Le ciel, le soleil et....une migraine!

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Les marins avait coutume de profiter des escales pour se détendre. C'est ce que l'équipage du Survivant faisait du temps du Capitaine. Les fières corsaires de l'équipe, tous plus fière les que les autres, profitaient des altes pour prendre une pause. Ces marins d'expériences reposaient leurs coprs et leurs armes avant de repartir piller des bateaux ennemis de l'État. C'était le temps du capitaine corsaire Mirrond, gentlemen qui avait juré allégeance au monrque de Cassilmenam, à qui donnait une partie de ses pillages en échanges en échange de sa protection judiciaire.Mais ça, c'était avant que l'équipage décide de prendre sa retraite. Le capitaine Mirrond, qui avait une réputation à maintenir, et surtout une bourse à remplir, avait décidé d'engager d'autres membres. Le Survivant avait beau avoir une belle réputation, personne ne répondit à l'appel. Le capitaine et ses quelques membres d'équipages rentant virent bien cela. Ils durent dimuner leur critères de sélection et finire par engager n'importe qui.

Les pillages se firent de moins en mois nombreux et Mirrond attrapa la grande vérole. Le dernier contrat fut pour un stratège mercenaire de renom qui avait été engagé pour se débarrasser de la criminalité débordante autour de la ville. Dorian Le Prince des Chieurs, tel il aimait se faire appeller, avait résolu le problème de brigands en tuant les chefs de gangs important et affichant leur tête décapité sur la place publique. Sa tactique de peur avait marché, sauf pour les pirates qui continuaient à se moquer des autorités de la ville sur leur navires. Dorian avait eu l'idée de tuer Gris Poils, le principal Seigneur Pirate du coin. Pour ce faire, il avait eu besoin de l'aide de Mirrond.

La bataille avait été farouche mais, grâce au génie militaire du mercenaire, le Survivant avait remporté contre la Nef Noir, bâteau du terrible pirate. La tête de Gris-Poils étaient maintenant fichue sur un pic sur la place publique de la ville et plus aucun pirates ne faisaient trop parlé d'eux . Sauf, il y avait un problème. Mirrond, blessé en combat et déjà très malade, mourut dans son lit et ce sans désigner un . Les cinqs membres restant de l’équipage choisirent de consulter le groupe pour un nouveau capitaine. Un nom ressortir : Dorian. Le mercenaire, bien que surpris accepta. Dorian avait accepté, qu’il puisse changer le Navire et son but à son loisir. Il changea donc Le Survivant en bateau de mercenaire et de transport. Le bateau prendrait ce qui nécessiterait un bateaux et des armés. Dorian pensait avoir à des professionnels, des hommes bien entrainés. Sauf, il le vit bien vite, les cinq membres de l’ancien équipage était les seuls qualifier, les autres étaient néophyte pour ne pas dire minable.

Dorian voulait remédier en faisant de ces hommes de vrai marins. Ses derniers grand fait de mercenaire avait été la construction d’armé et le de milice. En temps records, il avait pu faire de simple citoyen des hommes de guerre discipliné et compétent. Et il avait juste levé des grands armés capables d’envahir le royaume visé. Dorian pensait donc que ce serait chose facile de formé une bande de marin d’eau douce en combattant des mers aguerris et disciplinés. Ils savaient qu’un bon équipage devrait avant tout coordonné comme une boussole. La maitrise des techniques de manœuvre arrivait après.

Dès le début, Dorian voyait bien que c’était l’esprit festif qui régnait. Aucun de prenait au sérieux les exercices qu’il demandait, comme courir le tour de l’île vont fois, monté au arbres pour prendre des rubans et les après les accrocher à d’autres. Aussi lors des entrainements de combats et de natation, ils étaient tous ou moins oisif.La plupart à tendance à barboter à marée basse et se prélasser sur le plage plutôt que suivre les consignes

Le seul à ne pas jouir du soleil et de la plage était Dorian qui en avait ras la casquette, ou le tricorne dans son cas, d’avoir à une bande de plouc. Il finit par ordonner une pause bien mérité. P’tit Père, le cuisiner du navire et second du capitaine, vint lui porté sa tisane à la camomille habituel avec quelques once de cognac.

"Des fois que j'ai bien fait de devenir capitaine et plupart du temps me dis j ’aurais du refuser de devenir nourrice de cette bande de gamin entre 11 et 50 ans."

-Aller, Capitaine, profitez de la vue, il y a le ciel, le soleil et ……

La dite Singe, le membre le plus jeune groupe, arrivait en courant.

-Hey, captaine, y a encore une femme poisson y l’gars y sont tousss ‘tour d’elle comme dé mouches ‘tour d’un quartier d’lard pus bon

Dorian déchiffra le langage incompréhensible de la gamine et alla voir, en ruminant son mécontentement à très haut.

"Non mais, putain, elles sont ces foutues sirènes commencent à me courir sur le système. Merde, y nettoie le pont avec de la pisse d’homme sirène ou quoi?"

Il arriva au lieu du rassemblement. Tout ce qu’il veut,c’est une femme à la beauté enchanteresse et sombre certes, mais rien d’hybride entre une femme et un poission. Elle avait des longues jambes et donc entreraient pas dans sa définiton de sirène.

" Tu n’aurais pas un problème, Guenon, toi ce que je vois c’est une fille paumé entouré d’une bande de bras cassé et d’une petite qui devrait prendre questionnement. Le look fille qui veut prouver qu'elle peut un homme , ça va, mais y faut pas du bon goût, pas avoir un pantalon plus grand que toi et qui t'empèche de courir sans te casser la gueule.."

Sur cette remarque acerbe pointé d'humour, l'ex mercenaire de terre devenu mercenaire des mers demanda à la dame.

"Quelle est le plaisir de vous voire parmis mon humble équipage, très chère?"

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Depuis deux jours consécutifs, Shinju-Kurai cherchait parmi les étendues de sable L’île de la demie-lune. Vaguement, un vieillard raconteur de fables lui avait indiqué qu’une île appelée L’île de la demie-lune se trouvait à proximité de L’île de la pleine lune. Son histoire fabuleuse racontait qu’on y trouvait des trésors d’une valeur inestimable ainsi qu’un énorme butin enfouie dans une chaîne de montagnes rocailleuses. Autant cette légende paraissait invraisemblable que la jeune femme croyait qu’elle existait véritablement. Durant son enfance, son défunt frère lui répétait sans cesse que le peuple des humains la considérait comme une créature imaginaire. Lorsqu’elle quitta ses semblables pour errer sur Cassilmena, elle se rappela ce que ce dernier lui disait autrefois. Il fallait pas juger ce que les humains s’amusaient à dire dans leur simples récits car on y les parcelle de vérité démasquaient toujours la version fausse. Pour en avoir le coeur net, elle irait démystifier cette fable jusqu’à l’endroit même. Au cours de son voyage à la nage, la sirène rencontra une bande de requins marteaux qui lui proposèrent de la conduire directement vers l’endroit conjoint où elle désirait aller. N’ayant rie à perde, elle accepta volontiers leur aide. Après tout, s’accrocher au dos du prédateur lui permettrait de prendre une courte pause en les deux trajets.

*Ça me manquais...* pensa t-elle en regardant l’océan et les petites bulles d’air qui s’échappaient des voix respiratoires de l’animale.

Une fois arrivée près de L’île de la pleine lune, elle remercia ceux qui l’accompagnaient. Le vieux paysan ne se trompait pas dans ses instructions. Au loin, on désignait bien une plage suivie d’une zone végétale puis de falaises. De temps en temps, elle sortait la tête hors de l’eau pour voir combien de kilomètres il lui restait à parcourir. Une heure plus tard, Shinju-Kurai découvrit à sa grande surprise qu’un bateau assez imposant explorait déjà les lieux. Les marins à qui appartenait probablement le navire s’amusaient librement dans le sable. Certains préféraient se reposer en paix et d’autres s’étendaient sur le bord de la marée. Plutôt que chercher des merveilles, la sirène vint à leur rencontre. Mais où était donc le capitaine? Aucune importance.
Lorsque les hommes la virent arriver, ils furent presque stupéfiés de voir une femme poisson. Sa beauté n’arrangea pas les choses, leur fascination continuait d’empirer. Sa longue chevelure bleue ondulée retombait en cascade sur les écailles multicolores qui longeaient le haut de son corps. La femme légendaire aux yeux d’un bleu turquoise se lassa vite des regards posés sur ses nageoires et sa queue. Ensuite elle fut abordée par un homme qui ressemblait drôlement à un capitaine qui se posait des questions.

"Quelle est le plaisir de vous voire parmis mon humble équipage, très chère?"

‘’Le plaisir que vos hommes prennent à me voir parmi eux. Et bien non. Plus sérieusement, je comptait explorer les lieux mais je constate finalement qu’il s’agit d’un île comme les autres. ’’

Invité

Dorian se mit à rire aux éclats. Encore un touriste qui s'était fait avoir par un vieux du village. Putain, ça c'était les meilleurs blagues qu'il voyait, des vieux types qui racontait des salades à n'importe étranger insouciant. Et Dorian en avait déjà été, lors de sa prime jeunesse de mercenaire. Juste après avoir fait son premier contrat, il avait voulu visiter la région. Il avait été berné par une vielle qui disait qu'il avait une magnifique fée vivait dans une forêt et attendaient la visite des humains. L'esprit de puceau lubrique avait mené le jeune Dorian dans cette forêt et qu'avait-il eu? Des ampoules et des piqures de moustique. Il en riait encore.

" Ma chère, votre mère vous as jamais dit que les endroits paradisiaque comme ces îles sont remplis de piège à touriste. À ma connaissance aucune personne censée enterreraient sa fortune sur une île, qui sait qui pourrait les gens et ce que la nature pourait y faire. Moi, qui avant était un homme fortuné avant devenir le rez de marée, avait mit tout mon argent dans une banque surement géré par des nains, des goblins et des lutins. Là, c'est une bonne cachette. Le coffre, qui est maintenant quelque part sous les flots, doit encore mes lingot d'or."

La jeune femme n'était plus le concentre de l'attention. Il parlait d'or et cela captivaient les hommes. Ses dires suscitaient même l'attention des plus vieux. Dorian eu une idée, il avait trouvé la façon dont il pourrait transformer cette bande de nouille en vrai mercenaire. Mais pour l'instant il avait un invité de marque. Dorian n'avait vue une dame de son charme et son charisme que lorsque qu'il était sur les terres du Ying et du yang, une belle ange déchu du nom de Callisto lui tenu compagnie et presque réussi à percer sa défense de glace.. Mais celle-ci était différente. Il y avait pas cette aura de mort, juste cette présence sombre que Dorian aimaient tant que chez les femmes. Donc, il allait être un bon hôte et donner de l'attention à cette dame qui méritait d'être traité avec respect.

"Mais je ne suis même pas présenté. "

Il fit, pour le première fois devant de son équipages, il se présenta. Il fit une révérence moqueue en abaison son tricorne.

‘’ Dorian Démarâtos, Prince des chieurs de ce monde, Empereur des emmerdeurs, Roi de l'ironie, Duc de la Dérision, Seigneurs des Poètes de Quatres Sous, Mercenaire emmerdeurs, roi des bâtards ou métis de ce monde, incarnation divine des l'humour.Aussi connu sous le nom de Sale Con, Enflure, Petit Enculé, Toi Viens là, le démi-démon, le démi-ange, le démi on sait pas,Fils de pute,fils de chienne, le type avec les cheveux gris, L'homme-oiseau, Ce type=là, mon gars et finalement le plus important de tous:Hé"C'était qu'on se relevait. " Et capitaine du Survivant et ses bras-cassé. »

Il eu droit à une pluie d’applaudissement. Étais-ce pour le flatter ou par amour? Surement pour le flatter afin qu’il révèle l’emplacement de ses lingots d’or. Sauf la réalité était que Dorian n’avait aucune idée où ils se trouvaient. Il savait que c’était sur le continent englouti des terres du ying and du yang mais pas exactement. Mais bon, mieux le garder et les faires poiroter avec une promesse de révélations. Des révélations vrai, mais pas ce qu’ils passaient

Dante fit installer une petit table sur la table pour leur invitée pendant qu’ils reprennent leurs exercice. La soif de l’or était plus fort que tout. Les hommes commençaient à avoir de l’entrain. Peut-être que Dorian feraient quelque chose avec ces bras cassé tout compte fait. Dorian laissa les hommes répéter les exercices pendant qu’il prenait le thé avec la dame. Le thé était la seule boisson à part le cognac douteux, le rhum dégelasses et l’eau poisseuse

"Alors, d’où venez fous, très chère et pourquoi mes hommes croient que vous êtes une sirène. Et si oui, que faites-vous loin de vos profondeurs? Ne devraient pas danser et chanter avec vos sœurs, comme les légendes et les sirènes que j’ai vu à dates."

Invité

L’illustre homme se tenant droit se lassa de son air sérieux lorsqu’il compris la présence de son insouciante invitée. La conclusion qu’il tira de la réponse inattendue enclencha un fort ricanement suivi d’une inévitable réponse de pure moquerie. Préférant garder son sang-froid, Shinju-Kurai ne se laissa pas du moindre importuner par le commentaire abject. Au contraire, elle examina la façon donc s’y prenait le commandant doté d’un charisme manipulateur pour que les membres de son fidèle équipage lui obéissent.

‘’Est-ce une façon de les amadouer ou vous prétendez vraiment avoir un trésor? Je ne suis pas assez dupe pour m’y laisser prendre deux fois! Tout le monde a le droit à l’erreur.’’

Trop occupés aux paroles de richesse qui les catapultaient tous dans leurs propres mondes de rêveries, aucun d’eux ne s’attarda à sa question. À l’exception du capitaine qui bien entendu possédait un grand pouvoir de soumission sur ces hommes. Ce dernier finit par se présenter en baissant son chapeau à trois pointes. Sa longue présentation absorbée d’humour charma un peu la demoiselle qui se présenta à son tour. Heureusement, la femme poisson réussi retenir le premier nom de cet assemblage de surnoms soit Dorian Démarâtos.

‘’Enchantée de faire vôtre connaissance messieurs. Je m’appelle Shinju-Kurai Tsumetai, originaire des sirènes.’’

Dorian assura son rôle de supérieur en ordonnant à ses matelots de continuer tandis qu’il se dirigea vers sa cabine privilégiée. Une fois la porte franchie, il proposa à la sirène une tasse de thé et s’assieds en sa compagnie pour discuter. Il aurait très bien pu comme les hommes vicieux lui offrir de l’alcool pour la rendre complètement saoule et l’emporter dans son lit. Apparemment, Mr. Démarâtos conservait une opinion basée sur des stéréotypes envers la race de la jeune femme.

"Alors, d’où venez fous, très chère et pourquoi mes hommes croient que vous êtes une sirène. Et si oui, que faites-vous loin de vos profondeurs? Ne devraient pas danser et chanter avec vos sœurs, comme les légendes et les sirènes que j’ai vu à dates."

‘’Hahan! Pourquoi vos hommes croient que je suis une sirène?! La réponse est pourtant bien simple! Il est vrai qu’à l’extérieur de mon océan je ressemble beaucoup moins à mes semblables car ma queue ainsi que mes nageoires se métamorphose au contact de l’eau et vice-versa mais je suis bel et bien une sirène. Depuis quand les sirènes ont l’obligation de rester en groupe? Anciennement, je défendais fièrement mon peuple mais depuis la mort de mon défunt frère... Avant d’arriver ici j’ai fait connaissance avec un autre réprouvé il n’y a pas longtemps. Beaucoup plus jeune par conte.’’

Tsumetai raconta brièvement comment son frère fut tué par un monstre marin autrement appelé typique, puis elle expliqua son arrivée à Cassilmena, sur une autre île où elle tenterait d’en découvrir davantage. Elle se remémora quelques passages de cette inoubliable matinée avec Kaleo qui lui en avait fait voir de toutes les couleurs et profita du bon temps en présence du capitaine.

‘’Alors parlez-moi un peu de vous Dorian Démarâtos. Je crois avoir assez parlé. Qu’est ce qui vous amène par ici?’’

Invité

"Je ne mens jamais très chère.Je suis arrivé dans l'ancien royaume avec ma fortune en carcaisson en lingôt d'or. Demandez à mes tous mes ancients contrat,ils vous diront, la facutre est tellememnt salé qu'ils souviendront pendant longtemps. Surtout l'empire Tamurid, ils sont dû faire fondre deux statue de lion en or de leur palais pour me payer. Mais bon, c'est ça qui arrive quand tu veux conquérir le territoires d'orc des sables quand tu as pas une armée assez puissant pour."

Les marins n'arrêtaient d'être à la vue du moindre enseignement. Elle appella par son nom, qu'elle ne prononcea très mal. Maiso bon, nul lui était la faute, il fallait parlé cryossien pour bien prononcez son nom. Comme par exemple Dé se pronnoçaient Dré le ratos devait se dire Râ-Toss.Mais c'était chose que ceux qui parlait cryossien.Il l'écouta parlé de don frère, un bien triste histoire.

"D'après la description que vous faites de votre race, elle ressemblaient àce qu'on dit sur les néo-atlantes. Des érudits chez moi affirmaient qu'Atlandide avaient coulés et que Posseidon les avaient transformés en homme puissant, ils affirmaient qu'il avaient repris leur civilization et qu'il avaient leur emprise sur tous les mers, voulaient pourquoi certain bateaux ne revenaient pas, étant vu comme agression.Je rajoute à cette théorie que le chant des sirèens en fait un dispostif plus puissant de technologie atalntes pour attirer les marins vers les troupes embusqués atlantes.Mais, je suis un stratège, pas un érudit qui traite sa femme comme un objet et la trompe avec des jeunes étudiants qui sont obligés. Sauf je pensaient que vous auriez plus proche du poisson qu,humaine, ce qui logiqueuemnt, vu que je vois pas l'utilité de sourcils sous l'eau.L'évolutin as oubleir ce fait.

Mais je suis supris que vous ressemblez à des orientaux alors que vous habitiez dans une région entouré d'occidentaux."

Elle lui demanda de parler de lui. Il parlait de son passé de façon libre, mais à chaque fois il revoyait la visage de sa mère, Skyos, le Maitre D'Armes et Isa. Mais il ne connait pas déplaire à son invité et donc il se retretra dans son passé douleureux.

"Moi, je viens d'une ville machiste, faciste, autoiritaire et militaires. Une ville païenne que les anges voulaienht en faire une ville fanatique militaire. Ils envoyèrent donc une ange chez un noble afin qu'elle l'épouse et enfante une demi-enfant. Mais l'enfant était aussi demi-démon, parceque l'ange avait cru au veine de promessse d'un beau démont hédoniste. L'enfant fut perçu, par ses ailes dorés, comme une malédtiocn des dieux qui punissaient la cité. L'enfant fut donc élèver dans la haine et le rejet, il dut aiguiser sa langue et son esprit pour survire dans l'école militaire quii l'arracah à sa mort à l'âge. Le mentor de sa mort lui donna éducation et amour, mais il lui arraché lors d'un incidienté.À l'âge de quinze, notre bâtard participa à un tournoi où des jeunes nobles s'entre tuaient avec des armes de basse qualité, sauf s'ils étaient fils de l'un des deux rois de la cité. Notre découvrit son pouvoir de résurection lors d'un combat contre l'enfant gatée chérie royal et tua le fils. Les anges, qui le surveillaient depuis sa naissance, intervirent. Ils punirents sont pèrre adoptif pour sa faute et,avant de partir, révèla au jeuen gamin la vérité sur ses origines.

Quand il su cela, le bâtard fuit aussi loin qu'il peut. Il ne fuit aps très loins. Il fut recueillit par un groupe politique secret qui voulaient prendre le pouvoir dans la cité. Il crût en leur promesse de leur justice et d'égalité du Diamant Noir puis devint leur pion. Il devint leur guerrière-stratège-assasin dévoué à cette cause.Lors d'une fête décadante données par les rois, le Diamant Noir, firent leur coup d'état qui réussit sauf que notre jeune réprouvé découvrit une vérité: On lui avait mentit, jamais son Seinguer voulant mettre la démocratie, il voualit juste de plus. De plus, le nouveau despote, tua la première contestaire, une amie dont il était amoureuz. Notre jeune réprouvé déchaina ses pouvoirs célestent sur le chef Diamant Noir et tout ceux qui voulurent arrêter son ire vengeresse et justicière.Les mercenaires, eux, avaient personne pour les payer et saccagèrent la cité. Résultat:Une cité détruire, une pouvoir et un jeune homme de 19 ans à qui ont ôter toutes illusions. Le Réprouvé partit et utiliser ses talents et dons pour gagner sa vie.Il rencontra les chértiens et ceux-ci le tratièrent d'enfant du pêché, mais il s'en foutait, les polythéiste avait déjà fait ce travail.La mort fit lui son hérault et cela attira la gpire et l'argent, mais rien ne pouvait combler son vide si cn'est que la sensation d'être envie. Il est devenue le mercenaire désabusé et maintnenat capitaine d'un équipage non expériementée que vous voyez aujoud'hui."

Dorian entendit un crak. C'était chose un des matelos qui avaient voulu grimper à une autre arbre sans utilisé ou bien un matelot avait oublier de bien tenir roche en courant avec un parteniare qui tenaient qui l'autre partit de la roche et l'avait sur le pied. Mais Dorian, il avait réveillé sa mélancoliue et elle avait très fins.

"Si vous voulez vous joindre vous serez bien venu, car avec ses bras cassées j'irais pas loin. Et une sirène ça peuit toujours utile, pourquoi pensex qu'il y a souvent sur la proue des bateaux. La paye est bonne, un pourcentage équitable sur tous les contrats, les conditions sont assez plaisantes, si on oubli que je suis un chieur et tous les membres sont des bras cassés. "

Ils allaient passé par une région inconnu et qu'on dit dangereuse, quelqu'un serait bonne pour éclairé la voie. Il se leva et finit son thé.

"La proposation sera actuel tant que pas trop de sirène seront à mon bord, ce qui veut dire toujours."

Il ressembla le groupe pour un cour de comba à main nue et appella Bovin. Le métamotphoe coicné dans sa forme hybride vint et servit d'exemple à Dorian. Même si Dorian riait et faisaient des blagues, la mélancolie le mangeait de l'intérieur.

Invité

Sous-estimant le double physique de la jeune femme se trouvant devant lui, le chef du Survivant raconta dans un résumé détaillé ses aventures jusqu’à ce qu’il explique comment il se retrouva sur ce bateau donc l’usage dépendrait de lui. Suite à une longue discussion, il proposa à la dame de rejoindre son équipage en promettant des conditions favorables tandis qu‘elle buvait les dernière gouttes d liquide se trouvent dans sa tasse de thé.

‘’Entendu, je rejoins votre équipage mais je dois vous prévenir que je ne fais pas ce genre de chose.’’ dit-elle en tournant la tête vers l’homme qui enlevait une grosse roche tombée sur son pied.

‘’Je crois que je pourrait vous être d’une utilité particulière. Je ne veux pas exagérer mais dans ces eaux, il y a beaucoup plus de chose que quelqu’un d’inexpérimenté peut le penser. Après tout qu’ai-je de mieux à faire que porter main forte à mon nouveau capitaine? Euh ...vos hommes nagent-ils toujours de cette façon?’’

Les marins de l’équipage continuaient de faire leurs exercices depuis environ une bonne demie heure. Quelques uns, fatigués d’effectuer la même chose trop longtemps, entamaient des courses à la nage. Le mot ‘’course'' se disait plutôt mal quand on les regardaient. Ils pataugeaient lentement en essayant le moins possible d’avaler l’eau saline. Shinju-Kurai cligna des cils en espérant se trouver au coeur d’une illusion. Combien de temps une longueur allait-elle durer à cette vitesse là? En flattant les vagues près de leurs corps, ils ressemblaient plus précisément à des chiens. En voulant blaguer les coureurs d’édition spéciale, la sirène plongea de la plage pour se mesurer à eux. Les premières gouttes qui atteignirent le bout de ses fins doigts transformèrent aussitôt le reste de son cors à la dérobée d’écailles et d’une queue de poisson se terminant par deux magnifiques nageoires. Plus tard, elle irait nager avec le capitaine mais pas maintenant. Se croyant supérieur à elle, ils poussèrent un ricanement et tentèrent de lui expliquer que personne n’était de taille, surtout pas une femme. Cette remarque désobligeante provoqua chez la dernière une réaction hors de contrôle qui les entraîna tout deux, de chaque côté d’elle par la main sous le niveau de la mer. En moins d’une minute, ces malin refirent surface à un mètre du rivage.

‘’Ça vous apprendra à sous-estimer quelqu’un de cette façon!’’

Ni un ni l’autre répliquèrent. Trempé de la tête aux pieds, les matelots se contentèrent de reprendre leur souffles en baissant honteusement la tête. Le commandant rassembla tout le monde et convoqua un de ses fidèles appelé Bovin pour faire un combat amical. Une aura sinistre se propageait tranquillement dans l’air. Shinju reconnaissait bien la composition mélancolique, l’ayant de nombreuses fois côtoyé.

***

À la tombée de la nuit, au moment où l’équipage allait se coucher, elle alla voir le capitaine. L’occasion parfaite pour trouver d’où provenait ce venin atmosphérique. Avec son pouvoir d’empathie que la sirène commençait depuis peu à maîtriser, elle se sentit aspirée dans un élan de tristesse. L’énergie dansait autour de Dorian.

‘’Pourquoi sourire quand l’on a juste envie de sombrer?’’ lui demanda t-elle.

Invité

Dorian avait passer le reste de la journé à enseigner à cette bande de nouille comment se battre à main nue. Si jamais un membre du Diamant Noir était là, il tuerait Dorian pour enseigneur l'art secret de combat des Diamants Noirs à la vague populace. Cette avait été perfectionné pendant des années avant de devenir. Le Maitre d'Armes y avait apporté son art du manier des ce grand art martial. Celui qui avait d’y être initié devait y être ravier. Mais c’est bande de bras-cassé ne voulait rien savoir de cette nouvel art. Comment Dorian allait-il mes motivés.

[i]Dorian avait décider de calmer mes mélancolie en cherchant quelques occupations. Sauf, personne ne voulait le renseigner plus sur commenter piloter un navire, il y a aucune source de plaisir de la chair ici, du room miteux, la nourriture avait rien de haute game, personne ne semblait vraiment prêter attention à ses blagues et ses pics. Son dernier choix : la musique. Il avait sorti sa et jouait quelques morceau en fumant sa pipe.Pti-père l'accompagnait de sa flûte. Il regarda la sirène et lui dit sans cesser de jouer sur sa lyre.

"Parceque ça vaut mieux que pleurer,ma chère."

Il commença à jouer.

" C'est la belle Françoise lon gai c'est la belle Françoise
Qui veut s'y marier maluron lurette
Qui veut s'y marier maluron maluré

Son amant va la voir l'on gai son amant va la voir
Bien tard après souper maluron lurette
Bien tard après souper maluron luré

Il la trouva seulette lon gai il la trouva seulette
Sur son lit à pleurer maluron lurette
Sur son lit à pleurer maluron luré

Ah qu'avez-vous donc la belle lon gai ah qu'avez-vous donc la belle
Qu' avez-vous à tant pleurer maluron malurette
Qu' avez-vous à tant pleurer maluron luré

On m'a dit hier soir lon gai on m'a dit hier soir lon gai
Qu'à la guerre vous alliez maluron malurette
Qu'à la guerre vous alliez maluron luré

Ceux qui vous l'ont dit belle lon gai ceux qui vous l'ont dit belle
Ont dit la vérité maluron malurette
Ont dit la vérité maluron maluré

Venez m'y reconduire lon gai venez m'y reconduire
Jusqu'au pied du rocher maluron malurette
Jusqu'au pied du rocher maluron maluré

Adieu belle Françoise lon gai adieu belle Françoise
Je vous épouserai maluron malurette
Je vous épouserai maluron maluré

Au retour de la guerre lon gai au retour de la guerre
Si j'y suis respecté maluron malurette
Si j'y suis respecté maluron maluré."

Il prit une boufée de sa pipe. Il cracha un cercle de fumée parfait. Il en cracha d'autres, tous plus petites les uns que l'autres et qui s'emboitèrent dans les un dans les autres. Dorian était particulment habile dans le crachage de ron de fumée. Sa pipe contenait une bonne herbe à pire qui poussait cette île.

"Cette pièce est vraiment mieux au piano. Ah si, justement mon manoir n'avais pas été submergé avant que puisse du piano dehors, je l'aurai eu avec moi."

-Ouais,peu-être bien.Moi je vais aller me coucher, cptain.Mon dos me fait mal."

"Ouais, vas-y,moi je vais rester jouer un peu."
Le vielle homme hocha ka tête et partit.

Invité

Avant de chanter une chanson accompagnée de son instrument et celui d’un de ses confrères, il répliqua une courte réponse. Celle-ci en disait suffisamment pour constater qu’il préférait probablement faire bonne figure auprès de tout le monde. Ayant tout le temps devant elle, la présence féminine s’écartait du groupe de marin, sans trop déranger, pour remettre en question les derniers évènements. La journée s’était déroulée si vite. Elle se voyait déjà au loin en compagnie des requins puis déchiffrer géographiquement la chaleur de matinée qui entourait L’île de la demie-lune comme si cela se produisait il y a à peine quelques minutes. Pourtant, une partie de la lune illuminaient depuis un certain moment le ciel noirci. Tout en fixant le plafond noir qui regorgeait d’étoiles et d’astres, Shinju-Kurai se demandait pendant combien de jour le navire ainsi que ses occupants donc elle faisait à présent partie étaient-ils restés avant sa rencontre. Habituellement les pirates ne restaient pas plus de quatre jours sur une île inconnue. Bon, cela dépendait également des circonstances et du lieu ou leur bateau avait été accosté. L’aventure qui l’avait emmené jusqu’ici n’était peut-être pas non plus arrivée pour rien. Son destin, seul le futur prochain le lui dévoilerait. Toujours à la recherche d’aventures et poussée par l’intrigue, cette dernière suivait son instinct qui lui indiquait que les heures qu’elle passait à flâner ne tarderaient point à rattraper l’étrange tranquillité. Cette sensation de calme ne resterait pas éternellement dans l’air calme. Un peu d’obstacles seraient de mise. Dans la vie pour avancer il fallait franchir soi-même les obstacles, et non attendre qu’ils viennent nous percuter. En attendant de retrouver son trésor perdu, que comptait faire le capitaine tandis qu’il avait un équipage à son service? Cependant, la sirène n’avait jamais auparavant connu la vie de marin plus connu sous le nom de pirate. L’habitude à la vie à bord d’un navire au lieu de dans les flots viendrait sûrement avec le temps. Le quotidien à pied terre avait pris un certain bout mais avec ses nombreux efforts, elle y était finalement parvenue.

La femme poisson portait une robe rouge semi déchirée descendant au haut d’une paires de bottes noire lacée lui allant au genou. Elle talonna le pas jusqu’à l’endroit où ses effets personnels demeuraient. Entre deux grosses pierres grisâtres, exactement à son point de départ sur l’île, Shinju récupéra sa cape noire de velours et son solide bâton diamanté de coquillages et roches aquatiques. Elle posa un regard sur son précieux médaillon puis quitta les lieux pour revenir voir les autres. La jeune femme s’appuya sur son bâton et pointa son regard bleuté sur l’horizon. Ensuite, elle s’exclama dans un long soupir.

*Mon chemin ne s’arrête pas ici. En ton honneur mon frère.*

Invité

Il le regardait. Elle si mystérieuse, si envoutante. Il comprenait pourquoi ses enfants ne la quittait pas de ses yeux. Elle était jolie ou séduisante, elle était magnifique. Elle était magnifique. Comme une sculture ou une oeuvre d'art. Belle comme l'océan. Le mot séduisant était même indigne. Séduisant avait rapport à la chair, elle, on aurait dit qu'elle venait du ciel. Un ange de la mère se dit-il. Comme sa mère, un ange venu du ciel trop bonne pour ce monde.

Une larme coula sur joue de Dorian.Elle ne lui laissa pas le temps de se faire remarquer par la sirène. Il voyait déjà le scénario. Elle lui demandait ce qu'il y a et Dorian lui dirait que c'est une poussière mais elle ne la croirait et il devrait un autre bobard. Au final, il aurait à dire la vérité. Il se forceraiit à s'ouvrir. S'ouvrir était attiré la compassion des autres. Attirer leur amour et leur affection. Dorian ne la voulait pas. Cinq personne l'avait fait et elle avait de leur prix. Dorian était maudit selon lui. Peu-être son grand-père démoniaque avait maudit la ligné de son fils Dorian en souffrait et cela l'empêchait d'accèder au bonheure. Oui, quelqu'un devait l'avoir maudit;. Il pourrait supporter son pouvoir s'il savait que le bonheure lui accescible mais non, quelqu'un voulait qu'il souffre et il se demandait bien quoi.

Bon, il décida de s'en alla.Fallait pas prendre de chances, d'un coup qu'elle voulait le comprendre. Il alla plus loins et commença à pleurer. Il pleura en silence mais ne sanglota pas. Elle ne sanglota plus depuis des années, il était immunsier contre cela. Il laissa la mélancolie festoyer puis décida de recommencé à jouer. Mais tout ce qu'il jouait était mélancolique. Il jeta sa lyre contre la sable, cassant une corde et hurla à la mer.

"Il me fait du divertissement! Il me fait de l'alcool! Il me faut des femmes! Il me faut des drogues! Il faut me faut des livres! Il me faut des combats acharné! Il me faut de l'adréaline! Il me faut des rires! Il me faut des blagues! Il me fait de la bonne nourriture! Il me faut des beau vêtements! Je dois me changer les idées.Aller, Neptune! Envoi-moi tes montres marins pour voir s'ils peuvent me dévorer! Envoies tes nérides s'ils peuvent me charmer. Vient ici avec ton ire vengeresse! Frappe de ton tridan le fond de l'eau pour voire si la raz de maré me tuera! Allez Allez, Jupiter! Foudroie de te foudre! Transforme en toutes les horreurs que tu voudra!Envoie tes muses pour qu'elles m'inspirent. Allez, je t'offene, toi et tous ta parenté."Il enleva sa chemise, laissa ses ailes se déployer." Allez Kraken! Ma chère ne fait pas envie! Callisto!Ne suis pas un marin intéressant pour toi? Ai-je besoin d'avoir construit un cheval pois pour mériter tes charmes.

Junon, Diane, Bacchus,Vesta. Ou bien Odin, Thor, Freya, si vous préférez."

Ses pouvoirs avaient changées depuis quelque temps, ils étaient plus puissant. Le feu dansait ses mains alors. Cette accès de colère lui avait mit le littéralament feu au regard. Sa pupille devenait de plus en plus enflammé. Il leva un index accusa vers le ciel.

"Ou bien je fais appel au mauvais dieux! Peu-être Satant voudrait tenter sa chance! Veux-tu mon âme , faux frère? Veux-tu me toturer pour l'éternité! Alors viens grand Cornu! Fesant un odieu contrats et prend avec moi, dévore ma chair à jamais. À moins que tu veuille que je sois ton héros. Très bien. Je gaverais le coeur des hommes de haine et de vices. Je remplirait des océans de liquides pourbre. Quoi? Tu dis que tu ne veux pas de cela. Tu veux voir ma valeur.&Tu me mépriser. Et bien souhate, écrase-moi. Allez! Je te défie, déchu! Envoie tes légions,tes démons et tes ombres! Je suis près à tout. Alors je vais voire ton adversaire. Viens, Créateur de toute vie! Envoi tous tes légions! TOUTES. Je suis près à tout recevoir! Ou bien dois voire ton advesaire. Vies, petite père! La brebis galeuse veut revenir dans ton troupeau! Allez viens! Apparrait-moi comme à ton soi-disant fils sur la montagne! Allez, je suis près! Envoie toutes tes arcahnges pour brisé les hanches! Je suis près au combat! Je suis prêt à me soumettre. À moins bien sur que tu veux que j'oeuvre pour toi? Très bien, je vais répondre ta parole, convertir les âmes, emplir d'amour ce monde noir et corrompue. Au à moins que tes anges en décident autrement. Très bien. Je vais lancer la guerre aux forces de l'ombre, attendez à voire la lumière en maitre sur cette terre.Suis-trop impur pour vous ,cousin divins.Et pour vous aussi, cousin infernale."

Il tomba à genoux sur le sable.Il se calma et retint sa respiration. Le feu partit peu à peu de lui

"Je vous implore. J'en appel au forces du ciel! Aux forces de l'ombre, aux forces du bien. J'en appel au cosmo. Qui que vous soyez, venez à moi. Faites oublier la flamme qui me ronge."

Sur ce il se releva et cessa. Récit ce monologque qu'il avait écrit lui faisait du bien. Il oubliait sa peine pendant le temps qu'il repensait à sa prestation. Mais cela dura pas, sa peine revenu galop comme un chien revient vers son maître. Ou plutôt, comme sansgue à son festin.Le théâtre aussi n'était pas une solution à son ennuie.

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Shinju-Kurai entama le reste de son chemin sur une partie de basse végétation se détériorant dans le sol sableux. Ses pieds qui s’enfonçaient à tour de rôle sur la plage la ralentissaient un peu. À environ une cinquantaine de mètres d’elle se trouvait en diagonale un bateau de bois trempé au tiers sur lequel les vagues de la marée se fracassaient de plein front sur les planches clouées. Avec son sens de l’observation développé, elle remarqua dans l’ombre une silhouette ailée. Une forte aura enveloppaient les ailes d’ange ou d’ange déchu. Pourquoi un anges dans les parages d’une île comme celle-ci? Un mouvement de nostalgie traversa l’esprit de la sirène. Elle crut que cette oeuvre provenait encore du capitaine car elle émanait une certaine ressemblance. Non Dorian avait remplacé sa tristesse par l’entrain puis joué de sa lyre.

Pendant qu’elle marchait sur le vaste étendu, elle continuait d’exiler ses pensées dans une compensation de rêveries cauchemardesque. Comment se serait déroulée le reste de la tragédie si elle serait restée là-bas, dans l’ancienne citée avec son peuple? Les autres et peut-être elle-même auraient tous fini par périr pour en aboutir à absolument rien. Shinju-Kurai ne supporterait pas de voir en plus de son frère Seikei, ses soeurs, ses parents soit Shinju et Hikari Tsumetai mourir les uns après les autres. Un jour, elle retournerait à la citée, bien sur pas maintenant. Elle ne le niait pas, tôt ou tard son coeur se fendrait devant le royaume aquatique massacré et les ossements de cadavres. La femme poisson ne supporterait un tel coup. Le liquide rouge remplirait sa tête une dernière fois pour ensuite se mélanger à la matière bleue tel un jet d’encre sanglant.

Lorsqu’elle arriva près de celui qui possédait des ailes elle se rendit compte finalement qui s’agissait de Dorian. Un répouvé, Tsumetai se rappela ce petit détail: les réprouvés aussi ont parfois des ailes. Un instrument mal en point ave une corde en moins traînait au sol.

‘’Sourire vaut mieux que pleurer mais pleurer n’est pas un désarroi non plus Dorian. C’est plus une façon expressive d’émettre ses propres émotions. Vous savez ce que je trouve étrange? Dans l’eau on ne la voit pas cette magnifique marque de tristesse et personne d‘autre mis à part soi-même s‘en soucie. Là-bas, ce sont des gouttes comme les autres. Tout ce qu’on trouve c’est l’unique expression sur le visage. Par conte dans l’air, on les voit ces larmes empreintes de tristesse qui nous brûlent le dessous des yeux.’’

Au cours de son enfance, ce phénomène oppressant l’avait fasciné longuement. La première fois qu’elle pleura, les yeux lui avaient picoté au contact de l’air. La sirène ne contrôlait plus l’impression que ses joues devenues rouges prenaient feu. Un mauvais souvenir d’enfance. La mini sirène y avait mit un certain temps avant de comprendre la petite. Rien de drôle la dedans mais la deuxième fois que cela se produisit en dehors de l’eau, elle avait cessé de pleureur parce qu’elle trouvait ça plutôt amusant. Aujourd’hui elle trouve plus ceci amusant, surtout pas quand ça provient de son propre corps.

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"Pleurer ne libère point, ma chère,elle empire au contraire. Les larmes sont les crocs de la mélancolie. Plus tu pleure plus tu est triste. La meilleur chose c'est trouver une façon de se distaire et oublie cette bête qui vous ronge. Quand vous pouvez pas, vous la laissez mangez mais sinon y faut trop un moyen. Avant, je pouvais avoir tous les distractions, grâce à ma fortrune. Pendant de 21 ans je me suis enformé dans les pires débauches pour oublier ma peine. Plusieur fois, mon corps m'envolait mais au moins j'oubliait. Il me reste un moyen de distractions. Le combat. Survire à un combat a quelqu'un de très efforisant. Vous êtes debout alors que vous auriez être mort. vous encore là et la mort a rien pû faire.Vous regardez autour de vous et profitez que vous êtes en vie.J'ai rencontré des plus fort que moi, où plutôt je le recherchai, plus le danger que je meur est grand puis ma satisfaction est grande.Comme un jour, je suis tombé sur un golem de pierre. Il a faillit m'avoir mais j'ai gagné à la fin,alors qu'on me pensais mort dès le début du combat. J'ai affronté royaumes, armés et même des monstre pour avoir cette drogue qui me fait oublier mon existence. Et c'est la raison pour laquelle je suis devenu capitaine. La mer,cette indomptable immensité rempli de danger. Nous allons voire si elle arrive à me tuer. Je vais la défier en combat singulier. Elle contre moi. L'orage contre la feuille. Atlas contre David. On verra qui sera le gagnant et si elle pourra me donner ce qui m'est interdit:La mort,cette salvatrice chose qui a tant roder autour de moi."

Sauf il aurait dû prendre un meilleur équipages. Risquez sa vie oui, daccord, mais risquez sa vie pour cette bande d'abrutis. Il la regarda puis regarda l'océan. Son regard changea tour à tour des jambes de la sirègnes à la mer. Il avait trouvé un moyen de se divertier. Son sourir carnassier apparrut, le chieur avait une idée dernière la tête.Il enleva son pantalon. Il allait vers la belle et mit la main autout de la taille.

"J'ai trouvé une bonne distraction, je crois."

Sur ce, il la pris dans ses bras et couru vers la mer. Il se jeta à l'eau et,en toute logique, elle aussi. Dorian avait fait ensorte qu'il soit les deux dans l'eau en même temps. Il la regarda profondément en caressant son visage. On aurait crût qu'il allait l'embrasser mais en faite il se concentrait. Ses yeux brillèrent d'une lumière vie et intense. La lumière illumina la sirène et un lien se créa entre eux. Une des ses capacités de la sirène fut partagé par Dorian. Le réprouvé eu bientôt les jambes recouvrts d'écaille. Peu à peu ses jambes se scindèrent et la chair disparut pour laisser place aux écailles.Ses orteils disparurent aussi pour former des nagoires.L'anatomie du réprouvé changea pour adopter cette nouvelle queue. Cette aisni qu'il devint sirène.

Non à demi-sirène.Il eu juste le bas, pas le haut. Donc il n'eut pas les branchies pour respirer sous l'eau et manqua de se noyer.Car notre ami avais jamais nager avec des nageoires. Il arriva à reprendre contrôle. Il finit par regagner la rive et ses nageoires redevirent des jambes. Il resta quelque temps sur le sable à reprendre son souflle pui éclata de rire. Il trouva ça drôle! Preuve qu'il était capable d'auto-dérison. Sauf notre ami ailé n'avais pas finit avec le sirène. Si certains anges et et autre être ailé ressentait de la difficutlé à voler, Dorian n'en faisait pas partit. Ses grandes ailes dignes de sa mère archange se déplièrent puis il s'envola.Si il était un piètre nageur avec une queue de poison, il était un vrai poison dans l'eau lorsqu'il était dans les airs. Il volait avec grâce et aisance. Les combats aériens était parmis ses préféreés. Il taquina Shinju quelque temps on lui enboyant des boules d'eaus puis décida de passer aux chose sérieuses. Il vola proche de l'eau et tendit ses bras. Il mit ses bras sous les aiselels de la sirène et monta danse le ciel, enmenant la jeune femme avec lui. Il vola un peu partour dans l'île. Il déposa en douceur....sur un lit de liane en pleine jungle. Dorian regagna la terre car il ne pouvais plus voler avec ses rires.

"Alors, je suis peux voler sur votre personne quand je veux?"

Il rit à sa propre blague.

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Le réprouvé et la sirène discutèrent pendant un moment. Le son des vagues brisait le son d’arrière plan. Toujours à la recherche d’une distraction, ce dernier afficha un sourire croyant avoir trouvé une autre manière de se divertir. Au grand étonnement, il baissa son pantalon ce qui laissa son corps totalement nu. Il s’approcha d’elle et la prit par la taille.

‘’Une simple distraction? Autant qu’elle soit mieux que les autres dans ce cas. Je crains que vous promener comme ça sur la plage ne soit guerre suffisant. Une autre idée en tête peut-être?’’

Shinju-Kurai s’appuya la tête contre l’épaule de l’homme ailé. À vrai dire, cela faisait bien longtemps qu’on ne lui avait pas offert autant d’affection. Avant même qu’elle ne puisse se retourner, il l’attrapa dans ses bras et sauta avec elle dans la mer. La jeune femme glissa sous l’eau des mains qui la retenaient puis son corps composa son étendue d’écailles habituelles. Lorsqu’elle remonta à la surface, elle tourna la tête et des doigts lui flattèrent les traits du visage. Les pupilles de Dorian provoquaient une lumière semblable à deux étoiles scintillantes. Une sorte de connexion envoûtante relia son esprit au sien pendant quelques secondes. La semi poisson effleura de sa queue deux nageoires identiques aux siennes puis elle détourna ses yeux turquoises du regard lumineux vers les vagues. C’est ainsi qu’elle aperçu la queue écailleuse, terminée par deux nageoires de poisson, du réprouvé. Un réprouvé doublé de sirène? Non un peu trop imaginaire, il avait probablement la faculté de copier le pouvoir des autres. Apparemment, il n’était pas du tout doué pour la nage sans ses deux jambes. Sans pouvoir respirer, il s’enfonça dans l’eau mais elle le tira hors de l’eau pour lui éviter une mort quasi-certaine.

‘’Dis donc, c’est pas donné à tout le monde d’être un poisson volant.’’ lui dit-elle en lui adressant un sourire moqueur.

Après avoir atteint la le sol de l’île, il s’éleva haut dans les airs et projeta des bulles d’eau sur Shinju. Elle les intercepta en les faisant fondre dans le paysage marin ou en les éclatant en direction de l’ange. Cependant, il était trop habile et trop rapide pour recevoir la moindre éclaboussure. Ils s’amusèrent un peu jusqu’à ce qu’il emmène la sirène voler avec lui. Ses nageoires se décomposèrent puis elle poussa un cri d’étonnement lorsqu’elle sentit ses pieds libres dans le vide. Tsumetai possédait comme la plupart des races le pouvoir de voler mais elle n’en avait jamais encore tenté l’expérience. Il fit le tour de l’île et la déposant finalement au coeur d’une forêt tropicale sur un amas de lianes. Couchée sur le dos, la jeune femme se redressa afin se relever. Son regard se posa sur d’immenses arbres au feuillage vert ainsi que sur des fleurs aux pétales rouges, oranges et jaunes. Son bras accrocha une plante sur laquelle se tenait un papillon de nuit qui s’envola brusquement lorsque la brindille bougea. Elle se dirigea vers le réprouvé puis elle passa ses deux mains autour de son cou pour lui donner un léger baiser sur la joue.

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Il mis ses mains autour de sa taille bras et l'embrassa sur le bouche. Un baiser doux et anodin, on aurait pu croire d'un frère à sa soeur. Il mit son front contre le sien. Personne n'avait était si doux avec lui depuis des années. Iza fesait toujours cela, elle le serrait contre elle et ils pensaient des nuits à passer l'un coller à l'autre. Il y avait rien de sexuelle, juste être là avec quelqu'un à qui on tenait. Dorian était tombé amoureux d'elle pendant ces séances. Il était bien durant ces instant, ils oubliaient tous ses problèmes. Iza avait ce don et quand on l'avait enlevé à Dorian, il était devenu fou de tritesse.

Ils se passaient la même chose avec Shinju. Il avait beau avoir 43 ans et être devenu très armère, le jeune homme de 19 ans en lui était encore là quelque part. C'est ce jeune homme que la sirène avait réveillé par sa douceur et sa comprésenion quelque chose qui sommeillait en Dorian. Lui qui mettait une barrière entre lui et le monde. Lui qui laissait les gens qui voulut s'attachait partir loin lui. Lui qui fuyait l'amour. Lui qui avait quitté toutes les femmes où il avait une début d'affection. Il n'aurait jamais qu'il aimerait si fort le simple fait être avec quelqu'un. Il ne savait pas ce qui passais, il avait enfin de partir mais il restait. Il avait se retrouver tous les excuses, il n'arrivait pas à auteur ses mains. Il n'aurais pas pensé qu'un jour il serait capable d'ouvrir fort. Que rêver de partir était comme rêver de souffrir. Qu'il aimerait mieux souffrir encore.

Il réalisa ce fait.Cela le déstabilisa.Il en perdit l'équilibre et se retrouva sur le sol. Il regarda la femme passion. Sa vue lui faisait du bien. C'était ça qui le pertuberait. Ce sale enfoiré de chérubin qui tirait des flèches pensait avoir eux Dorian. Non, il avait un plan. Il n'allait gacher la vie de cette fille en laissant un amour pour elle grandir en lui. Non, c'était trop risqué. Toutes les personne qu'il avait aimé étaient mortes. Il devait réair. Mais quoi? Contre cette sirène à la grâce envoûtante il était démuni. Il avait de le misère.

Il se dit que c'était juste physique, que c'était pas de l'amour, mais juste de l'attirance. Cette pensée le consola pour l'instant, même une voix en lui disait que c'était faux.Il l'attira près de lui et l'embrassa réellement comme amant. Cela la repousserait, elle le prendrait comme un pervert ou pensait. Ou bien, il lui raconterait que c'était une aventure sans lendemain et cela lui briserait le coeur. Dans toutes les options, ce baiser sauvera la jeune fille de la mort. Car la Mort était une maîtresse très jalouse.

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Shinju-Kurai éprouvait un sentiment inexplicablement passionnel. L’amour, bien inconditionnel qu’il soit dépassait au de-là de toutes ses limites. Elle avait l’impression de tout oublier ses angoisses. Le décor fictif ne faisait plus partie de son champ de vision. Elle le dévorait des yeux. Cependant, ce n’était pas à cause de sa beauté. Le réprouvé avait peut-être des yeux de rêve mais il y avait beaucoup plus que ça. Elle ressentait ses émotions sincères et les consumait avec tendresse. La scène romantique ne se limita pas à un petit bisou sur la joue. Ils partagèrent de doux baisers tel deux amoureux en se serrant l’un contre l’autre. Il desserra ses mains au ralenti et tomba par terre d’un coup sec.

‘’Ça va aller? Il y a quelque chose qui ne va pas?’’

La sirène lui tendit la main pour l’aider à se relever mais il l’attira plutôt vers elle. Son âge plus élevé que le siens ne la dérangeait pas vraiment. Il l’embrassa moins aisément que la fois précédente. Toujours aussi déterminée, Tsumetai ne laissait jamais tomber ce qu’elle commençait. La façon donc il l’embrassa la laissa indifférente. Ce n’était pas ce genre de détail qui la ferait décrocher de son amour pour Dorian. La jeune femme fonceuse ne voulait pas jouer au jeu de l’amant et la princesse. Alors, elle mit son index sur ses lèvres en signe de silence. Ensuite, elle décida de foncer pour lui déclarer ce qu’elle pensait. Comme ils étaient devenus assez proche, elle prit tout également la peine de le tutoyer puis de le regarder droit dans les yeux.

‘’Je t’aime. Ça ne fait pas très longtemps que l’on a fait connaissance mais il fallait que je te le dise. Pourtant mes émotions sont sincères. Ce serait bien abject de dire le contraire. Je n’aurais jamais pensé vivre de tels moments avec un homme comme toi. Enfin bon, je crois que c’est plutôt clair. Est-ce que tu m’aimes?’’

Ses paroles furent directes car Shinju n’avait point envie de passer par quatre chemins. En toute franchise, elle venait clairement de lui dévoiler ses sentiment. La première phrase de deux mots lui paraissait même trop simple pour exprimer un sentiment d’une aussi grande valeur. Pour conclure, elle lui demanda si il l’aimait vraiment. En fait, elle n’en doutait. Plus sérieusement, désirait seulement que le réprouvé le lui dise d’une autre manière que gestuellement. Son coeur battait encore la chamade. Le prétexte du long voyage ainsi que l’équipage s’éloignait un peu de la situation. Quel genre de capitaine aimerait une jolie sirène de là à l’inviter à joindre à son équipage? Probablement un bien clément ou généreux chef d’équipage.

*Tu m’as proposé de naviguer avec toi sur les mers. Tu m’as emmené voir les étoiles. Tu m’as fait voler dans tes bras. Tu m’as offert ton affection. Et moi qu’ai-je fait en échange pour mériter en autant?*

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Il était déjà trop tard. Elle ressentait quelque pour lui. Et avec son don d'empathie, elle devait sentir ce qu'il ressentait. Il se souvient toujours de ce que lui disait le mettre d'armes: "Rappelle toi ce que les gens font, et pas seulement ce qu'ils disent, car les actes trahiront un mensonge". Dorian, par ses geste, venait de se trahir. Elle savait qu'il ressentait quelque chose lui aussi. Tout ce qu'il pouvait pour la sauver de la mort était de lui dire le destin qu'il l'attendrait.Il caressa son visage, une larme lui venait aux yeux.

"Tu es jeune et belle. Ne gâche pas ta vie avec moi. Tout ce que tu auras avec moi c'est la mort. Tout ceux qui m'ont aimé sont morts ou eu leur vie brisé. J'amène la mort partour où je passe. J'ai tué ma mère, j'ai provoquer la chute de mon père spirituel, j'ai tué mon mentor aisni que sa fille que j'aimais! Ne comprends-tu pas, si tu reste avec moi, tu mourras! Tu mourras comme tous les autres!Je suis maudit! Tous ceux que j'aime sont mort par ma faute! Je ne pourrais supporter de te savoir morte à cause de moi! Trop gens sont mort à cause de moi.Mon amour est une poison mortel! La Mort m'as pris comme amant! Si tu veux vivre, parrt! Éloigne-toi, je ne te donner ce que tu mérite! Tu mérite de vivre heureuse, pas de mourir pour être tomber amoureuse!"

Il avait pleuré pendant toutes les minutes qu'il avait parlé. Il devait fuir.Il devait la quitter, la laissé seule pour qu'elle oublier. Il devait se cacher loin des regards. Loin de elle. Il devait partir. Il regarda ce beau visage qui lui manquerait tant. Il replça sur une mèche

"Je suis trop vieux pour toi de toute façons."Il commença à chanter.
"I know the sound of each rock and stone
I embrace what others fear
You are not to roam in this forgotten place
Just the likes of me welcome here

Everything breathes
And I know each breath
More than enough for this man

Like every tree stands on its own
Reaching for the sky I stand alone
I share my world with no one else
All by myself, I stand alone

Deep in the darkness my heart
My heart still sees
Everything I'll never be
Behind these eyes I go everywhere
There's no need for sympathy

Everything breathes
And I know each breath
In my world there's no comprise

Like every tree stands on its own
Oh, reaching for the sky I stand alone
I share my world with no one else
All by myself

Still I will remember
Still I run with you, yeah
And when it's time for you to go
Take me in your heart

Like every tree stands on its own
Oh, reaching for the sky I stand alone
I share my world with no one else

All by myself, I stand alone
All by myself
All by myself
I stand alone"

Il se releva et la regarda pour une dernière fois. Cela lui fendait de la quitter aisni mais c'était pour son bien. Elle verrait bien qu'il n'y avais rien à espérer. Il partir en s'enfonçant dans les fourrés de la forêts. La nature l'enserrait. Il trouverait un moyen de quitter son navire. Il devait fuir le plus loins d'elle et redevenir le mercenaire qu'il était. Il devait partir.

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Celui qu’elle aimait lui avoua tristement ne pas être à la hauteur de partager son bonheur. Sous une énumération de personne défuntes, il présenta que par un sinistre jour, il la mènerait involontairement dans les entrailles de la mort. Tandis qu’il parlait, des gouttes de tristesse ruisselaient sur son visage. Ainsi se priverait-il pour l’éternité de la chaleur de toutes les femmes qu’il croiserait pour ne pas les blesser? Shinju-Kurai aurait tellement préféré comprendre, préférer tout oublier les secondes déjà écoulées. Son coeur, lui ne se résignait à l’accepter. Elle savait où il allait finalement en venir, partir. Au fur et à mesure qu’il parlait, Shinju sentait son coeur se serrer comme si une vieille plaie tentait de s’ouvrir à nouveau. Ses yeux vitreux laissèrent échapper une larme brûlante sur sa joue. Elle resta clouée sur place sans rien répliquer. Elle fut incapable de sortir aucun son de sa bouche pour le retenir. Ensuite, il chanta une chanson de sa voix grave en guise d’au revoir. Malgré que la sirène n’était pas très douée pour apprendre les autres langues inconnues dans les courants marins donc l‘anglais, elle en traduit quelques bout de phrases qui ne firent qu‘agrandir la blessure imaginaire à présent ouverte : <>Au plus profond de l'obscurité de mon cœur... Mon cœur voit toujours, tout ce que je ne serai jamais...

*Son coeur voit toujours plus loin, aussi lointain pour éviter le pire même si il sait qu’il devra s’en priver... Ce qu’il ne sera jamais. Pourquoi s’être autant attaché à moi dans ce cas?*

‘’Va t’en si c’est ce que tu veux. Arrête tes chansons et oublies-moi!’’

À présent, un mélange de colère et de chagrin s’empara de la sirène têtue. Elle était fâchée, oui. Seulement, frustrée contre elle-même. Comme son frère, il était partie pour toujours elle s’en voulait énormément d’avoir été aussi bête avec lui. Ses paroles déjà imbibées par ses remords ne désignait pas du tout ce qu’elle aurait plutôt préféré lui dire. Juste le serrer dans ses bras une dernière fois. Juste lui dire qu’il lui manquerait elle aussi, pas le blâmer tout ces mots lancés sans aucune réflexion. Elle s’assied sur un vieux tronc d’arbre mort pour penser. Soudainement, un ombre serpenta dans la faible lumière argentée de l’obscurité. Une couleuvre à l’aspect rougeâtre, orné de rayures noires et jaunes glissa silencieusement le long de sa jambe. Lorsqu’elle sentit l’animal froid sur sa peau, Tsumetai prit le reptile inoffensif et le mit autour de son cou. Cela la consola un peu. Le bout de la queue de la couleuvre effleura sa joue droite comme si elle essayait d’essuyer la larme presque effacée. Ceci devait être dut à son lien particulier avec la plupart des animaux car il était très bien positionné pour la mordre.

‘’Tu crois que je devrais arrêter de pleurer hein?’’
Le reptile se contenta de répondre par quelques sifflements de sa langue fourchue.
‘’Et bien tu as raison! Je devrais pas rester ici toute seule. Je retourne à mon magnifique océan tu veux m’accompagner?’’
Il hocha vivement la tête et se cramponna sur la robe rouge qui lui offrait presque un camouflage entier. Elle posa son capuchon sur sa tête puis le reste sur ses épaules pour continuer son chemin dans la forêt tumultueuse.

***

Une heure plus tard, la lumière du jour aveuglante apparut à l’horizon. Shinju-Kurai regarda attentivement les rochers superposés d’un bout de terre submergé de mauvaises herbes qui venait directement au vide. Avant de contourner son chemin vers une pente moins apique, elle laissa filer le petit serpent dans l’orée de la forêt. La femme poisson descendit la côte trop paisible et respira le doux parfum de la mer à pleins poumons. C’est en se promenant sur la plage qu’elle trouva son ami Dorian étendu sur le sol. Que faisait-il là? Elle se pencha vers lui. Il était inconscient. Inquiétée, la jeune femme le secoua pendants quelques minutes mais ses efforts furent sans succès.

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Dorian ouvrit les yeux. Où étais-il? Il avait du mal à se rapeller ce qui s'étais passé. Étais-il mort? Non? Il se rappellait juste d'une brume et puis c'est le noir totale. Sa vue se claira. Shinju était là. Étais-elle revenu vers lui ou était-elle simplement tombé sur lui par hasard. Il caressa son visage. Il l'avait quitté en espérant ne plus la revoir et voilà qu'il la retrouverai encore. Le vent le leva. Il frisonna.Il était encore nu.Étais-il sur le bon coté. La sirène était éblouissante avec ses cheveux fans le vent.Il se releva et plia les genoux. Pendant un long momemnt, il resta silencieux. Le bruit de vent couvrit le silence.

"Une fois, j'ai entendu l'histoire d'une sirène qui aimait un homme. Elle a finit par se transformer en vent. En vent, une bien heureuse fins. Je me demande si c'est vrai. En tous cas, si c'est vrai, cela veut dire que chaque sirène qui meurent est avec nous pour toujours."

Il regarda la mer et repensa à son passée émotionelle. Il repensa aux mots qu'ils avaient dit tout à l'heure. Il avait causé la mort de ceux qu'ils aimaient, c'était vrai. Mais comment? Sa mère, il lui avait causé tellement de soucis, il n'avais jamais pensé qu'il aurait pourrait lui tant de tord. Dorian donnerait tous ce qu'il pouvais pour changer les actes qui avaient affaibli le coeur de la mer. Le Maitre D'arme. Combien lui restait-il? Aurait-il résister à l'envie de l'acier alors qu'il été à la retraite? Et même Dorian avait pris en compte les archers royales et mis son mentor loins de ceux-ci, le corps du viel épéiste aurait-il endurer l'effort du coup d'état? Et le Seigneur des Ombres l'aurait laissé vivre? Il avait tué Iza alors qu'elle faisaient que protester, il pouvait bien tuer le Maitre D'Armes de peur qu'il aggise contre lui. Et Bourrus? Il aurait sans doûte fnit par mourrir au combat, cette homme vivait que pour les combats.

Enfin de compte, Dorian avais causé la mort de ceux qu'ils aiment par actes de puérilité et impusilvité. Mainteant il était plus posé, pouvait-il éviter la mort de ceux qui l'aimaient. Bien-sur, nul savait ce pouvait arriver demain, un poisson géant pouvait bien mangé son navire. Étais-il prêt à essayer d'aimer à nouveau.Il se mit à chantonner pour se changer un peu les idées.

"Les orques à droite et les elfes à gauche
Massacrons-nous dans la taverne
Il y en a qui disent que la danse est moche
Mais tout ça c'est des balivernes

Prenez la hache de votre voisin
Envoyez-la sur vos ennemis
Si les elfes sont encore là demain
On pourra les manger farcis

En formation tous les archers
Vous visez un orque au choix
Si vous arrivez à le toucher
Faudra courir un peu mieux que ça

Les orques à droite et les elfes à gauche
Massacrons-nous dans la taverne
Il y en a qui disent que la danse est moche
Mais tout ça c'est des balivernes

Attrapez l'elfe qui est à votre droite
Et foutez-lui des coups de massue
J'avance d'un pas, je recule la table
Et j'lui mets un coup de pied yaha!

Sortez vos dagues et plantez-les dans l'oeil
De votre voisin d'en face
Si vous lui touchez le cervelet
Tournez deux fois, sautez sur place

Les orques à droite et les elfes à gauche
Massacrons-nous dans la taverne
Il y en a qui disent que la danse est moche
Mais tout ça c'est des balivernes

Alors euh...c'est fini?
NON!

Il reste un elfe encore vivant
Attrapez-le par les cheveux
Coupez-lui les jambes, c'est marrant
Ca court moins vite et c'est tant mieux!

Sautant sur vos boucliers
Vous surfez sur les flaques de sang
Foncez sur tous les rescapés
Et c'est fini on est content!"

Invité

‘’Pourquoi tu dors par terre? Tu auras du au moins remettre tes vêtements.‘’

Le vent soufflait balayant tout sur son passage. Les bourrasques de vent refroidissaient les mains de la sirène qui tentait de le réveiller et laissaient ses cheveux virevolter dans tout les sens. Il finit par se réveiller en un battement de paupières. Il regarda cette dernière et lui raconta une fable.

‘’Vraiment? Parce que tu préférerais que je me transforme en vent pour que je reste et auprès de toi pour l’éternité?! Pour un homme qui n’aime pas les histoires de gamins tu sembles y prendre goût. L’amour n’est pas un jeu. Un jour, tu voudras revivre l’occasion d’être aimé, de partager ce bonheur tant convoité car pour toutes choses il y a un échange ou un prix, appelles ça comme tu veux, à payer. Lorsque tu auras pris ce risque et commis ce sacrifice tu découvrira autre chose... Dis-moi à quoi bon sert la longue vie si on ne peux pas en profiter? Il y a des moments où tous les péchés sont permis. Ces dans ces moments là que l’on prend compte qu’on passé autrefois à côté de certaines merveilles. Il y a des choses bien plus pires que la mort elle même. Quand le moment sera venu de voir tout ceci tu ne te priveras plus de ce que tu pourrais avoir et comme moi tu voudras y goûter... Je suis désolée de ce que j’ai dit tout à leurs. Je crois que tu as peur de ce qui suivra si tu acceptes bien entendu, cette soit disante tentation.’’

Même si elle s’amusait à répliquer des phrases sans aucune conduite, il y avait une morale à retenir derrière tout ça. Cependant, saurait-il la trouver? Elle se pencha sur lui pour discuter et se releva d’un bond en lui tournant le dos. Dorian fredonna un air mais Shinju-Kurai n’y prêta pas attention, trop concentrée sur l’aura des vagues unies au vent qui brisait tout ses éclatas de joie habituels. Aucune plaisanterie ne lui remonterait le moral. Le sourire éteint sur ses lèvres, elle pensait déjà à sa prochaine destination. Selon elle, il n’y avait plus rien à espérer, il ne changerait pas d’avis. La peur dominait les gens, encore la raison pour laquelle touts ces humains sans aucun principe de base obéissaient aux lois puis gagnaient leur vie honnêtement dans le but de ne pas atteindre la corde du bourreau. Ce qui les effrayait. La femme poison se déterminait toujours à accomplir ce qu’elle voulait. Elle ne se laissait pas gagner par la peur et les obstacles. Le réprouvé avait peur que sa sirène trouve la mort et elle trouvait cela décevant.

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Il se leva et alla la rejoindre. Il l'arrêta en mettant sa bras autour de son ventre. Il huma son parfum. Il ne souvenait ce qui était arrivé lorsque que c'est mystérieuse brume était mais il avait réalisé qu'il avait besoin d'elle. Elle était ce qui le sauverait de lui-même. Il était entrain de se détruire de l'intérieur et elle était ce qui le garderais de lui-même. Elle était son ange envoyé pour le sauver. Il caressa sa tête et l'embrassa sur la tête. Il mit sa tête sur son épaule.

" Reste, j'ai besoin de toi. Ma vie, c'est un désert brûlant, c'est toi mon oasis où je peux reposer. Je n'ai connu que poussière et larmes. Je n'ai connu que la chaleur de la canicule et la morsure de l'hiver. Je ne connais que le vacarme de l’orage et la peur de l’éclair. Je suis dans une abîme mais tu la branche sur la quelle je peux me retenir. Si tu reste, tu mourras, comme tous le monde en ce monde, mais si tu pars, c'est moi qui mourrait, je deviendrais un semblant d'être vivant, un simple dérivant dans l'escape. Un mort-vivant."

Dorian réalisa qu'il était sur l'autre versant de l'île. Ses vêtements étaient bien plus loin. Pas grave, le froid ne lui faisaient pas mal. Il avait été entrain pour pouvoir endurer les pires conditions. Il avait couru en pagne dans la neige les pièges gelée pendant des heures sont les cris d’un instructeur bien au chaud dans sa cape de fourrure. Il pouvait endurer quelque petit courant d’air frais. De plus, Shinju avait le corps si chaud qu’il ne sentait pas le froid.

"Je ferais tous ce qui est mon pouvoir pour te protéger. Crois-moi quand je tient que je ferais tout ce que je peux pour tu meures dans ton lit alors que tu sera devenue une vielle mamie toute ridée et âpre. Si l’un de nous doit mourir avant l’autre, ça seras-moi, pas toi, Shinju. J’en fais le serment même si j’ai rien sur quoi prêté, vu que je crois en rien et qu’un mercenaire est censé n’avoir aucun honneur. "

Il tenta de remémorer ce qui s’était pour ce qu’il se retrouva inconscient. Il se souvenait qu’il était arrivé sur la plage et que ses lames s’était mis à briller. Puis il avait une brume venir par l’horizon et puis c’était le néant. Peu importe, il avait réalisé qu’il avait besoin de Shinju. Peut-être que la vie de marin était trop dangereux à présent. Peut-être Dorian devrait se ranger et devenir fermier. Fermier! L’idée même ferait Dorian, jamais il pourrait travailler la terre, c’était hors ses compétences. Mais il devrait modérer les dangers et ne pas envoyer Shinju dans des taches trop périlleuses.

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À peine le bout de ses pieds trempés dans la marée, des bras froids la retenaient pour empêcher son départ. En effet, Shinju-Kurai gardait toujours sa chaleur corporelle. Habituée à l’eau froide parfois glaciale, elle supportait le froid sans difficultés. Qui d’autre sur cette plage pratiquement déserte aurait pu l’arrêter et lui offrir un bisou sur ses cheveux? Elle sentit Dorian appuyer sa tête sur son épaule puis elle tourna son regard vers lui. Il lui demanda finalement de rester auprès de lui. Était-ce à contrecoeur pour lui dire ce qu’elle voulait entendre ou il le pensait vraiment? Il réalisait que le départ de sa sirène le rendrait encore plus malheureux.

‘’Je me trompe ou tu as changé d’avis? Je crois que tout le monde à le droit de vivre heureux malgré le danger qui veille. Mieux vaut prendre des risques que se rendre compte plus tard que l‘on a passé à côté de sa vie. Rester sur les mers avec toi me ferais encore plus plaisir. Enfin bon si tu compte bientôt partir d’ici. Même si je reste, un jour je joindrai la mort comme tous ceux qui l‘ont atteint. Hélas, c’est un passage inévitable pour le commun des mortels comme moi. Aucun honneur? Pourtant tu es bien gentil pour un mercenaire. ’’

Ils s’étreignirent et elle l’embrassa une fois de plus avec passion. Une enveloppe magique indécelable les entourait. Le courant passait bien entre eux. Étais-ce l’âme soeur? Non, ils l’auraient su dès le début. L’énergie se formait par leurs émotions et leur capacités magiques fusionnées ensembles. Seule l’intuition des destinées connaissait l’avenir que le futur leur réservait. Après cet échange de salive, la sirène regarda le long de la plage. Aucun bateau ou signe d’un équipage en vue. De toute façon, ces marins trop avares ne quitteraient pas sans savoir l’emplacement du trésor perdu de leur capitaine. Le réprouvé et la femme poisson se trouvaient probablement sur l’autre côté de l’île de la Demie-Lune. Lorsqu’elle prit compte de se fait, elle demanda à celui qui portait des ailes d’ange de bien vouloir la ramener car la randonnée à pied risquait de durer plus d’une heure.

‘’Tu veux bien me ramener avec toi? , elle le regarda de la tête au pied, À moins que ça te gêne, je peux comprendre. Je peux toujours passer par l’eau ou t’emmener sur un cheval. Quoi que un cheval ça paraîtrait étrange, peut-être un tigre... Dis donc tu as un cap pour ton voyage sur le vaste océan?’’

Un cheval et un tigre. Quelle idée encore abracadabrante. Shinju possédait aussi le pouvoir de se métamorphoser en l’animal de son choix. Ce n’était qu’encore une cadette mais elle s’était déjà transformée à plusieurs reprises. En poisson, en renard et en loup. Un cap? Bah oui une direction quelconque ou il y a quelque chose à faire à chercher ou à trouver. Cependant, elle ne se rappelait pas avoir entendu le capitaine parler de ses projets présent ou à venir. Shinju se remémora le fameux coffre au lac. Sa involontaire rencontre avec la superficielle génie, Dianka Jeni, l’avait finalement empêché d’ouvrir la boîte de bois. Quel dommage, il semblait y contenir là des objets intéressants. Chose certaine, elle n’oublierait pas cette fille de si tôt.

Invité

(excuse du retard)
Il eu une sourire jeune quand elle dit qu'il était gentil pour un mercenaire. Elle ne savais les horreurs dont il avait été capable. Les bains de sang, les massaracres, les génocides. Dorian avait tout participer à cela. Il avait souvent aidé les oppresseur à opressé et ce parceque il était bien payé. Il avais fait des actes amorale. Comme tué l'enfant d'un chef rebelle pour lui oter toute volonté de combattre. Non, elle savait de ce qu'il pouvais. Elle ignorait combien ses mains étaient plein de sang. Il était l'amant de la mort et c'était pas pour rien. Ça changerait, elle était, elle le sauverai. Déja elle serait dans ses bras, il se laissais aller. Ils passaient un bon moment. Elle était là et c'était ce qui comptai. Elle était tout chaude près de lui. Il ne savais si elle était son grand amour mais une chose était, elle était descendu du ciel pour le sauver.

"T'es mon ange des mers envoyée pour me sauver."

Où ils allaient? A oui, le boulot le ramenai à la réalité. Il avait une cargaison à temps et en bonne temps. Bon, il devait retourner à sa bande d'abruti et remonter sur son navire. Il regarda la mer et vut qu'elle trimballait un coffre. Elle rejeta finalement coffre sur le riva. Intrigué,Dorian se détacha de sa belle et alla voir. Le coffre n'était pas former à clé. Il contait des vêtements de cuir rouges. Un pantalon, des bottes, des gands, une chemise, un long manteau et même une tricorne pour aller avec.Il y avait aussi un medaillon et une carte. Le contenu était parfaitement sec malgrès le fait que le coffre venait de la mer. Il enfila les vêtements qui semblait fait pour lui. La chemise laissais passer ses ailes. Il mit le medaillon et se releva.Il étudia la carte en marchant vers Shinju.

"Où en vas? On vas terminer ce contrats puis on va suivre cette carte. Mon instinct me dit que ça vas nous mener à quelque chose d'intéresser. Cette une ancienne carte. Qui date d'avant que ces îles deviennent. D'après cette carte, ces iles sont les vestiges d'un contienent perdu. Un contienent habituer. Je vois plusieurs villes. Hum, ça doit grouiller d'antiquité, c'est la découvert archéologique du siècle, ça nous assez de prestige pour plein de contrats....et peu-être un équipages crédible."

Il rangea la carte dans sa ceinture et la pris dans sa bras.Il la fit tournoyer.

"Et après, on pourra avoir une retraite d'or. Que diraits-tu d'une belle grande maison sur le bors de la mer?Si on découvre ce que je pense, je pourrais ravoir mon ancien fortune et on serra à l'abris pour un bout."

Oui, les bonnes nouvelles affluaient. Peu-être que sa pouasse avait finit par le quitter. Mais bon, il fallait partir. Il décida de faire le tour de l'île a pied avec Shinju dans les bras, elle était pas très lourde et la paysage étaient beaux. Les marins, on voyant leur capitaine arriver avec Shinju dans ses bras sifflèrent et le taquinèrent.

"À ma connaissance, vous êtes des marins pas des petits mémères coméreuse. Allez au boulot, bande de nouille avant que je vous fasse cuire avec la terriaki!"

Il déposa Shinju et allait superviser les opérations. Superviser était un grand mot,tout faire plus tôt, déjà un empôter s'étaient pris les pieds dans le cordages. Qui devait l'en dépendre? Dorian bien sure. Lady, un membre de l'ancien équipages, allait voir Shinu. C'était un bretonien rousse qui disait souvent des mots dans sa langue natale pour pas qu'on les comprendres.

-So, you fuck with the captain? Bien, ça vous regarde, mais je crois aurez des privilèges à cause que vous partagez son lit.C'est pas le Capitaine Mirrond. Je le sais, j'ai essayer. He threw me up of the up when that was finish and laughed at me when I asked for some favors..Motherfucker, he treated exaclty as if never happened. En tou cas, c''est un homme qui la tête à la bonne place."

Invité

[C’est pas grave tu est pardonné ^^]

Opposé à deux mondes, une fraction de seconde peut changer un destin. Le temps se jouait des mondes comme des balles lumineuses. Il les déplaçait entre les univers selon leurs dimensions. Il contrôlait toutes les créations dans la paume de sa main. Il scrutait paradoxalement la vie gémir suspendue tel un pantin. Pourtant, il savait trop bien qu’un jour, il se lasserait de ce jeu enfantin qui pour lui ne dépendait de rien. Du moment où la colère de ses maîtres le défavorisait, il retournait à son loisir premier. Le gamin remuait les sphères célestes qui s’entrechoquaient les unes contre les autres. Le rejeton, inconscient que ses manipulations changeaient le cours de ses créatures qu’il prenait pour des jouets, inversait les aiguilles du temps partout où il agitait ses mains immatérielles. Il ne prenait pas toujours la peine de vérifier comment se débrouillaient ses enfants sur les planètes de son petit néant. Le créateur devait renoncer à passer autant de temps sur sa babiole qui contenait le monde des humains. Il ne pouvait se douter qu’une fraction de seconde modifiait la trajectoire de leur destin.

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Dire qu’une minute de plus et la suite des évènements entre nos deux amis ce serait passé autrement. Étrange une sirène et un réprouvé, non? Jamais dans l’histoire une telle liaison ne c’était jadis produite. Possible l’ombre d’une amitié mais à ce point là, sans doute jamais. Dorian la révélait son ange des mers. Depuis quand les anciens guerriers protecteur des océans sont des anges? Shinju-Kurai était douce de caractère et son coeur sensible aux sentiments. Dire qu’elle interprétait le rôle d’un ange poussait un peu les limites. Elle ne portait pas de jolies ailes blanches et son but n’était pas d’opérer le bien dans son environnement. Ses réels protégés demeuraient rares. Son premier se tenait déjà au palais des morts. À vrai dire elle se fichait beaucoup des guerres entres les maléfiques et bénéfiques. Bref, ses intérêts ne se marquaient point entre les lignes de ces deux camps insignifiants.

‘’Un ange des mers?, dit-elle avec amusement, tu devrait plutôt regarder ton charmant plumage blanc.’’

C’est alors qu’une malle mystérieuse atteignait le large. Qui faisait dériver à cet endroit précis un objet aussi profitable. Rien de trop beau! Pas barré non plus! Quelle découverte hasardeuse. Des vêtements confectionné exactement à la bonne grandeur pour son prochain propriétaire. Le but premier de l’arrêt de la sirène au pied de l’île de la Demie-lune se prolongeait t-il à l’aide d’une autre carte? Celle que son cher ange examinait précipitamment antre sa poigne?

La demoiselle n’eut pas le loisir de ramener l’ami sur un dos d’animal. Il la transporta à pieds, dans ses bras. Au fil qu’il marchait dans le sable, des silhouettes apparaissaient dans le paradisiaque paysage. Les marins s’amusaient à l’idée que leur capitaine use d’une aussi grande galanterie. Elle remit le pied su terre quand l’un d’entre eux s’approchait d’elle. Il prit le plein droit de poser une remarque indiscrète. Elle ne voulait pas en entendre davantage sur ce qu’il avait fait ou comment se comportait l'autre capitaine Mirrond.

*Croit-il vraiment que je ne comprends pas la moitié de ce qu’il raconte?!*

Elle jeta un regard interrogateur au capitaine et répliqua:

‘’En effet, ce que je fais avec votre capitaine me regarde. Si cela devait se reproduire avec moi il ne s’en tirerait pas aussi facilement. Croyez-moi, ma vengeance serait déchirante... ‘’

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