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 Lecture abusive, compulsive. [PV Lady]

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MessageSujet: Lecture abusive, compulsive. [PV Lady]   Lecture abusive, compulsive. [PV Lady] Icon_minitimeDim 19 Oct - 22:23

Arrive de

Les plaisirs charnelles sont sans doute les plus plaisants que l’on connaisse. Tout du moins, c’est bien là ce qui lie tous les êtres vivants de notre planète, aucun d’entre nous ne peut dire qu’il n’aime pas le sexe. Homme comme femme, il nous appelle et nous frustre sans cesse. Si l’on cherche une chose commune à tout homme, à toute nation, voir même à toute race, c’est bien le sexe la réponse évidente !
Pourquoi ce phénomène serait-il un tabou de notre société ? Tout cela parce qu’un jour l’homme a crée le vêtement ? Puis la pudeur qui va avec ? Non, le sexe n’est pas tabou. Il est juste un acte physique d’intense plaisir et d’intimité, c’est pour cette raison qu’on ne copule pas avec tout le monde. Le sexe est l’ultime moyen de se dévoiler à l’autre. Tout est compromettant dans cet acte pourtant si naturel. On vit une parcelle d’intimité avec une personne, on partage une parcelle de sa vie importante. Même si cet acte a été répété un grand nombre de fois, on partage toujours cette intimité. Le sexe est avant tout affaire de confiance, on ne couche pas avec n’importe qui.
L’appel physique est le premier critère de sélection. Rien n’est histoire de beauté, mais d’attirance, une beauté fatale peu très bien ne pas être désirable, et l’inverse existe tout autant. Pour une bonne partie de luxure, cette attirance doit être réciproque. Pour ce faire, tous les moyens sont bons, ivresses, accessoires, jeux, pas de limites aux plaisirs.

En cette soirée, tout était là, l’attirance physique avait toujours existée entre eux deux. L’appel charnel était un passage incontournable entre ces deux personnes de classes. L’attirance était bien entendu réciproque, cela va de soi. Mais il existait quelque chose qui rendait la partie plus intéressante encore, une chose que seul eux deux pouvaient éprouver. Non ce n’était pas de l’amour. C’était beaucoup plus complexe à décrire que ça, sans doute une espèce « d’alchimie » incomparable. Une chose qui vous prend aux tripes et vous trouble en n’en plus pouvoir.
En cette soirée Nostra Damus avait ressenti cet élan d’ivresse à peine avait –elle posée ses mains sur lui. Il se trouvait maintenant sous le corps sublime de miss Lady, la chemise dégrafée à écouter la voix mélodieuse de sa reine. Il eut un rire enfantin à la remarque de sa belle, il posa alors son regard euphorique sur sa « passion » à lui, et d’une voix claire il dit :


« Nous ne sommes que deux pauvres adolescents incapable de se maîtriser… »

Amusé par sa remarque il leva sa majesté et en profita lui aussi pour se lever, et se mettant Lady à dos il l’encercla de ses bras. Posant quelques baisers taquins dans le cou d’ivoire de cette miss jolie. Doucement les mains du vampire vinrent attraper les agrafes qui fermaient la robe de Lady, pour les enlever une par une. La robe chuta sur le sol, laissant mademoiselle en sous vêtement.
Le Malkavian en profita lui aussi pour finir d’enlever sa chemise, la laissant tomber sur le sol. Tendrement il encercla la vampire par la taille et continuait de l’embrasser dans son cou. Il frottait doucement ses lèvres sur cette peau gracile, n’ayant qu’une seule envie, la croquer toute entière.
Les mains du vampire venaient doucement caresser le corps de Lady, montant doucement sur un ventre doux et apetissant, pour se frotter délicatement à une poitrine opulente et pourtant si peu vulgaire. Un charme que seule la plus belle des femmes parvenait à conserver. D’un geste il démit l’agrafe de son soutien gorge, laissant la femme un peu plus nue encore.
Nostra Damus prit alors Lady et la posa de nouveau sur ce sofa, amusé il revint sur celle qui pour lui était la plus belle, et d’une voix amusée il lui dit :


« En cette soirée, j’entame une révolution et je ne laisserais pas le pouvoir s’exprimer. Je suis le seul maître à bord et ça ne changera pas. »

La voix du maître Malkavian résonnait comme un défi. Un défi amusé et amusant, il était curieux de voir comment la reine des vampires prendrait cette remarque. Nostra Damus n’était qu’un jeune fou qui ne demandait qu’une chose, partager son esprit si complexe et incompréhensible.
La folie est parfois marque de solitude. La Malkavian ne connaissait que trop ce sentiment, lui qui une fois qu’il a sombré dans la folie ne peu plus être compris. En cet instant où son esprit bascule dans les méandres du subconscient, ce moment de clarté où tout lui semble tellement logique. Nostra Damus fera un jour partager cette sensation, il fera cet honneur à quelqu’un, et cette personne, sombrera elle aussi dans une folie clairvoyante.
Pour le moment, l’euphorie berçait le maître dans son monde d’ivresse, un monde qu’il partageait avec Lady De Caminel, jeune dame aussi enivrante soit-elle.
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Lady De Caminel
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MessageSujet: Re: Lecture abusive, compulsive. [PV Lady]   Lecture abusive, compulsive. [PV Lady] Icon_minitimeLun 20 Oct - 14:08

Deux pauvres adolescents? C'est certainement le cas...deux pauvres petits êtres se cachant dans une réserve, à l'abri des regards inquisiteurs, tels deux enfants cherchant à rester dans le secret le plus intime. Soudain Nostalgique, Lady repensa à sa jeunesse où cet homme, dont elle ne savait ni le nom ni la provenance, lui aurait volée son innocence. Innocence pour une morte vivante? Est-ce possible? Mais cette petite fille qu'elle était avant sa défloraison n'était plus et, depuis bien longtemps, elle fut expédiée vers l'Antre des âmes perdues où errent sans relâche les fantômes des enveloppes charnelles encore existantes. Rien qu'en y pensant un mince sourire chenapan épousa ses lèvres et notre délicieuse eugénie, égrenant quelques notes musicales dans ses pensées et...ces notes coquines méritent bien une attention toute particulière, non? Ses lèvres courbées telle une clé de sol bichonnèrent avec une gourmandise bien piquante celles de son Amant dont elle s'était soumise au désir sexuel...Rien de plus facile que d'y succomber, surtout lorsque les deux êtres en question étaient emprunts d'un charme fatidique auquel peu de personnes peuvent résister. Deux créatures parfaites, croit-on, et s'abandonnant dans les bras de l'un, ou de l'autre. Cette sorte d'appétit féroce, ce penchant délirant à se fondre à son compagnon pour ne former plus qu'un dans des souffles éperdumment fièvreux. Pourquoi donc était-ce un mot interdit pour certains? Allez savoir...

"Nous sommes l'excellence même de l'exemple parfait! Ce serait presque pathétique..." Lui sussura-t-elle à la lobe de l'oreille avant d'y goûter dans un instant éphémère.

Et notre César s'empara de sa belle pour la retourner et, d'un mouvement taquin, lui ôta ses vêtements, ne laissant que ses sous-vêtements dentellées, cachant ses parties intimes qui ne tarderaient sûrement pas à être exhibées aux yeux de cette délicieuse canaille qu'est Nostra. Elle entendit le bruit sourd de la chemise du jeune homme s'abattre avec légèreté sur le sol glacial qu'elle ne pouvait sentir. Elle se soumit sans critiques aux amènes caresses que lui offrait si habilement son divin condisciple et, peu de temps après ce délire imminent, se retrouva en-dessous de ce dernier, le goût savoureux à la bouche à l'idée de goûter à la moindre parcelle de son corps. Il ne lui restait à présent plus qu'un joli vout de tissu noir sur la fleur encore inaccessible au Damoiseau qu'elle contemplait avidement de son regard nacré. Elle ne cacha pas son amusement face à aux paroles de Nostra défiant les Chroniques de la vie, pauvre fou de Malkavian qu'il était mais la folie n'était-elle pas le début d'une aventure aussi incessante qu'appétissante et promaclant une jouissance parfaite chez sa victime? Lady entoura les hanches du Coquin pour l'attirer encore plus vers son corps pratiquement dénudée, laissant sa poitrine se coller à sa musculature, jalousant les pauvres Dieux incomparables à ce Nostre Damus, et, le visage n'étant qu'à quelques centimètre de son voisin, elle railla de sa voix fluette et rauque;

"Malkavian...tu n'es qu'un pauvre fou qui va se faire piégé, tel un insecte, par mes toiles endiablées...Prépares- toi, mon Beau révolutionnaire, à succomber..."

Non il n'était pas le seuk maître à bord de ce navire avec l'esprit dominateur de notre délicieuse zondelle qui glissa coquettement ses mains vers le pantalon de son acolyte avant de l'ôter de ce vilain tissu offusquand. Et les voici enfin à niveau égal, vêtu d'un simple sous vêtement léger...Ce qui amusa fort bien la Vampire qui offrit un sourire gourmand à son congénère avant de chasser ces derniers vêtements à lui, et à elle, avant de les expédier au sol, auprès des restes. Nus comme deux nouveaux nés, Lady alloua un langoureux baiser à son Amant, frôlant de son genou la gourmandise cachée entre les jambes de sa proie...et louant ainsi le départ d'une nuit mouvementée...
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MessageSujet: Re: Lecture abusive, compulsive. [PV Lady]   Lecture abusive, compulsive. [PV Lady] Icon_minitimeLun 20 Oct - 22:18

[Donzelle et pas zondelle. ^^ désolé ça m'a fait rire sur le coup. ^^]

Ce pauvre révolutionnaire n’était pas capable de tenir une seconde face aux fourberies du pouvoir. Nostra Damus se laissa faire sans mal et sans complexe. Il faut être deux pour jouer au sexe, et il ne pourrait pas mener la barque indéfiniment. En si peu de temps elle l’avait mis à nue, c’était d’un banale…
Le vampire se trouvait maintenant à armes égales avec sa congénère, à peu de chose près qu’elle pouvait l’éradiquer si elle voulait. Elle lui avait clairement fait comprendre qu’il était SA proie, bientôt il se trouverait sans doute dans l’incapacité de tenir tête à la belle, ses charmes auraient joué.
Elle manda sa présence par un baiser langoureux, laissant s’entremêler leur langue, geste de plaisir anodin mais non négligeable. Le but de cette soirée n’était pas tant de s’amuser que de rendre sa maîtresse addicte à notre Malkavian.

Nostra Damus ne s’éternisa pas bien longtemps sur les lèvres pulpeuses de miss Lady. Rapidement il descendit d’un cran, venant alors caresser le cou si apetissant de la donzelle du moment. Les mains du vampire étaient toujours en place, sur le sofa dans l’unique but de ne pas incommoder la belle de sa masse. Le cou de la belle était alléchant, jouant de ses lèvres, de sa langue, mais aussi de ses dents. Les canines du vampire ne voulaient qu’une chose, perforer cette peau trop vierge à son goût ; lentement il entre-ouvrit sa bouche, laissant timidement ses canines frotter contre le velours qu’il avait sous lui.
S’éterniser en ce lieu aurait sans doute été malvenu, il était temps de mouvoir les lèvres de Nostra Damus. Le corps de la belle appelait le vampire d’une façon avide, il saurait contenter les passions ardentes de miss Lady.
Avec douceur il descendit le long de sa clavicule, pour lentement arriver sur son sein, sa poitrine chaleureuse et tellement captivante pour un homme. Il posa un baiser timide sur le téton de sa reine, il caressait avec pudeur les atouts du pouvoir. Doucement il mordillait la pointe rougeâtre de la belle, alors qu’une de ses mains étaient venu préparer la reine par anticipation, caressant doucement le sexe de la mignonette. Fin gourmet, Nostra Damus aimait la douceur de peau de Lady, lentement il se retira de cette poitrine ferme et délicate.
Le jeune fou posa alors un premier baiser sur l’abdomen de la reine, descendant un peu plus à chaque souffle, il passa sur son nombril où il déposa un baiser plus long qu’à l’accoutumée. Puis vint l’orifice de plaisance, le gouffre aux plaisirs. La main alors délicate du vampire se retira lentement, laissant le plaisir à chaud. Miss Lady n’aurait pas le temps de souffler, Nostra Damus entreprit un baiser tendre, histoire de familiariser le contact. C’était une nouvelle paire de lèvres qu’il allait côtoyer, tout aussi intéressante que les précédentes.
D’une façon douce et prévenante, le vampire posa un premier coup de langue, plutôt timide, en aucun cas il ne devait froisser sa reine. La deuxième vague fut plus intense et poussée que la première, le rôle de ce vampire était avant tout de combler sa partenaire, doucement il jouait avec le clitoris de son amante. La passion était pour le moins déchainée ce soir là, elle ne faisait que commencer…

Quelques minutes plus tard, sans doute trop courtes, il remonta vers la belle Lady De Caminel, posant un baiser tendre au creux de ses lèvres. Le jeune Malkavian prenait plaisir à faire plaisir, la folie se transformait alors en sixième sens, donnant lieu à des poussés d’ivresses, et à la naissance d’idées bien jubilatoire… En posant un ultime baiser dans le cou de la belle, il vint lui susurrer à l’oreille de sa voix suave :


« Pour le moment le pouvoir est mis à mal. Fais attention à ce que je ne devienne pas l’araignée. »

Le vampire mordit alors sa main afin de faire couler le sang. D’un geste lent et tendre il l’un des seins de Lady, pour aller rejoindre l’autre, laissant une trainée pourpre. Il fit de même dans la verticalité, partant du coup de la belle, pour ne s’arrêter qu’au niveau de son sexe.
Il venait de dessiner sur sa reine une croix, ce n’était pas un geste de blasphème. Il faisait un honneur à sa reine, rare étaient ceux qui avaient le privilège de se faire designer comme le crucifix où Nostra Damus mourra un jour. Tout ces privilégiés auront l’honneur d’être là, et peut être même de participer aux festivités.
Le vampire regardait son œuvre avec faim, si miss Lady ne le croquait pas maintenant, c’est elle qui allait se faire manger par le maître fou.
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Lady De Caminel
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MessageSujet: Re: Lecture abusive, compulsive. [PV Lady]   Lecture abusive, compulsive. [PV Lady] Icon_minitimeSam 15 Nov - 16:41


    Commençait-elle à devenir accro ? Accro à quoi ? Au sexe ? Ah ah cette étape était déjà franchie depuis belle lurette. Non, notre gazelle devenait accro à une chose bien plus intéressante. Chose ? Je dirai même, quelqu’un ! Et ce quelqu’un, sans la moindre surprise, était ce fou de Malkavian, Nostra Damus. Un don Juan bien dément en son genre qui faisait fondre notre maîtresse, dirons-nous envoûtée par cet enjôleur, ce polisson profiteur. Presque aussi gourmand que notre jolie concubine, il s’ôta de ses mièvres lèvres pour s’attarder minutieusement sur son cou parfaitement formé par les âges. Des frissons s’emparèrent avec diligence et Lady soupira, en pleine extase, et passa délicatement sa main à travers la chevelure brunâtre de son diable pour la caresser, sentant la douceur de ses cheveux s’imprimer le long de ses sveltes doigts habiles. Ce furent ensuite deux petites pointes qui titillèrent agréablement la porcelaine de son cou…Quel geste banal de la part d’un vampire mais cela ne pouvait empêcher un certain hédonisme l’embraser à vive allure. Ce qui n’était pas difficile avec un asticoteur pareil. Ses petits pieds s’agitèrent silencieusement, doucement sur le sofa…Elle était littéralement captivée par son Don Juan et ne pouvait s’empêcher de le contempler de ses yeux affamés et, sachez qu’elle n’hésiterait pas une minute à se jeter sur lui pour dévorer délicieusement chaque parcelle de son corps sous l’effet de la gourmandise. Et elle ne doutait pas que ça devait sûrement être réciproque mais voilà…notre milady jouait au chat à et la souris dans la modération pour pouvoir vider toute son envie plus tard, après tout…ils avaient tout leur temps, n’est-ce pas ?

    Mais le Nostra le Croquant passa à l’étape supérieure en glissant ses lèvres sur l’atout principal des femmes, une jolie poitrine ni trop opulente, ni trop restreinte. Il s’y attaqua avec courtoisie, lutinant ses petits bouts rougeâtres et sensibles, ayant pour conséquence une montée d’hormone chez notre vampiresse qui humecta l’air avec régal et chez laquelle on pouvait voir une petite lueur jouette à travers ses deux prunelles d’or qui consumèrent l’ivresse de nos deux pauvres créatures soumises au jugement dernier. Sa longue chevelure d’or se perdit sur le sofa dur mais confortable tandis que ses mains qui, il y a peu s’épousèrent au cuir du sofa, trouvèrent refuge, à nouveau, dans la chevelure soyeuse du jeune homme, frôlant par la même occasion sa douce peau qui recouvrait son fascinant visage. Alors qu’il s’amusait puérilement avec sa poitrine, l’une de ses mains prévenantes vain embrasser son intimité avec euphorie, le sang se mit à bouillonner à travers ses veines prêtent à exploser sur cette lancée à peine commencée. Elle se rendit compte qu’elle était devenue la proie et Nostra l’araignée mais cela ne saurait tarder à changer, la damnée étant assez têtue en son genre. Son bourreau descendit ensuite en une suite de baisers embrasés mais tendres le long de son cœur, descendant dangereusement vers le lieu de vice et de luxe pour enfin, convoler subtilement sa fleur pour la chiner avec sa langue contre ses lèvres pour s’attarder ensuite sur son clitoris. La donzelle ne put retenir un petit gémissement coquin avant de légèrement se cambrer et, étant prête à subir maintes des ces tortures voluptées, elle écarta un peu plus les jambes pour laisser plus facilement son bourreau s’occuper avidement de son précieux. Submergée par la passion, la folie et l’envie, Lady titilla les plis du sofa de sa main droite avant que ce cher Damus ne se sépare tristement de son intimé pour remonter déposer un baiser sur ses lèvres premières, elle y répondit et le prolongea même, toujours aussi accro à ces lèvres suaves qu’étaient celles du bellâtre.

    « Mhhhh fais attention, malkavian, de ne pas succomber à tes folies gourmandes… quoique c’est peut-être déjà trop tard…»

    Sitôt dit, elle ne tarda pas à être l’œuvre d’un crucifix ensanglanté…Devait-elle le prendre avec Honneur ou impiété ? Venant de Nostra, elle opterait plutôt pour la première solution. Le regard tentateur, elle eut un sourire des plus coquins et sans tarder, sussura doucement;"Eh bien vas-y...croques moi "D'une douce et perverse, allongée dans une posture qui la laissait à la mercie de son prédateur. Et avant qu'il ne puisse répondre quoique ce soit, elle le frôla de son pied et ajouta ;

    "Mais honneur aux Dames..."

    Notre princesse des ténèbres frôla le bas de son cou pour laisser une goutte de sang perler le long de son doigt qu’elle porta immédiatement à ses lèvres pour goûter à cette substance salée qui la poussa aussitôt dans un élan de folie…Ses mains agrippèrent le cou du vampire pour l’amener tout contre elle et, sans plus attendre, de sa langue gourmande, elle lécha ce cou indécent…l’odeur étant enivrante, elle planta ses deux jolies canines à travers la peau de Nostra, laissant un filet de sang s’échapper des jolies perforations qu’elle venait de produire avant de goûter à cette substance qui s’écoulait le long de sa clavicule….Son regard devint pourpre par cette névrose qui s’emparait d’elle, elle chez qui l’appétit croissait de seconde en seconde. Lady frôla de ses ongles le torse sur jeune homme avant de laisser de jolies petites griffes discrètes…mais elle n’était pas encore rassasiée, encore loin de là…son désir l’emportait sur la raison et il n’était pas difficile à en comprendre la raison. Ses deux billes d’acier brillèrent sous la démence et notre belle muse laissa son corps enlacer celui de son vassal…Celà faisait bien longtemps qu'elle n'avait éveillé un tel appétit, dans tous les sens du terme...Il n'y avait pas de doute, Nostra était un bourreau inné.

    "Hummm succomber à la tentation est si alléchant..."




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MessageSujet: Re: Lecture abusive, compulsive. [PV Lady]   Lecture abusive, compulsive. [PV Lady] Icon_minitimeJeu 27 Nov - 17:16

La folie, qui passe aisément pour une névrose, a ses avantages. La folie attenue beaucoup de choses, la société aime mettre sur le dos de ce mot une quantité de maux. La folie adouci les crimes, ainsi le pire des meurtriers passe simplement pour un malade mental, on en vient même à oublier ses victimes ! Pour dire à quel point ce mot est puissant.
Plus qu’un mot une réelle sensation que peu parviennent à ressentir. La folie procure une sensation de plénitude constante, désinhibiteur sans égal la folie accentue toutes les émotions ressenties. Il n’est pas rare de voir un homme euphorique, ou au contraire dans une profonde tristesse. Ces ascenseurs émotionnels ne sont perceptibles que par les plus atteints par la maladie. Pourtant, il est amusant de noter que l’on attribue la folie à une véritable maladie. Nul ne peut être fou par choix, on le devient obligatoirement.
Platon, philosophe reconnu avait une thèse tout à fait différente. Selon lui, l’enfant née avec un savoir inné. En d’autre terme, lors de sa naissance, l’enfant sait déjà « tout ». Vous me demanderez alors comment se fait il qu’ils ne soient pas au même point que les adultes ? Platon expliqua la chose de la manière suivante. L’enfant est un être qui dès sa naissance est frappé d’amnésie, de tel sorte qu’il oublie tout ce qu’il sait. Donc l’apprentissage de l’enfant revient simplement à lui faire recouvrer sa mémoire.
L’hypothèse d’une folie maladie prend un sérieux coup. Tout ce qui touche le cerveau touche la mémoire, donc on ne devient pas fou, on nait fou ou pas. Les fous étaient destinés à le devenir.

Evidemment, Nostra Damus n’échappe pas à cette règle. Selon Platon il serait née fou. Preuve que la folie est bien plus qu’une attitude, ou même une idée controversée, c’est l’affaire d’une vie. La folie est comme tout, elle s’apprend, on ne devient pas bon fou du jour au lendemain, il faut en avoir les capacités. Indéniablement ce maître Malkavian présentait ses prédispositions à la folie, et comme tous les fous, il ressentait toutes ses émotions au centuple.
Il venait de la baptiser tel une toile vierge, et sitôt fait elle avisa. La galanterie est affaire d’homme, elle avait tout à fait raison : honneur aux dames. Elle vint enlacer son disciple de son corps et posa son visage au creux du cou du Malkavian. La suite était une succession d’évènements logiques, elle l’embrassa, puis le croqua. Nostra Damus succombait littéralement aux crocs de miss Lady, un petit quelque chose qu’on ne trouvait pas ailleurs.
Nul femme ne l’avait mordu de la sorte, pourtant ce soir là il se laissa faire et poussa un soupir de contentement. Une impression de déjà vu, il ferma la vie et en une fraction de seconde il revit une scène de sa vie…

Attention ! Vous entrez dans une parcelle de la vie de Nostra Damus, ne vous effrayez pas pour si peu.

Ce fut aussi un soir, lors d’une soirée mondaine. Une de ces nuits où les bourges dansent de façon élégante. Déjà à cette époque ce cher Nostra était séducteur, pourtant ce soir là une femme l’entraîna, pas forcément pour son charme. A la différence de Lady elle était très brune, une femme comme pas deux. Elle avait un charme qu’il n’expliquait pas, maintenant il savait, il use des mêmes atouts…
Il la grimpa dans sa chambre et eux aussi vinrent à s’entrelacer, elle posa doucement sa tête au creux de son coups et le croqua tout autant… Ce soir là, Nostra Damus était devenu le premier de sa famille à se trouver contaminé par le virus des enfants de Caïn, une bénédiction en soi.

Attention ! Retour à la scène initiale.

Ce très bref entrevue pour vous faire comprendre notre vampire. Plus qu’une immense sensation de plaisir, il venait de trouver là une réelle sensation de bonheur intense. Il l’enlaça de ses bras de mâle et la laissa le boire, elle pourrait le finir si elle voulait ; elle venait de trouver la « faiblesse » de ce vampire.
Elle s’arrêta de la boire, à son grand désarroi, elle vint devant lui et clama quelques mots simples. Elle parlait pour sa part de tentation, lui parlait de nostalgie. En l’espace d’un instant, il venait d’éprouver une fois de plus la sensation qui l’avait rendu fils de Caïn. Les circonstances étaient les mêmes : deux personnes incapables de se tenir, elle était elle aussi vampire. Nostra Damus aurait pu tenter de se débattre, éprouver une nouvelle fois cette sensation de soumission, cette paralysie incontrôlable n’était pas dans le rôle d’un homme. Malgré cela il se laissa faire, Lady dégageait quelque chose de spécial, un certain flegme, une attitude qui la différencie des autres.
En très peu de temps elle avait repris et son rôle de reine, et celui de femme d’honneur dans le cœur du bellâtre. Peu d’entre elles parvenaient à avoir cette considération, au delà de la femme objet elle avait gagné le statu de personne. Vision très machiste de la chose dira-t-on, ne le réfutons pas.
Il était maintenant temps d’exécuter le pouvoir, Nostra Damus était le bourreau de Lady De Caminel. Il prit alors les bras de la belle et les lui releva au dessus de sa tête. Sourire bestiale aux lèvres, il clama à sa reine :


« Preuve d’addiction, j’ai gagné. »

En effet elle avait bu le sang en premier, elle n’avait su se tenir. Dès lors Lady était devenue assoiffée par le cou de son vampire, et maintenant Nostra pouvait faire son office. Lentement il laissa son corps s’appuyer sur celui de Lady, sa masse d’homme venait plaquer la reine au sofa. Cette sensation n’était pas désagréable, elle pouvait ainsi sentir véritablement ce vampire sur elle. Doucement il lâcha les bras de Lady et revint les poser sur le sofa, sa main droite dégagea les mèches blondes de la reine, et sans crier gare il posa un premier baiser. Et très lentement, il perfora la peau de Lady, comme s’il s’agissait d’une pénétration amoureuse. Il bu quelques gorgés de son sang.
Le corps de Nostra était totalement plaqué à celui de Lady, toutefois il n’avait voulu passer à l’acte définitif. Le sexe du Malkavian était toujours en attente, et ne demandait qu’à rejoindre les lèvres de Lady. Le maître laissait à sa reine encore une chance de prendre le dessus, le pouvoir pouvait s’il le voulait dominer la rébellion.
Doucement le fou retira ses canines du cou de la miss, un sourire ironique sur son visage il vint poser un baiser tendre à Lady et dit d’une voie amusée :


« Preuve d’addiction, j’ai perdu… »

Nuit des impies, Nostra Damus jouait un jeu. Miss Lady l’avait peu être bien conquis, cet impie là…
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MessageSujet: Re: Lecture abusive, compulsive. [PV Lady]   Lecture abusive, compulsive. [PV Lady] Icon_minitime

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