Yilna Swam

Nom : Swam

- Prénom : Yilna

- Sexe : féminin

- Âge : environ 20 ans

- Race : karnash

- Pouvoirs :
Symbiose avec le vent
Télépathie avec la faune et la flore
Transformation en oiseau
Auto-régénération (ce pouvoir fonctionne surtout avec le "pouvoir du sacrifié". Cela lui permet de se soigner un minimum et de ne pas mourir d'un coup. Cela lui donne aussi une apparence jeune bien qu'elle vieillisse.)
Pouvoir du sacrifié (Yilna est capable d’augmenter sa force et la puissance de ses pouvoirs de façon considérable mais seulement au pris de grande blessure que son corps s’inflige, les dégâts corporels sont proportionnels à la puissance qu’elle acère, en claire si elle ne veut pas mourir il ne vaut mieux pas qu’elle abuse…)


- Armes : Un katana et un poignard

Histoire
Avant Y&Y

L’enfant pleure, il ignore ou il est ni ce qu’il fait là. Il sait en revanche qu’il à faim, froid et qu’il à très mal. Il à trois ans.
Un homme s’approche de l’enfant et le scrute attentivement, l’enfant s’arrête de pleurer.
« Que fais tu là ? »
L’enfant pose son regard triste sur l’homme. Il reste silencieux.
« Qui t’as fais ça »
« … »
L’homme s’accroupi face à l’enfant.
« Comment t’appelles-tu ? »
« Yilna, je m’appelle Yilna, et vous ? »
L’homme sourit et murmure un nom à l’oreille de l’enfant, il le prend ensuite dans ses bras et décide de l’emmener loin de cette ville, loin de celle guerre.


Sept ans plus tard

« Yilna ?! »
La jeune fille se retourne en souriant, elle se met alors à courir dans la pleine herbeuse pour rejoindre son père adoptif. Il est là devant leur maison. Un sourire illumine son visage.
« C’est l’heure de manger Yilna »
L’enfant opine de la tête et rentre manger.
« Qu’as tu fais de beau aujourd’hui ? »
« Aujourd’hui je me suis envoler, je suis devenu oiseau. »
L’enfant ne remarque pas la stupeur de son père adoptif, elle ne se rend pas compte de ce que peut signifier sa réponse pour cette homme. Elle est heureuse.

Cinq ans plus tard.

« Yilna, caches toi vite ! »
« Que se passe-t-il ? »
« Je ne sais pas cache toi ! »
Yilna obéit et rentre dans le placard. Elle entend des pas et des voix, elle les reconnaît immédiatement. La jeune fille prie en silence, elle espère se tromper.
Le ton des voix montent, deviennent des cris. Yilna ferme les yeux et se roule en boule dans le placard, elle prie de tout son être pour que tous se passe bien.
L’enfant entend des cris, veut sortir, elle ne peut pas, elle est paralysé, elle se rappelle.

Des cris, du sang, des larmes Yilna à mal, si mal. Elle à trois ans. Elle courre dans la ville, elle à peur. Sa famille est resté derrière, elle les haït, elle en a peur. Yilna courre, c’est tous ce qu’elle arrive à faire, elle courre en pleurant. Elle pleure son grand frère, elle pleure parce qu’aujourd’hui sa famille a tenté de la tuer, elle pleure parce qu’elle n’est qu’une fillette sans défense parce qu’elle à froid, faim et qu’elle à mal. Elle pleure parce qu’aujourd’hui son frère est mort pour elle.

Yilna ouvre les yeux, cela ne recommencera pas, pas encore une fois. La karnash se lève, ouvre la porte, les trois hommes présents se tournent vers elle. Ils la regardent. Ils sont tous effrayant, mais Yilna n’a pas peur, elle à mal. P’pa est allongé par terre, il ne respire plus.
Une larme coule sur la joue de Yilna, ses mains tremblent, elle à mal, mal au cœur. Elle à mal et elle est en colère. Les yeux de la jeune fille se posèrent sur les hommes. Elle veut les tuer. Elle va les tuer.



Yilna est allongée dans l’herbe, couverte de sang, les yeux fixés sur les étoiles, elle ne pleure plus, elle n’est plus en colère, elle est vide.
L’enfant se relève, plus jamais, non plus jamais personne ne mourra pour elle. Elle va devenir forte, pour survivre, pour vivre.
Yilna se met en route et disparais.


Cinq ans plus tard :

Yilna est revenu, plus forte, plus froide, si triste. Elle à changé. Elle connaît l’histoire de sa race, elle connaît ses pouvoirs, elle sait se battre, mais elle est si seule.
Elle revient sur la tombe d’un homme, la tombe de P’pa. Elle ne pleure pas, son cœur souffre en silence. Un sourire triste apparaît sur le visage de la jeune femme.
« Je suis devenu plus forte, je sais manier le katana, contrôler plus ou moins mes pouvoirs, me défendre seule, mais ça me sert à quoi tout cela ? »
Yilna fixe la tombe le regard si triste.
« Pardonnes moi. Je n’ai pas su te sauver, pardonne moi… »
Le reste de sa phrase devient un murmure. La jeune femme s’accroupi devant la tombe. Une larme coule enfin sur sa joue et tombe sur le sol.
« Je te promets, je te promets d’essayer »

Les hommes sont morts, l’enfant à mal, elle à quinze ans. Elle s’approche de P’pa, elle saigne son corps est couvert de plaie diverses, comme à leur première rencontre. P’pa respire encore. Elle était pourtant certaine qu’il était mort. P’pa ouvre la bouche, il veut lui parler. Yilna s’approche et écoute, elle entend, les derniers mots d’un mourant.
« Soit heureuse Yilna, soit heureuse. »


La jeune femme se relève et part, définitivement, des idées plein la tête le regard sombre. Cette fois ci elle est prête, prête pour vivre son rêve, elle entendu une étrange histoire. L’histoire que lui racontait P’pa. La jeune femme se met en marche.
« Je vais réaliser ton rêve, puisque je n’en ai plus depuis longtemps… »

Pendant Y&Y

Partir, revenir, s’effacer, s’oublier, disparaître.

Yilna marcha de longues heures, de longs jours, de longs mois, Yilna marcha en s’oubliant, Yilna se perdit dans sa conscience, Yilna devint un automate.

La karnash franchit enfin une porte, rencontre une monstre Kaijuu Shi Kaimetsu, se bat passe un test, le début d’un réveil, le retour de la souffrance.

Le reste n’a que peu d’importance, recherche d’une liberté perdu, souffrance, souvenir, folie, oublie à nouveau, pertes d’elle-même encore.

Et puis il y eut la fureur de la nature, fureur qui fit couler le sang beaucoup de sang. Alors que Yilna était passé tel un fantôme entre les autres carnages trop profondément perdu en elle-même pour vraiment s’en préoccuper, cette fois-ci quelque chose était différent. La nature et le sang cette nature qui l’avait tant déchirait cette incompatibilité qui l’avait tant préoccupé se trouvait là sous ses yeux, unis d’une bien étrange manière.

La nature ravagé les terres et tuait ses deux yeux brillaient comme jamais mais d’une lueur qui ne présagé rien de bon. L’esprit de Yilna déjà fissuré se brisa totalement, alors qu’elle aurait pu trouver son bonheur dans cet équilibre qu’elle avait tant cherché ce fut ce qui lui assena le coup finale, elle qui n’avait jamais réussi à trouver l’équilibre, elle qui n’avait jamais réussi à voir que s’était probablement son seul but personnel vu devant cette réussite tout ses échecs.

Yilna sauta d’une falaise, la plupart de ses os se brisèrent mais elle ne mourut pas sur le coup, beaucoup d’autres auraient passé les heures suivantes à agoniser mais le pouvoir de Yilna la sauva et la fit sombrer encore plus.

Yilna était vivante elle respirait oui mais…



Physique :
Yilna est petite est fine. Son visage lui donne l’apparence d’une personne très jeune. Elle à les yeux de couleurs différente, l’un vert l’autre rouge. Elle à les cheveux court.
Yilna est souvent habillé de couleurs sombres et porte son katana dans son dos. Elle à les mains généralement ganté et ses épaules ainsi que ses bras son couverte de bandes.
Yilna a les yeux éteint comme si elle était morte, son regard ne s’allume que lors d’un combat ou lorsqu’elle est en contact directe avec la nature.
Yilna pourrait être jolie si elle n’avait pas l’air si triste, si détaché, si morte. Parfois cependant on peu y lire un intense désespoir où une pure folie.


- Caractère :
Elle est totalement détaché de ce qui l’entoure et à un sang-froid relativement correcte. Elle agit cependant la plupart du temps à l’instinct et pour des raisons variés. Yilna peut tuer une personne sans pitié et l’instant d’après en sauvé une autre. Elle est en fait assez mystérieuse car elle parait morte. Elle ne semble jamais heureuse et il est difficile de la rendre joyeuse. Elle ne parle quasiment jamais de son passé et évite de se liée avec les gens. Il apparaît toutefois que la mort de son père adoptif n’est pas la seule chose qui la rendu ainsi. Elle est également totalement perdu en elle-même s’étant elle-même piégée dans les méandres de son esprit tortueux.


- Qualités/défauts :
Yilna n’a pas vraiment de qualité. Elle sait se battre et il lui arrivera d’aider les gens. Mais elle assez brutale quand elle parle car elle dit ce qu’elle pense. Elle n’aime pas grand monde ce qui peut être un défaut en soi. Yilna n’est pas très sociale et aura tendance à s’engager dans des combats perdu d’avance, elle à parfois des tendances suicidaire et elle à un comportement pas très compréhensible.
Elle respecte néanmoins autant la nature que le sang. Pour elle il n’y a ni bon ni mauvais, c’est juste une question d’intérêt. Elle ne sous-estime jamais un adversaire même si elle s’amusera à le provoquer pour pimenter le combat surtout ces derniers temps où elle ne réfléchie absolument pas aux conséquences de ses actes sur elle-même.


- Aime/aime pas :
Yilna aime le vent et la nuit, elle courir. Elle aime la nature et le sang, elle aime par dessus tout, son indépendance et sa liberté. Elle se transforme en oiseau dès que possible (quand elle y arrive en fait) Yilna déteste les hypocrites et n’aime pas vraiment les gens heureux. Yilna aime son katana et le combat. Elle déteste parler d’elle même et ne le fait d’ailleurs pas. Fait étrange Yilna n’aime ni ne déteste personne, pour elle, les gens sont tous pareil, il faut les connaître et elle ne souhaite pas les connaître. Yilna déteste être enfermé à un tel point que l'on pourrait même dire qu'elle est claustrophobe, elle n'aime pas non plus qu'on la touche bien que cela ne lui soit pas insupportable. Yilna aime particulièrement voir la colère dans les yeux des gens ainsi que la tristesse ainsi elle ne se sent plus seul.

- Petit plus : Yilna à un tatouage (deux dagues rouges croisés) sur ses chevilles