mort en homme libre pour le peuple de Cassilmena.

les Elfes attednait donc leur heure, avait-il une chance? oui sans aucun doute même si celle-ci était ausis mince qu'un fil de nilon elle était là présente.

Cette nuit là le ciel était en feu, et la forêt semblait s'être embrasée...pâle vestige d'un passé qui, bientôt, ne serait plus que le souvenir évanescent d'une lumière perdu...celle que Cassilmena avait un jour possédé, mais qui désormais, venait de se consumer dans le brasier de la haine...et sous le regard de Morion que la colère et les années passées au près de l'obscurité avaient rendus d'un jaune liquide...
Son fin minois d'une blancheur délicieusement sinistre restait impassible sous la barbarie, la souffrance et les effluve de sang crachées par les profondeurs de la forêt...et qu'il pouvait présentir jusqu'ici...en bas il n'y avait que la mort. Les flash entrecroisé des flèches enflamés striaient de rouge le ciel enneigé pour retomber sur les bouclier Eldariens en une pluie de larme de rage...les hurlement des wargs assourdissaient le silence fragile de la grande marré verte...et au milieu des étoile Gaïa était en larme, pleurant sur la beauté perdu de ses enfants, et la traitrise de celui qui fut jadis appellé le Héros sans Peur...le garçon qu'elle avait un jour tenu par la main pour le guider sous le regard tendrement métalique de son Paladin le plus intime...
...car avec Delyndil, elle en avait la certitude...l'enfant célèste allait enfin pouvoir s'épanouïre...

...elle se trompait.

...elle se trompait parce que le monde était un puis insondable...un gouffre éternel où l'on y avait plongé les pleures honteusement douloureux, et le pierres rendu brulantes par la souffrance de toute le races réunies...elle se trompait parce que depuis le début, l'enfant au cheveux d'or qu'elle avait jadis serré contre son sein avait été transpercé par les ténèbres dès son premier cri...ses premier pas sur terre et ses premier pleures...

...elles somnolaient au fond de lui, attendant avec une patience infinie le moment délicieux où elles allaient enfin pouvoir frapper le coeur du Réprouvé avec toute la violence du monde...

...parce qu'avec le temps, même les étoiles finissent par s'éteindre.

Et au fond des prunelles du bel avatar d'un Bellerophon il n'y avait nul étoile...seulement la haine, une colère silencieuse enchaîné par une patience muette et glacé...et les prémices déjà bien avancés d'une souffrance exangue...où le fantôme d'Anakiel Echtelion avait finit par disparaître...

...consumé par Morion.

Morion...celui qui sème la peur sur Cassilmena. Le spectre d'une colère froide...celui qui donne la mort autour de lui, parce qu'il n'a que cela à faire...parce qu'il s'est lui-même perdu dans les larmes du désespoir, et que le crissement de sa lame est à ce jour le seul moyen de lui faire oublier la tristesse de son passé. Adossé contre le bois mort, le Révolté finit par ouvrir les yeux, et avec une froidure implacable il se dresse de toute sa hauteur face à la destruction du monde...la délicatesse de son menton poli disparaissait sous le flotement incessant de sa bure au couleur de la nuit...sous le tissu d'ébène, il pouvait déjà présentire l'appelle douloureux de Sadness et Rebirth qui réclamaient la mort de ceux qui l'avait plongé dans l'enfer de la solitude...

Insensible à la caresse du vent sur son visage...cette brise hivernale qui faisait flotter ses fines mèches doré avec un rafinement sauvage autour de la beauté de ses traits, le ténébreux glisses l'une de ses main ganté jusqu'à son capuchon pour le rabattre avec lenteur sur ce doux visage taillé en lame de couteau que le peuple Elfique connaissait tant...

...et avec une grâce androgyne il finit par s'avancer vers la forêt sous le regard ébahit de ses officier.

Morion : "Lientenant Feringal, lorsque les Wargs auront passé le mur, sonnez la charge...attaquez de front..."

Sous les ténèbres opressantes du brouillard enneigé, l'homme garde les yeux rivés sous la silhouette encapuchonné, interrogeant son maître de ses yeux pâle.

Morion : "J'y vais..."

Don't stay...

Le voile glisse sur le noir lustré des armures démoniaque...en même temps que la brume tombe...
...et sans un regard en arrière, la silhouette obscure du Seigneur Noir s'évapore sous la lisière du bois...laissant derrière elle l'éco sonnant de ses bottes cuirées et le claquement sec de sa bure de toile nocturne dans le vide infinit...

Devant lui, le tintement des armes et les hurlements d'agonies ne cessaient d'agresser les membranes translucides de ses tympans...l'odeur de la fumé, de la chaire brulé et du sang se faisait de plus en plus proche...
...jusqu'à ce que l'ambre glacé de son regard distant finisse par apercevoir l'horreur du combat dans sa grande totalité..le carnage mené à bien par les vagues torrentielles des armées de démons face aux armures rutilantes du peuple Elfique qui déjà, donnaient l'impression de se tarir sous les ailes des corbeaux et le regard avide des charognards...et dans le coeur de Morion, c'est comme si le dragon qui l'avait jadis tant fait souffrir venait de pousser un rugissement de victoire...

...et puis les deux silhouettes derrière lui se reflettent sur la pâleure de la neige, et les lèvres du Seigneur Noir s'ourlent d'un sourire...douloureux sous la noirceur de son capuchon.
Le premier Elfe passe à l'attaque. Leste et soigneux, son sabre Eldarien fila vers la nuque du Révolté...

...avant d'être intercepté, avec une rapidité fulgurante par l'éclat d'obsidienne d'un cimeterre de mort. Vif comme un cobra l'autre adversaire tenta de profiter de la parade pour lui porter un coup fatal, mais son geste fut bloqué par le "Slash" d'un autre cimeterre si semblable au premier...et Morion glissa sur lui-même tout en tournant ses deux lame en une estocade horizontale. Les deux files paralèlle des armes suivirent le mouvement régulier jusqu'à ce que sa main droite ne change sa course au dernier moment pour venir transpercer la poitrine du premier assaillant...

...dans sa négligence délibérée, l'ombre ne prit pas la peine de récupérer son arme et avec une insolente détermination, plongea sa main entre le X parfait tracé par les deux lames entrecroisées pour se saisir de la gorge frèle et délicate que sa paume ouverte aurait tout le loisir de broyer avec lenteur...bloqué par Sadness, le soldat tenta de se débattre en vain...l'étreinte de Morion était trop forte...et son regard d'émeraude s'éteignit doucement lorsque les étoiles finirent par danser devant chacune de ses prunelles...

...et dans une ultime convulsion, sa main tendu vers l'infini arracha le masque ondulant du capuchon pour dévoiler le beau visage de sa Némésis.

Son regard se figea d'horreur...

"Mais...mais...vous êtes Anakiel Echtelion..."

Parvint-t-il à articuler entre deux raclement...

Morion : "La ressemblance..."

Finit par murmurer le Seigneur Noir lorsque le "CRAC" écoeurant retenti au moment où sa main ganté de noir acheva de lui briser le cou...

Morion : "...est trompeuse."

Invité

Sous les bruits ardent des passe d'armes et des corps qui s'entrechoquaient, le bruit du métal fredonnant lorsqu'elle avait sur sa route une dame de métal, le bruit des lames s'enfoncant dans la chair, le bruit qui éclate comme si le Dieu du tonnerre lui-même venait d'abattre ses foudres sur la terre. Les cris effroyables des wargues arrachent un a un les souffle d'espoir des elfes qui ne semble pas abandoné. déja la couleur de leurs armures semblaient déjà se teindre de sang. Le courgae ne leur manquait pas ils étaient brave et ne semblait pas apeuré par els cris de ces mosntres de sang. Les lignes semblaient toujours tenir bien que plusieur elfe avaient déjà périt sous le feu de l'attaque. C'est là qu'arriva l'ange descendu des ténèbres , le chef de l'armée enemies, semblait courageux au point même de risqué sa vie sur le champ de bataille. Son agilité stupéfièrent beaucoup d'elfe, celle-ci ressemblait beaucoup trop a leur facond e se battre, ainsi que ses armes elle étaient aussi belle et meurtrière qu'une rose. Tel une danse il broya plusieur elfes sans la moindre difficulté comme si il connaissait les failles des armures elfiques, comme si il les avait déjà portés.

Mais soudain, alors que tout espoir semblait perdu, qu'unc ris de guerre se fit entendre sous le rugissement d'un cor elfique plus imposant encore que le précédent, s'eclama dans toute la forêt, sous la neige qui étaient tombé sur leur armure et les avait trempé une lueur plane mais forte formait une vague de miroir qui déferlèrent sur les hordes de démons. La cavalerie elfique descendait de la coline a vif allure . mais devant eux se dressait les wargues et encore bien d'autres, ceux-ci formait une masse sombre, qui soudainement se vit baylayé par des boule de feu de la taille d'un chariot. Le plan se mettait en place, ses elfes avait bienr ésisté, et Fenrir avait ordonné le lancement des jet de pierre des catapultes afin de permettre uen voie d'accès au cavalier elfique vers le gros des troupes et donc vers Morion.

" Catapulte....feuu...."

"Archer...enflammez.."

"Archer enflammez...archer enflammez...archer enflammez"

"Courrez en ligne droiiiteee..pour Cassilmenaaaa"

" Restez avec moi...."

Un tremblement des bruits de sabot de chevaux vint alors faire gemir le sol, sous les cris de guerre et d'ordre que donnait Delyndil, la cavalerie semblait invincible et fredonnait un air de peur et de mort sur tout ceux qu'elle baylayait. Dès que la cavalerie baylaya le reste des wargues les elfes fantassin se mirent a avancé d'un aps sûr voyant l'aide arrivé, et ne firent que front avec les démons qui continuait d'avancer en surnombre encore et toujours. Delyndil dégaina son épeé "Naradiel" et d'un geste puissant et grâce ala vitesse de frappe donné par son destrier, il tranchan la tête du premier démon laissant le sang giclé sur sona rmure et son visage. après que la cavalerie est atteint la vitesse de point zero, beaucoup de cavalier furent détroné de leur destrier par les démons, tout comme Delyndil qui tomba a terre. mais derrière eux il venait de balayer un grand nombre de démon offrant un nouvel espoir au elfes, qui continuait de se battre.

"argh...mpff"

A terre dans la terre froide, delyndil venait de perdre son casque dans la chute, qu'un démon s'abatta sur lui, mais evitant le premier coup celui-ci fut vite mis a terre voyant sa jambe tranché par le coup d'épeé de notre elfe de sang. Se relevant Delyndil était devant un combat de mêlée comme jamais il en avait encore vu, un véritable carnage, mais il avait l'habitude ce genre de combat il en avait déjà fait. Parant le coup d'un démons, il lui attrapa le bras afin de le bloqué et lui enfonca son épeé en pleine gorge, la faisant ressortir tel un fourau. Le sang jaollnait sur sona rmure mais il ne plia pas devant l'enemi, et ses soldat semblait toujours ausis se battre.

C'est alors qu'il apercut Morion en plein bataille, sons tyle lui rappelait quelque chose, mais il n'aurait put dire quoi, mais en observant sona rmure, celui-ci devait être un haut officier de l'armée de Darkness. Notre elfe de sang Se dirigea donc vers cette homme dont la facond e se battre ressemblait fort a l'une des classe les plus meurtrière des elfe, les "blade dancer". Achevant ses adversaire,s chaque démon qui tentait d'en finir avec sa vie, virent le tranchant de sa lame avant de mourir. Delyndil maniait son épeé avec talent et rapidité, marchant sur la terre souillé par le sange t la neige evitant els cadavre de démons et d'elfe sur le sol. Des flammes sur les arbres dégait une certaine luminésance sur els cadavres et els scènes d'horreur qui se trouvait sur ce champd e bataille. C'est là dans ses moments que hommes, elfe ou démons, réprouvé, ange, sorcier, tous ont la même valeur, tous se batte pour leur causes, tous se abttent pour survivre, car ils sont tous soldat. ici dans ses bataille la peur fait place au courage, la haine ala bravoure.

Lost memories...la genèse des héros...[Delyndil] Afrozenmomentbyfariencaza8

"Commandant Fenrir..les troupes de l'est sont prètes.."

" Bien continuez le lancement des foèches, et demander au commandant Eandril de rejoindre ses forces a celles de Delyndil"

Sous le carnage de sang qui se déroulait,un groupe armée d'elfe avancaient eux-aussi sur le côté repoussant les attaques démoniaque avec endurance et résistence, a leur tête le commandant Eandril qui semblait rejoindre les troupes de Delyndil en difficulté.

Quant a notre elfe de sang il arriva assez près de son enemi et sortit l'une de ses dague élementaire pour la lanca sur Morion aidé de la magie elementaire, la dague déchicta la chair démoniauqez de ceux qui se trouvait sur son chemin pour deferlé vers le visage de Morion.

Les éclats évanescents du fer contre le mithril tinté d'une pureté tellement équivoque par rapport à la nuit ténébreuse des armures de jet...les hurlements d'agonie sonnant comme le glas d'une dureté écoeurante au sein d'une pitié qui n'avait pas lieu d'être ici-bas...et le suintement du sang, tellement rouge sur la pureté des neiges de Cassilmena...souillant la douceur cristaline de ces lieux de bienfaisance...
Vu de l'intérieur, la bataille était une tempête de rage, de confusion, et de la certitude que la forêt toute entière essayait de vous tuer. Seulement...
...sous les yeux de Morion les combat n'était que le reflet douloureux des ombres du passé. Tellement de mort, de colère, de tristesse...d'adjectifs exécrés qui aujourd'hui était à l'origine de sa froidure légendaire...son détachement croissant par rapport au horreurs de la guerre. Le Révolté avait vu tellement de chose au sein de sa courte vie...il avait un jour porté le poids du monde sur ses épaules. Très jeune il avait été confronté aux sentiments de perte insupportable qui l'avait un jour poussé à s'interroger sur les véritable but de Dieu. Le tout puissant...celui qui l'aurait fait venir au monde pour lui offrir la joie de vivre...mais qui paradoxalement lui avait volé tant de choses...y comprit sa propre identité...celle d'Anakiel Echtelion...

...celle qu'écoeuré, notre bel hybride torturé avait balancé au oubliettes, hanté par les fantômes de sa propre décadence...

Il détestait Anakiel...il le haïssait tellement. Sous ce nom-là il avait tout perdu...y comprit sa propre vie. Et c'était Darkness qui était venu le sauver...lui et sa doctrine. Il l'avait tiré de la tristesse...pour au final le plonger dans le bain d'une toute autre souffrance. Mais Morion qui jusque là, refusait d'accepter le résultat de sa propre destiné...a finalement ouvert les yeux sur la vérité qui l'entourait...car partout où il allait il ne retrouvait que la même chose...

...la haine...les larmes...le sang, et la solitude.

C'était le lourd tribu à payer en échange d'un pouvoir éternel...un pouvoir tellement lourd dont le poids lui nouait les entrailles et qu'il portait en lui contre son grés...

...celui d'appartenir à la race des Réprouvés.

Ses lames d'obsidienne taillaient, tranchaient, glissaient sur les chaires ennemis avec une précision chirurgicale...estoquant les minces interstices tracés entres les épaulières et la jointure des casques Elfiques. Et à chaque fois qu'un geyser de sang...à chaque fois qu'une artère sectionné lui indiquait que sa parade avait fait mouche, le Seigneur Noir se détournait de son ennemi pour affronter le prochain avec une application d'écolier...à semer la mort...ne laissant derrière lui que les monceaux de cadavres d'un peuple qui toujours l'avait traité avec le respect soigneux d'un enfant chérie. Et à chaque fois qu'un Elfe tombait, l'ombre du maître de guerre oubliait, l'espace d'une fraction de seconde, les décénies d'expériences tactiques qui avaient fait de lui un bretteur inégalé dans l'art des lames courbes, pour redevenir le fantôme d'Anakiel Echtelion...

...et au milieu du Chaos, il se disait.

*Est-ce moi qui ai fait cela...*

Le monde semblait tournoyer...et c'était dans ce genre de situation que la faiblesse de son passé lui serrait le coeur avec la poigne d'un Titan...

*...qui suis-je...?*

L'ombre étincelante d'une lance effilé tenta de le désarçonner...mais c'était sans compter sur la vivacité de Morion...et avec l'agilité d'un chat, notre bel avatar de Noctulius esquiva le projectile, tandis que l'albâtre de son joli minois se plissait en une mou de dédain à l'égard du lanceur. Une expression que ce dernier n'eut jamais l'occasion de voir...dissimulé sous la capuche d'ombre...la seule chose que l'on pouvait distinguer du beau ténébreux était les quelque mèches doré qui s'échappaient timidement de la pénombre croissante...le miroitement de ses iris ambré...et l'extrémité cadavérique de son menton poli...révélant une paire de lèvres légèrement rosé qui parfois, se plissait en un sourire à faire frémir n'importe quel adversaire...car le malaise restait irrémédiablement là...

...ça et cette impression de déjà vue qui émanait de chacune de ses parades...cette danse de mort tellement séduisante...incroyablement lest, et horriblement efficace...

...jadis quelqu'un s'était aussi battu de cette façon-là mais...la comparaison avec ce guerrier de l'effroit serait une insulte à la mémoire du héros...car jamais, Anakiel Echtelion n'aurait été capable de telles attrocités.

Tandis que ses cimeterres se réduisaient à de grande arabesque nocturnes dans le sifflement lointain d'un vent du nord, le Prince du Mal cru voir un visage...une silhouette...une simple carrure dans la mêlé d'argent reluisante et de noir lustré...ses pupilles se dilatèrent sous l'effet de l'adrénaline. Était-t-il possible que...?

*Non...non...*

Songea-t-il...

...cet Elfe était mort en même temps que ces souvenirs...cela ne pouvait être LUI. Car IL n'était plus que le pâle vestige d'une vie ravagée par les caprices des Anges et des Elfes réunis...seulement...

Le visage, lui réapparut et avec netteté cette fois...et LUI-AUSSI le regardait...LUI-AUSSI le fixait de ses iris d'émeraude taillées en amande autours de la nacre translucide de ses cornées. Cette chevelure argenté...cette insupportable expression de sérénité peinte sur les traits délicat de son doux visage élimé alors que cette lame que Morion connaissait intimement, semblait trancher les chaires démoniaque avec autant d'aisance qu'une aiguille dans du beurre...pas de doute...IL était en vie...IL était revenu...
Le Révolté senti une chaleur désagréable grimper dans le creux de sa poitrine aux courbes sinueuses pour venir enfiêvrer son regard...
...et une joie farouche semblait brûler dans ses yeux...son visage n'était plus humain...

*Toi...*

Les billes incandescentes qui emprisonnaient l'éclat de ses pupilles étaient pleine de flammes...et quiconque aurait pu croiser cette lueur jumelle qui dansait dans la noirceur masqué par le capuchon y aurait vu l'incarnation d'une colère noire...et les prémices déjà bien avancés d'une douleur inapaisée...une peine profonde...un chagrin que personne n'arriverait à calmer...

*C'est toi...*

Mais ces pensées-là, Delyndil ne pouvait les percevoir...et c'est avec ce même calme distant au fond du regard qu'il balança l'éclat cyan d'une dague enchantée vers le faciès délicat du Révolté...
Inclinant son buste sur le côté avec toute la grâce d'un danseur de mort, Morion esquiva le projectile In Extremist...mais pu toute fois resentire l'éclat gelé de la lame mordre les chaire pâle de sa joue d'albâtre et arracher le capuchon couleur minuit qui dissimulait la subtilité de ses traits...

...son fin minois incliné sur le côté, il fut assez leste pour rattrapper la dague qui aurait probabement continuer sa course afin de se perdre dans les rumeurs de la bataille...et, avec une lenteur opressante tourna son visage vers celui qu'il avait un jour considéré comme un frère...et avec qui il avait rie...combattu...et vécu des moments d'intenses émotions qu'il était impossible de compter sur le bout des doigts tellement ils étaient nombreux...

Son regard restait figé sur celui du général Elfique...et glacé, Morion restait là...interdit, mais étrangement calme devant l'armure tellement familière de son ancien maître...et rien, pas un son ne semblait sortir de ses lèvres.

Seul ses yeux parlaient pour lui...

*Je te hais...*

Disaient-t-ils...

*...de toute mon âme...de tout mon être.*

Duel Of The Fates...

Les vieilles douleurs venaient de se réveiller, et foudroyant son adversaire de toute la colère...de toute l'animosité...toute la fureur que le monde pouvait engandrer, il prit appuie sur le sol meuble et couvert de neige ensanglantée par l'ivresse du combat...et bondit avec la vélocité d'un dragon noir vers la silhouette argenté...

...le temps sembla se figer et...

Schling...

...le véritable combat venait de commencer.

Invité

La cavalerie avait réussit a réduire a nean, les dernier wargues et beaucoup de démons avaient trépassé sous leur puissance et leur vitesse de charge. A présent se déroulait un combat sanguinaire, sous la neige qui s'abattait sans cesse mais fondait sur le sol encore chaud des combat ou sur les cadavres tout jsute tué dont le sang bouillonait encore de force et de rage. Les cadavres semblait s'amoncelé sous le regard ébaillit de tous ceux qui désirait jeté un coup d'oeil au sol. Une véritable mêlée de corps s'entrechoquaient. le froid n'arrangeais pas les choses non plus. les haut arbres de la forêt étaient les témoin sd'une véritable boucherie. ils étaient bien loin des villages paisibles et de la capitale de Cassilmena, ici il n'y avait que des soldats qu'il soit elfique ou démons, tous avaitn une chose en commun.....il était des soldats.

Soudain une troupe de soldats elfique dirigé par Eandril s'avanbcèrent vers la mêlée et de leur armure au traits eldariens, il s'arrêtèrent en ligne devant les démons qui se re tournèrent vers cette nouvelle ligne d'elfe qui tenait leur arme de manière bien singulière.

Eandril:"...Patrès....en ligne.."

Ne laissant ni même la peur et la fin du monde les ébranlé les elfe témoignaient d'une détermination jamais vu encore sur unc hamp de bataille. Les soldat elfique d'Eandril avancèrent d'un aps sur et fort vers les troupes démoniaques du centre aidant ainsi Delyndil et ses soldats dans son avancé. Le bruit des pas métalique des elfes s'avancèrent et lorsque les démons furent assez proche, les lames de ses elfes tournoyèrent pour broyé les corps de ses démons , faisant giclé le sang dans les air et sur leur armure quelque peu d'oré. Après cela les seconde ligne traversa la première et s'engoufrèrent dans la mêlée. A présent même Eandril se battait dans cette mêlée de corps ensanglantés. le bruit du métal quis 'enfoncait dans la chair était devenu plus qu'un ami fidèle c'était un compagnon.

"...Soldat...ordonnez...au soldat de bloquez le passage vers l'ouest..et armez les catapultes nous allons devoir recouvrir a une nouvelle vague.."

Sur le champ de mort, delyndil para le coups de plusieur démons enfoncant sa lame tel un messager de la mort dans ceux qui tentait de lui barré le passage. Soudain il rangea son épeé Naradiel et sortit une autre épeé mais a une main cette fois-ci, il dégaina alors sa seconde dague qui elle n'avait pas été perdu au main de son enemi dont les traits du visage lui rappelèrent quelqu'un. sa dague élémentaire de feu carbonisa les quelques démons qu'elle pouvait, son autre main parait et tranchait comme le vent.

s'avancant peu a peu il finit par croisé le fer avec Morion, dont il reconnut sans peine les chevelure d'or et les quelques mèches rebelles qui s'étallait avec insistence sur le devant de son visage. Non ce ne se peut, pas lui pas ce jeune réprouvé qu'il avait prit sous osn aile. l'espace d'un instan til semblait comme hypnotisé par la Méduse, même si ses geste était toujours ausis fluide et agile il parait sans faire de place a la mort. Mais il n'arrivait pas a croire ce qu'il voyait. Non c'était uen ruse de darkness denouveau, qui voulait lui torturer l'esprit.

*Anakiel....cele ne se peut*

"............."

Soudainement lorsqu'il comprit que c'était réellement bien son ancien apprentit, celui qu'ila vait aimé comme un fils celui qu'il considérait comme l'élu, était en face de lui le combattant.

"..argh....Anakiel...."

A se moment là il semblait qu'aucun démon ou elfe ne s'interpelait dans le combat , dans se duel, comme si rien ne pouvait les tocuhé, pourtant autour d'eux du monde se battait mais aucune lame ne venait perturbé leur duel, comme si les dieux eux-même en avaient décidé ainsi. Delyndil recula evitant de justesse certain coup et en parant les autres qui venait a lui. Qui était-il ce n'était pas Anakiel Echtelion, cleui qui l'avait connu. Pourtant leur visage et leur trait était similaire jusqu'a leur facon de se battre, une facon tout a fait elfique qui témoignait du style de combat des blade dancer.

*je ne comprend pas...*

soudain plus un bruit dans sa tête, pas un mot, seuls les images de cette bataille se révelait alui comme dans un film au ralentit, une voix douce et souave harmonisait et accompagnait cette peinture de mort. Les seul bruit qu'il pouvait entendre était les gémissement et le souffle de son enemis ainsi que le bruit de lames qui s'entrechoquaient.
lorsque sone sprit revint a la réalité, ils e trouvait en duel avec Anakiel, du moins c'est le nom qu'il avait lorsqu'il se battait a ses côté et nond e l'autre. Delyndil semblait avoir soudainement perdu cette envie de tué, il ne frappait que pour forcé Anakiel a se penché vers ses retranchement.

"......Anakiel......."

un nom qui résonnait comme l'écho dans un montagne dont seul le sommet restait impértubable

» Delyndil Fervellon[finit]
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